Je lui montre le résultat des tests fait a l’hôpital il s’écroule sur une chaise et me regarde. iL colle la tête a mon ventre et me regarde dans les yeux pour confirmer il embrasse mon ventre. Et Daniel était devenue fou la maison a Yamoussoukro est réaménager par tout avait été mis pour mon confort Cédric et son père achetait tout et du n’importe quoi pour la chambre du bébé plus mon ventre s’arrondit plus Daniel était au petit soin avec moi yaourt glacé a 2 heures du matin Daniel faisait le tour de Yamoussoukro s’il refuse je me lève moi-même pour y aller il change d’avis. Brigitte aménage chez moi et tante faisait les aller retour.
A peine dans mon sixième mois Daniel était sur que l’air de Yamoussoukro n’était pas bon pour moi j’avais interdiction de quitter la maison c’est sa mère qui le ramène a la raison. Stéphane était lui aussi au petit soin Abidjan Paris Londres c’est lui que Daniel avait charger de faire la décoration de la chambre du bébé. La vie était belle mon mari était heureux, mon fils adorait l’idée d’être grand frère. Pour ne pas voir mes oncles s’approcher de moi pendant toute ma grossesse Daniel augmente de 100 milles francs leurs argent de poche. La fille dénommé Audrey que Monique et sa sœur voulais placer a Daniel n’était pas aussi mal éduquer qu’elle.
Elle devient une très bonne amie a Stéphane. Et la petite amie du présidente français disons sa femme en Afrique. J’étais arrivée a un point où je ne voulais plus partager Daniel même pas avec Isabelle. Et sa Daniel lui-même l’avais compris c’était en cachette qu’il la voyait des qu’il venait a Yamoussoukro je sentais l’odeur de ses chemise pour voir si je sentais l’odeur d’Isabelle. Cela le faisait rire car il changeait toujours ces affaires avant d’arriver chez moi.
Un après midi alors que je fais la cuisine pour tout le monde Daniel rentre dans la cuisine ferme la porte derrière lui il me retourne et me demande furieux
Daniel : Tu a revue ce Mario ?
Nia : Non pourquoi ?
Daniel : Alors pourquoi il t’envoie ce genre de message
iL pose mon téléphone dans mes mains un message de Mario qui me souhaite une bonne fête des mères rien d’extraordinaire mais qui ne plaît pas du tout a mon mari on se disputent dans la cuisine jusqu’au moment où Brigitte entre dans la cuisine elle aussi toute énerver
Brigitte : Daniel alors c’est comme ça que tu as fait la première fois. N’est ce pas je sais que tu a le sang vri je te soupçonnait mais je n’avais pas de preuve.
Daniel : Maman c’est pas le moment s’il te plaît je parle avec Nia
Brigitte : Et moi je parle avec vous deux. Tu a quitter ton boulot pour venir frapper ta femme enceinte a cause de SMS ?
Daniel : Bien sur que non maman ont discutent c’est tout
Brigitte : Et pourquoi ta femme a peur de toi dit moi
Je n’avais même pas remarquer que j’avais reculer me collant contre le frigo avec mes 2 mains protégeant mon ventre effectivement Brigitte avait raison j’avais même pas remarquer un reflex inconscient de ma part.
Daniel se retourne me voit il comprend qu’il m’avait fait peur il recule. IL vient me serrer en s’excusant a plusieurs reprise mais c’était mal connaitre Brigitte qui n’avait pas du tout l’intention de renoncer à son interrogatoire.
Brigitte : Répond moi, pourquoi Nia a peur de toi ?
Nia : Pour rien maman ça doit être la grossesse qui m’a rendu sensible. Tu sais même le vent m’effraie ces derniers jours
Brigitte : Tu me prend pour une idiote ? Je vais me fâcher contre toi, tu ne t’appelle pas Daniel. Hé toi je t’ai posé une question
Daniel : Quand j’ai vue les photos avec Kalou je l’ai battue c’est pour ça qu’elle a eu peur en me voyant crier maman mais je ne
Avant même que Daniel ne termine sa phrase une gifle va retentir dans la cuisine je ne sais pas pourquoi mais je me met devant Daniel pour le protéger. Brigitte avait les yeux rouges de colères
Brigitte : Moi la directrice de l’association de soutien des femmes battues mon propre fils bats sa femme ? Daniel qui t’a appris cela ?
Daniel : Je n’avais pas réfléchi a l’époque c’était monter en moi !
Brigitte : Tu frappe ta femme enceinte et tu fais comme si de rien n’était et tu continue ta vie ? Tu a même le culot d’aller te présenter devant les anciens de sa famille pour la divorcer qui est tu ?
