à toute vitesse (TOME 1) - Charles Leclerc

45. Tromperie

Ce chapitre est une petite dédicace à princesseA18 je pense qu'il te fera plaisir!

Bonne lecture

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Point de vu de Max: J'attendais patiemment des nouvelles de Charles et Morgane dans la salle d'attente, après plus de deux heures d'attentes je les vois arriver, la jeune femme a une meilleure mine et elle a reprit de belle couleurs ça fait plaisir. Ces cernes ont un peu disparu mais elles sont quand même toujours un peu présentes. Après avoir fait un point rapide de ce qu'on allait dire aux autorités on se rend à la gendarme pour témoigner. Morgane est séparée de moi et je crois que le pilote monégasque nous attend dans le couloir. Je ne sais combien de temps je suis resté dans cette pièce à témoigner et à répondre à la moindre question que pouvait me poser les gendarmes, on sort ensuite après avoir eu un petit point sur la situation de la part des autorités. D'après ce que je comprends ils n'ont rien de nouveau et je trouve ça consternant, ça fait des semaines qu'ils sont sur l'affaire. Je ne sais pas comment Charles fait pour garder son calme cette fois, à sa place je serai en rogne, me dire que des tarés sont encore là dehors prêt à faire du mal à Morgane déjà je bouillonne alors lui devrait être en feu. Après ce moment on rentre tous à l'hôtel et j'abandonne le couple pour aller dans ma chambre. Après avoir manger un truc rapidement, pris une bonne douche et je me suis posé pour dormir. Le sommeil m'absorbe rapidement mais je suis réveillé par une présence que je sens dans la chambre, comme un regard sur moi. Je me réveille alors rapidement et tombe sur la jeune française, simplement vêtue d'une légère chemise de nuit en satin qui laisse apercevoir ses formes magnifiquement: "Max désolée de te déranger... mais mais.... je ne je ne peux plus faire semblant et te considérer comme un simple ami... Elle semble timide et assurée à la fois c'est étrange. Et je suis quasiment certaine que tu ressens la même chose, alors voilà Charles dort et profondément alors je me suis dit que... que on pourrait en profiter, car je suis vraiment fatiguée de faire semblant et de réprimer ce que je ressens pour toi. Je suis tellement choqué que je ne sais même pas quoi lui répondre, j'aimerai lui dire que c'est la même chose pour moi, mais ma bouche ne veut rien dire. Si tu ne veux pas je comprends totalement, je me suis peut-être fait des idées." Je ne lui laisse pas le temps de répondre et je la coupe dans son monologue en l'embrassant, le baiser est au départ incertain mais il devient très rapidement plus langoureux. Je l'entraine avec moi sur le lit et elle se place tout naturellement à califourchon sur moi, je dors en caleçon elle profite donc de mon torse nu en le caressant de ses petites mains. La température monte à une vitesse folle et je ne peux m'empêcher de bander fortement, depuis le temps que je rêve de ça, avec elle. Ses hanches se mettent à rouler contre les miennes et elle descend ses baisers dans mon cou, elle est aussi excitée que moi. Je glisse mes mains sur son ventre et ensuite sur ses seins, sous son haut, je titille ses tétons ce qui la fait gémir fortement. Je me débarrasse vite de sa chemise de nuit pour qu'elle se retrouve simplement vêtue d'un tanga devant moi, sa poitrine est d'une couleur pâle magnifique et ses tétons sont magnifiquement dressés et d'une couleur qui donne juste envie de les sucer comme des bonbons. J'échange nos rôles pour me retrouver au dessus de la jeune femme et lui retire en vitesse son tanga. Elle est nue, allongée et offerte à moi, je commence à caresser son intimité d'une main alors que de l'autre je titille un de ses seins tout en embrassant son cou. Ses gémissement ne font qu'augmenter alors que j'enfonce un doigt en elle, la demoiselle se tortille sous moi et essaye de descendre mon boxer, je l'aide tout en continuant à la satisfaire. Dès que mon sexe est libre, elle m'attrape férocement dans sa main et commence de lents va et vient, mais elle accélère la cadence petit à petit au grès de mes supplications alors que mes doigts travaillent toujours sur elle. Je place ensuite ma tête entre ses jambes et commence à la lécher alors que mes doigts pompent toujours en elle, elle jouit rapidement et je me dépêche d'enfiler un préservatif avant t'entrer en elle. La jeune française s'agrippe à mes épaules alors que je m'enfonce complètement et lentement en elle, je savoure cette délicieuse sensation. Je reste un moment immobile avant de commencer de tendre va et vient, mais je sens la demoiselle rapidement s'impatienter et elle me demande d'ailleurs entre chaque gémissement qui sort de sa bouche d'accélérer la cadence ce que je fais. Plus mes coups de reins sont brutaux et rapides et plus elle griffe mon dos en criant mon nom plus fort, c'est ça je veux que tout le monde entendent le plaisir que je te procure, le plaisir qui te traverse à chaque poussé que je fais en toi. Je continu de la pénétrer tout en commençant à caresser doucement son petit bout de chair à l'aide de mon pouce, son regard se révulse alors qu'elle se cambre contre moi en gémissant plus fort, mon nom tombe de ses lèvres à plusieurs reprisent et je sens ses parois se resserrer autour de moi m'indiquant qu'elle est proche de l'orgasme, mais voulant faire durer le plaisir je ralentis mes va et vient et arrête de titiller son clitoris. A peine ai-je ralenti et arrêté tout mouvement de mon pouce que j'entends la demoiselle protester et me supplier d'accélérer à nouveau, puisque je ne fais pas ce qu'elle me demande la demoiselle nous retourne et se retrouve à nouveau sur moi. Elle bouge les hanches aussi vite que le peu de force qui lui reste lui permet et gémit fortement, je l'aide en agrippant ses hanches d'une main et en recommençant à frotter son clitoris. Il ne lui faut que quelques secondes avant de venir en hurlant mon nom et s'écrouler sur moi, je viens au même moment dans un son guttural comme jamais je n'en ai prononcé. Je la pose délicatement à mes côtés, me débarrasse du préservatif dans la poubelle d'à côté du lit, je nous recouvre et laisse Morphée m'emporter. Je suis réveillé le lendemain matin par les rayons du soleil et alors que j'ouvre les yeux une triste réalité s'offre à moi.