Epouse De Mon Violeur

Chapitre 24:

      |PDV Yasmine|

      L'on me secouait et je suis trop fatiguée pour voir qui ça pourrait bien être.

- OH MAIS REVEILLE TOI! Me hurle une voix qui m'est familière.

- Oh mais la ferme, ne me cries pas dessus.

        Je reçois une claque qui me fis sursauter.

- Aouch! Ça fait mal. Gémis-je.

- Comme ça prochainement tu sauras me parler, je suis pas ton pote. J'ouvre les yeux et vois Hafed qui se dirige vers la porte. Et fais tes valises je t'attends en bas dans 10 minutes, je n'ai pas assez de temps.

        Et qu'est-ce-que ça peut bien me foutre, il m'a même giflé.

       Le bâtard!

     Je me dirige vers la salle de bain avec nonchalance, pour faire ma toilette. Après quelques minutes, j'ai pu faire mes valises, et je les ai descendues dans le jardins comme convenue. Les va-et-vient que j'ai dû faire m'ont épuisé.

        Il y'avait un taxi devant la maison, puis le chauffeur et le jardinier ont commencé à mettre nos valises dans le taxi. Et pourquoi ne pas prendre la voiture? Je ne pose pas ma question à Hafed, il a l'air énervé et moi aussi.

           J'étais assise derrière tandis que Hafed se trouvait assis devant au côté passager.

- Hafed on va où là?

      Il ne me repondit pas. De toute les façons je ne le supplierai pas.

     Merde.

     Quelqu'un peut m'expliquer ce qui se passe?

- Mais Hafed, qu'est-ce qui...

- MAIS TU VAS LA FERMER?

       Je me tais, ça ne servirait à rien de répliquer à ce monstre. Simple, j'ai mis mes air pods et me voilà plonger dans la musique puis je regardais le paysage défilé jusqu'à ce que mes paupières s'alourdissent peu à peu.

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      Je rouvre subitement mes yeux me faisant légèrement secouer, j'ai mal à la tête. Nous étions arrivés, vu que le taxi s'est arrêté devant une cité.

      Nom d'une pipe! Une cité?

   Je voulu parler mais Hafed me coupa automatiquement, en me rassurant que je ne devrais pas m'en faire, que tout était "sous contrôle". Franchement, je n'avais aucune envie de l'adresser la parole, donc...voilà.

         Hafed et le chauffeur taxi montèrent nos bagages je ne sais où, pendant que j'étais plantée là comme une idiote devant une citée que je ne connaissais à peine.

- Besoin d'aide mademoiselle? Me demande poliment et gentiment un charmant homme. Il était un métis, élancé, pouvant atteindre les 1m88.

       Quoi? L'on ne peut plus complimenter les belles créatures de Dieu?

- Non merci, mais ça ira.

- Si t'as besoin de quelque chose toque à ma porte, je suis au deuxième étage. Il s'arrêta un instant puis me tendit sa main. Moi c'est karl.

       Je vis pendant un instant la main de ce fameux "Karl", puis ma main alla à la rencontre de la sienne.

- Enchantée. Moi c'est Alice.