-Chapitre 29-

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Les policiers se mettent d'accord en un regard, deux d'entre eux restes tandis que le troisième suivit Sacha.

- Jeune homme.

- Monsieur.

- Merci d'avoir gardé votre calme, je veux dire par la, de ne pas l'avoir frapper.

- En fait, je ne contrôlais pas vraiment mon corps, je ne sais pas ce qu'il m'a pris sur le coup. En temps normal, je lui aurait sauté dessus.. Je ne sais pas comment j'ai réussi à gardé mon self-control.

- Dans ce genre de situation, votre cerveau analyse le problème pour pour juger la meilleure décision à prendre. Vous avez juste compris quelle était là meilleure attitude à adopter. Vous avez gagner en maturité, en tout cas.

- Merci.

Sacha observa le ciel, dégagé, sans nuage.

- Votre « tutrice » devrait arriver bientôt.

- D'accord. Quand auras lieu le procès ?

- Dans deux semaines.

- Et pour nos parents ?

- Il auras dans la semaine, jeudi.

- Dans trois jours...

- Oui. Un avocat a été engagé par votre professeur, votre proviseur seras là pour témoigner de vos paroles également.

- Se seras surtout les paroles de ma sœur.. Moi je n'ai rien fait, j'ai juste subi.

- Désoler.

- Se n'est rien.

- Je vais devoir y aller, votre « tutrice » va bientôt arriver. Au revoir jeune homme.

- Au revoir.

Le policier s'en alla. Sacha resta seul. Il regardait toujours le ciel étoilé, pensant à sa sœur. Une larme solitaire roula doucement le long de sa joue. Sacha s'empressa de l'essuyer, du revers de sa main.

Le bruit d'un moteur de voiture vrombissant coupa court ses pensées. Il regarda la voiture et reconnue Elena au volant.
Il monta dans la voiture.

- Dans trois jours c'est le procès.. Tu est prêt Sacha ?

- Plus que prêt. Je vais me venger de tout ce que mes géniteurs nous ont fait, à moi et à Gabriela. Je me vengerais. Il vont regretter amèrement tout ce qu'ils ont fait.

Elena hocha la tête, comme pour dire qu'elle était d'accord avec lui, puis elle démarra.

PDV Gabriela :

Assise devant le bureau, je dessinais Naël qui était en train de poser sur mon lit.

- C'est pas trop dur de rester assise à pas bouger ? Sinon je peux prendre une photo et te dessiner à partir d'elle...

- Ne t'en fait pas ! Tout vas bien !

- D'accord !

Je continuais mon dessin en coloriant son magnifique sourire.

Quand j'ai fini mon dessin, je me leva, lui donna et l'embrassa. On s'embrassa jusqu'à ce qu'on ai plus de souffle.

Elle s'allongea sur le lit et je me blottissais contre elle. Nous regardions la télé qu'elle avait fait apparaître au mur.

J'était tellement bien, la... je ne veux plus jamais retourner dans le monde réel. Ici, je suis dans mon monde... Dans le monde de mes rêves... La ou j'ai toujours rêver d'être.

Dans mon monde... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant