chapitre 38

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Une atroce douleur dans sont dos la sortie de sont sommeille, elle était allonger en l'envers, la joue écrasant l'oreiller, elle entendu une femme fredonner mais elle ne pouvait la voir ,elle voulait se redresser mais la douleur redoubla, comment est elle arriver là ?, soudain la mémoire lui revint, 
Ankar l'a sauver des murène,  mais pourquoi ?  Puis que c'était justement lui qui était déterminer à la servir comme nourriture à ces poissons vorace ?

-grand Dieu soit louer vous êtes réveillé !  Fut la frêle voix de la femme, qui devait être la guérisseuse.

Elle voulait ouvrir la bouche pour parler mais la sécheresse de sa gorge l'en empêcha, la vieil femme devrait avoir compris car elle lui apporta un gobelet d'eau, elle se désaltéra et fut à présent à mesure d'émettre un son.

-combien de temps ai je dormi. Demanda t elle lentement.

-dormir ! vous voulez dire évanouie !,  on est au début du troisième jour,  Les murène n'est vous on pas épargné, vous avez perdu beaucoup de sang.

Tessa dégluti,  cette position devenait plus que inconfortable, elle voulait tant sortir de ce lit et faire une petite promenade,  profiter de la vie.
Elle qui était sûre qu'elle ne verra jamais ce jour, elle qui a vu la mort de prêt, elle était la , Le Corp douloureux mais elle était vivante elle a vite compris que la vie pouvait se perdre à tout moment,  qu'il faut apprécier chaque instant qu'elle nous accorde, 

-buvez ceci,  sa aidera à baisser la fièvre , dit la veille femme en lui tendant un gobelet,  Le contenu était verdâtre et dégageait une odeur nauséabonde, Tessa l'avala et faillit le recracher ensuite tellement c'était amer, la femme l'aida à s'assoir sur le lit, le haut de sont Corp était complètement nu,  d'instinct elle se couvrit immédiatement la poitrine,  la vieille guérisseuse ricana en voyant sa réaction presque infantile,

-vous ne pouvez vous cacher de moi,  je suis comme votre mère,  dit elle en prenant un petit linge pour essuyer sont front.

-et je peut admettre que vous êtes une très belle femme,  continua la vieil femme,  votre Corp n'a aucun défaut excepter ces multiples cicatrices sur votre dos.

Tessa resta silencieuse,  Les images douloureuses apparurent dans ces pensés,  cette remarque venait de ravivé sont sombre passé, la tristesse voila sont visage,  elle se rappela de la cruauté de sont père à sont égard,  ces insultes et ces coup de fouet,  elle était la seul a voir survécu à toute ces méchancetés, sa mère en était morte, la dernière fois où elle avait essayée de la défendre et empêcher sont père à se servir d'elle pour arriver à ces sombre fin, il l'avait châtier à mort, chaque cicatrice sur sont Corp était la preuve qui justifiait la haine qu'elle lui portait, elle rêvait de le voir périre dans les fin fond des feu des enfer,
Les blessures de sont Corp n'était désormais que des cicatrices,  mais celles de sont coeur était Si vive et saignait encore.....

-mon nom et Bertha,  se présenta  la guérisseuse,  la sortant ainsi de ces profonde pensés .

-je suis plus que enchanté,  moi ç est T.....

-Tessa je le sais,  vous êtes la favorite du roi !  Interrompu t elle d'un aire malicieux.

Tessa écarquilla les yeux désorienter par ces propos.

-je suis confus !  Que me dites vous la,  demanda  t elle les sourcils froncés.

-oooh ne faites pas l'innocente, vue la façon dont il s'inquiète pour votre santé,  prouve qu'il en pince pour vous et pas qu'un Peut.

La jeune femme failli éclater de rire, Ankar amoureux d'elle,  était elle réveiller dans un monde contraire à celle où elle était avant l'évanouissement ?même personnage mais caractère différent ? ,  ç était une plaisanterie,  mais comme elle aurait voulu que sa ne soit un,  les souvenirs de leur baiser lui revint en esprit, ces main sur sont Corp,  ces lèvres accrocher au sien, Les myriades de sensations qui avait traversé tout sont Corp à ce moment là était indescriptible, exquises,  et divines, Un sourire apparu inconsciemment sur sont visage et elle se mordit la lèvre, 
Bertha remarqua cet air enjoué et sourit ,Tessa remarqua sont sourire,  et se repris immédiatement gêner .

-ça se vois bien que vous vous êtes entiché de lui aussi,  je me trompe ? Interrogea Bertha en la dévisagea avec insistance.

-vous faites erreur très cher,  le roi n'a aucun sentiment pour moi, 

La veille femme sourit de plus belle,  elle alla prendre une brosse pour revenir arranger ces long boucle d'or, 

- et vous en avez vous pour lui ? 

Tessa soupira,  ces sentiments pour lui était claire, mais est ce raisonnable d'aimer celui qui ne pourra jamais vous retourner cet amour ? ,  à quoi servira alors cet amour si il ne pas partager ?.

-je ne sais pas !  Murmura t elle.

-nous allons faire une promenade dehors. Informa Bertha au grand plaisir de la princesse.

                 *       *       *

-vas tu arrêté te va et viens Ankar,  ça fait bien longtemps que tu ne tiens pas en place,  fut remarqué Daftan.

Ankar ne l'écoutait pas,  il s'inquiétait pour elle,  et se maudissait de l'avoir fait frôler la mort,  il avait passait de nuit blanche à tournoyer dans sa chambre et de faire de va et vient,  de sa chambre vers la chambre de Tessa pour aller vérifier sont évolution, ces actions commençait sérieusement à l'etonné, il agissait exactement comme un homme amoureux au petit soin de sa bien aimé, est il amoureux d'elle,  évidemment que non,  alors comment expliquer tout ces émotions,  ces sensations étrange ?

-Ankar tu m'écoute,  demanda Daftan

-que disais tu mon ami ?.

-tu t'inquiète trop pour elle,  cela signifie qu'une chose.... 

-je ne veux rien entendre de plus  coupa Ankar,  en effet il ne voulait pas entendre ce qui pourrait être la triste vérité.

-tres bien !  Mais ne te voile pas la face plus longtemps,  cette jeune femme est désiré partout,  n'importe quel roi pourrait se battre pour l'avoir.

Ankar serra le point si fort qu'il en eu mal,  l'imaginer dans le bras d'un autre homme,  éprise et amoureuse était la pire torture pour lui, comment oublier ces lèvre chaude et douce,  comment oublier sa peau si douce,  cette femme n'appartiendra à aucun autre homme que lui.

-salut à vous votre majesté,  fut une voix féminine derrière eux.

Il se retourna et aperçu Laura,  et soupira  intérieurement agacer,  il avait l'étrange impression qu'il ne se défaira pas d'elle si facilement ......

l indomptable Où les histoires vivent. Découvrez maintenant