[TERMINÉ]Tokyo ghoul Juzo Suzuya x OC

19 Mes chères brodeuses

-Quoi ?! S'exclama Koumi, le CCG a attaqué directement chez Kano et Ken a planté son bras dans le ventre de Banjo, et il c'est fait défoncer par l'autre moustachu ?!!

-Exactly pretty girl ! Notre pauvre Bonjoie n'est pas énervé mais mon cher Ken se lamente depuis dans sa chambre ! Shu prenait ses habituels poses théâtrales pendant qu'il parlait.
-Bon en gros c'est la merde !
-No, pretty girl... cette infiltration a fait avancer les choses...
-Âh ? Warum ?! ( Eh ?! Pourquoi ? ).
-Parce que maintenant nous en savons plus pour Kano, et ont sait que le CCG nous a en ligne de mir !
-Das ist ! Pfff... ( C'est ! Pfff...) Koumi poussa un soupire d'exaspération.
-Bon vous savez quoi ?! Faites ce que vous voulez ! Koumi se dirigea vers la porte d'entrée de l'Antique... elle en avait marre d'écouter leurs histoire. Au moment où elle allait sortir, Shu l'attrapa par la main.
-Pretty girl warte !(jolie fille attend !).
Koumi ôta immédiatement sa main d'une façon vive et sévère.
-Arrête de m'appeler comme ça !!
Shu semblait choqué de sa réaction.
-Qu'est ce qui te prend ?
-Warum ?
-Quoi ? Demanda Shu un peu décontenancé.
-Warum diese name !?(pourquoi ce nom ?)
Shu sourit face a cette question, il posa la paume de sa main sur la tête de Koumi.
-Parce qu'il te vas bien.
Koumi rougi face a cette marque d'affection. Elle n'avait jamais vraiment osé faire un geste gentil pour Shu, qui la soutenait au quotidien, alors pour ce faire pardonner, ou se racheter, elle ne sais pas...
Elle s'approcha de lui lentement, Shu se dit qu'elle allait le gifler, mais loin de ça...
Elle le prit dans ses bras, Koumi était gêné, mais elle préférer profiter du moment.
Shu lui rendu son étreinte.
Un long moment dura, sans aucun bruit.
Puis Shu brisa le silence, et dit:
-Es-tu sûr que ça vas en ce moment ?

Koumi relâcha ses bras autours de Shu, ouvrit la porte d'entrée. Le vent froid de l'automne rentra dans le petit café.
-Je vais toujours bien !

-Stupid pretty girl...

Koumi marchait au hasard dans la rue, se frottant les main dans un geste répété, pour y amener de la chaleur.
Je dois vraiment en manque social pour me jeter sur Shu...
Ces temps-ci, Koumi ne pensait plus qu'a Juzo, elle se demandait comment il allait, si il survivrait pendant l'opération contre la chouette.
Se tapotant le visage pour se réchauffer, elle remarqua dans le reflet d'une vitrine, que ses joues étais complètement rouges.
Koumi se demandait pourquoi, puis se rendit compte qu'il se passait souvent ça quand elle pensait a Juzo.
Oui... je suis vraiment en manque...
Pensa t'elle en ayant un peut honte.

Elle se dit que la meilleur façon de rentrer étais de prendre le métro.
Elle se dirigea vers la gare, prit un billet et alla attendre le métro.

Et monta dans son wagon, il étais bondés et Koumi se dit qu'elle aurait du remonter a pied.
Elle se mit dans un coin tranquille, mais après une station plus tard... une masse de gens montaient déjà.
Un homme se mit derrière Koumi.
Et merde... maintenant je suis plus tranquille...

Le temps passa... Koumi avait l'impression qu'il y avait plus de gens qui montaient que descendaient.
Le wagon se faisait de plus en plus serré.
Koumi eu la mauvaise impression que l'homme étais un peux trop proche d'elle. Il pouvait très bien reculer un peux.
Quand soudain, elle sentit une main se glissait sous sa jupe.
Qu'est ce que ?!!
Elle se retourna et vu que c'étais l'homme derrière elle.
Koumi n'en croyait pas ses yeux.
Elle fit volte face le regarda bien droit dans les yeux...
Sa main s'éleva dans les aire, et cria.

-SALE PERVERT !!!!!

L'homme tomba au sol. Sa main contre sa joue, encore rouge. La gifle avait tellement été rapide !
Un brouhaha se fit dans le train, tous les regards été sur Koumi.

*Nous voici au prochain arrêt, attention a l'ouverture des portes automatiques*

En entendant cette annonce, Koumi se dirigea vers les portes. Elle poussa même des gens sur son passage.
Elle sortit du métro.
Le doigt du milieu en l'air en direction du pervers.

Pendant que les gens dans le wagon se calmait, un garçon au cheveux blancs et aux yeux rouges rigolait. La scène lui avait fait rire.
Sacré caractère !

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