Nia : Maman non s’il te plaît ne te fâche plus ne dit plus rien
Brigitte : Qu’il me regarde dans les yeux et me donne une bonne explication pour ne pas le renier !
Daniel : Me Renier ? Grossesse je comprend rien tu parle de quoi
Brigitte me prend par la main et me demande
Brigitte : Nia je travaille avec des femmes battues tu crois que quand je suis venue le jour là j’ai pas vue les traces sur toi et ton manche longue ? Nia tu ne porte pas de manche longue.
Nia : IL ne le sait pas maman je lui ai pas dit ça
Daniel : Tu m’a pas dit quoi Yolande parle je t’écoute
Je commence à tâtonné et Brigitte lui balance a la figure
Brigitte : Tu savais que Nia était enceinte quand tu l’a battue ? Je t’informe qu’à cause de toi elle a fait une fausse couche.
Daniel perd un peu l’équilibre et s’adosse contre l’armoire de la cuisine il se tourne vers moi les larmes aux yeux je voulait le toucher pour le consoler mais Brigitte m’attrape la main elle dit
Brigitte: Non laisse le il doit comprendre ce qu’il à fait!
Pour la première fois en presque 5 ans je vois un Daniel sans voix au bord des larmes en sortant de la cuisine Brigitte ajoute
Brigitte : C’est pour éviter que ça ne se reproduise que je suis venue vivre ici tu ne tuera pas mon petit fils une deuxième fois
Daniel : Excuser moi je dois y aller
Daniel sort de la cuisine je fond en larme ma belle mère me serre dans ces bras, en me consolant elle me dit
Brigitte : Nia, Daniel est ton mari oui, je suis sa mère c’est vrai, tu l’aimes je sais mais ne laisse jamais un homme te faire ce qu’il t’a fait. J’aime mon fils mais pas au détriment d’une vie.
Nia : Pardon j’aurai dû te dire la vérité et a lui aussi. Je voulais oublier, je lui ai pardonner
Brigitte : C’est a moi de te demander pardon c’est mon fils qui t’a manquer de respect. Je suis sa mère mais je suis femme d’abord. iL doit comprendre et réaliser son acte laisse le.
Brigitte me fait monter dans ma chambre. Je reste coucher sur mon lit attendant son retour. Stéphane vient me retrouver pour parler. Le soir Daniel ne rentrera pas manger. Je m’inquiète espérant qu’il n’a pas fait de bêtises. 3 h du matin je l’entends rentrer a la maison je m’assoie sur le lit pour lui parler. Quand il rentre enfin dans la chambre je le vois venir vers moi
Daniel : Pourquoi tu me l’a cacher Yolande ? Pourquoi ?
Nia : Pour moi c’était finit entre nous et puis on s’est remis en couple alors je voulais laisser le passer dans le passer.
Daniel s’assoies sur le lit et prend sa tête dans ces bras je ne savais pas quoi faire le consoler où le laisser tranquille.
Daniel : Je comprends mieux pourquoi tu garde toujours un peu de distance quand je m’énerve Yolande. Je suis désolé pardon
Nia : C’est bon Daniel c’est pour ne pas te voir comme ça que je n’ai rien dit. J’aime pas te voir triste Daniel.
Daniel : Et tu as pu me pardonner comme ça ? Je sais sur quel genre de conditions cette relation a débuter mais je te connais tu n’aime pas autant l’argent.
Nia : Cédric t’aime et te vois comme son papa. Tu m’as donner beaucoup en acceptant mon petit frère Daniel
Daniel : C’est tout ?
Nia : Oui Daniel
Et là j’entend la voix de Stéphane qui crie a côté de la porte
Stéph : Elle ment elle est amoureuse de toi !
Mon cœur tombe nette Daniel se retourne et me regarde avec des yeux qui brillent
Daniel : C’est vrai tu m’aime même après tout cela?
Nia : Ne l’écoute pas je ne suis pas amoureuse de toi on a un contrat et je le respecte. Et puis même si j’étais amoureuse de toi, toi tu n’est pas amoureux de moi qu’est ce que sa change ?
Daniel : Tu a raison qu’est ce sa pourrait changer je ne suis pas amoureux de toi.
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LA SAGA DES KOUAMÉ (Nia la Prostituée du Président Tome1) Version Coupé
Lãng mạnQue se passe-t-il quand une jeune femme devient l'objet de désir de l'homme le plus puissant du pays? Nia vient de perdre ses parents dans un accident, et elle doit maintenant s'occuper de son petit frère Cédric et de sa grand-mère Amandine. Sans le...