-Chapitre 28-

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Il était maintenant 22h Sacha avait été voir les policiers a 8h se matin, les heures de visites se finissaient dans 30 minutes.

- Monsieur ? L'appela un docteur.

- Oui...

- Des policiers sont là, ils souhaitent vous informés sur le sujet de votre sœur.

Sacha sort de la chambre d'hôpital. Il suis le docteur jusque l'accueille de l'hôpital où se trouvent trois policiers.

- Bonjour. Veuillez nous suivre au poste.

Sacha hoche brièvement la tête avant de suivre les trois homme dans leur voiture. Il s'installe à l'arrière, un autre policier à côté de lui.

Porter par le mouvement de la voiture, Sacha a envie de s'endormir. Il est extrêmement fatigué après avoir passer une horrible nuit remplie de cauchemars et de pleurs, et une journée assis sur une chaise d'hôpital, il ne s'était levé que durant 30 minutes vers midi pour manger.

Il lutte contre le sommeil, jusqu'à ce qu'un policier annonce qu'ils sont arrivés.

Sacha sort de la voiture, suivant les policiers. Arrivés en salle d'interrogatoire, Sacha vit un homme qui était présent. Celui-ci, il pouvait facilement le reconnaître, c'est l'« ami » de son père, son fils étant Théo.

Les policiers le firent s'assoir en face de l'homme.

- Messieurs. Savez-vous pour quelles raisons êtes vous ici ?

- Non. Répondirent-ils tout deux.

- Monsieur, nous avons trouver l'« agresseur » de votre sœur aînée. Dit le policier nommé Jean d'après l'étiqueter sur son uniforme.

- C'est... lui ? Demanda Sacha, incertain.

- Oui. La plaque d'immatriculation de sa voiture est la même que celle que vous nous avez épelée.

- Je vois...

- De plus, nous avons examiné sa voiture, des traces de sang, bien que casi-invisible était présentes, nous avons vérifier, le sang est bien celui de votre sœur.

Sacha retenais ses larmes de couler, cela se voyait. Il avait aussi les mains serrés sur la table en bois. Tandis que l'homme en face de lui souriais, content de cette réaction.

- C'est pour punir ta sœur d'avoir fait exclure mon fils, gamin, elle l'a mériter. Dit l'homme.

Sacha, énervé, se pencha sur la table, ses coudes était posés sur celle-ci, ses poings serrés au point que ses jointures devenais blanche. Son regard était porté sur la table, refusant de regarder l'homme en face. Une aura noir et imposante se dégageait de lui. N'importe qui d'autre se serait enfui en courant. L'homme déglutit difficilement, plus aussi sûr de ce qu'il affirmais quelques secondes auparavant.

- Elle n'a rien mérité du tout. Elle se faisais harcelée par votre fils et 7 putain d'autre gens. Sacha parlait d'une voix étrangement calme et contrôlée. Ses poings c'était relâchés, ses doigts était désormais croisés devant lui.

- Mais oui. Si mon fils l'a harcelée, ça devait être pour une bonne raison. Répliqua l'homme, ayant l'aire de mourir de peur, mais il avait « trop de fiertés » pour se laisser inquiéter par un gamin de 12 ans.

Sacha, toujours aussi calme, se pencha vers l'arrière. Il posa son dos contre le dossier de la chaise en bois. Ses doigts toujours croisés, se posèrent sur son torse.

Il avait la tête penchée en avant, des mèche de cheveux recouvrais ses yeux. On pouvais néanmoins apercevoir ses lèvres fines et légèrement roses, sur lesquelles se dessinaient un sourire en coin, mais se sourire était loin d'amener la confiance, en raison de l'aura noir et imposante se dégageant toujours du jeune collégiens.

Il releva la tête, révélant des yeux remplis d'une haine qu'il n'essayais même pas de cacher. Ses sourcils était froncés au point qu'on aurais pu croire que les lignes présentes sur son front était naturelles.

- Vous bois foutez de ma gueule.. Dit-il farouchement. Sa voix inspirais de la peur, même aux trois policiers présents à côtés, qui avait maintenant leurs mains posés sur leurs pistolets, prêts à intervenir en cas de besoins.

- J'espère que vous vous foutez de ma gueule ! Finit-il en criant.

Une goute de sueur perlais sur le front de l'homme plus âgé alors que Sacha montrait désormais parfaitement son visage, une grimace de rage le déformant.

L'homme balbutiant des semblant d'excuse tout en essayant d'éviter le regard enragé du plus jeune.

Sacha se leva en trombe, faisant tomber la chaise au passage, il posa ses mains à plates sur la table et regarda l'homme dans les yeux. Les policiers, toujours présents, avait leurs pistolets dans leurs mains, mais leurs doigts n'étaient pas posés sur les gâchettes.

- J'espère que vous pourrirez en prison jusque la fin de votre vie, sale ordure. Dit finalement Sacha en sortant de la pièce.

Dans mon monde... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant