épisode 8

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On éclate de rire le soir même je l'accompagne a son rendez vous on passe une super soirée avec les garçons.

Marc nous raccompagne a la villa je vais descendre de la voiture et je les attends devant la maison. ILs vont rester seul à discuter pendant 2 heures de temps dans la voiture moi ça ne me dérange pas la devanture de la maison avait un bon coin où s'asseoir je reste les yeux bien ouverts en gardien avec mon téléphone allumer mes doigts figée sur le numéro de Stéphane juste au cas où. Je profite pour prendre l'air frais du soir et repenser a toute ces dernières semaines. Le lendemain matin vers 6 heures nous nous mettons en route pour la maison.

En route on discute et on fait les fous heureux de se voyage nous discutions. Jusqu'aux retour on était de bonne humeur. Nous arrivons à la maison content mais mes cousines et leur mère Eliane avait encore dépasser les bornes Monique se faisait ruer de coup elle serait rentrer complètement ivre a 2h du matin d'effrayant ainsi la colère de son père. Je m'éclipse dans ma chambre pour serrer mon petit bébé d'amour dans mes bras. IL m'avait tellement manquer dès que je le prends dans mes bras il se réveille nette

Cédric : Maman tu étais où je suis rester hier ici tout seul

Nia : Mais mon mimi chou il y'avait Mamie avec toi

Cédric : C'est pas pareille j'ai cru que tu étais parti comme papa

Nia : Chuuuute bébé je n'irai nulle part je suis ici avec toi et je resterai ici pour toujours vient dans mes bras chérie.

Je me rends compte que le psychologue avait raison Cédric était toujours traumatisé par la mort de nos parents il tremblait de tout son petit corps. Je n'aurais pas dû partir ainsi il a du avoir très peur. Ma grand-mère rentre et ajoute

Amandine : Je vois que tu a compris toi-même tu n'a peut être jamais accoucher mais tu est maman maintenant Céli

Nia : Mamie j'ai compris désolé

Amandine : Je n'ai rien dit avec l'espoir que tu remarque toi-même. Céli tu as 18 ans tu veux vivre ta jeunesse faire comme tes camarades et c'est de tout ton droit.

Nia : Je n'avais pas penser que ça le travaillerais comme ça

Amandine : Céli tu un petit frère qui voit en toi sa mère tu peu très bien vivre ta vie mais dit moi pense tu que ces gens dehors son capable d'aimer Cédric comme toi. Ton père et ta mère son tranquille dans leur tombe car ils savent que tu est là. Moi je vais mourir un jour peut être demain alors méfie toi. Fait a manger à l'enfants depuis ton départ il a manger avec difficulté.

Ma grand-mère avait raison je m'étais laisser emballer par l'argent mon Dieu.
Et la je repense à mes parents ils ont du se retourner dans leurs tombe ces derniers jours. Je vais me laver et sors tout mes cadeaux pour Cédric je lui fais un petit riz et je lui donne a manger.

IL mangeait son riz avec le pain au chocolat dans une main et le paquet de biscuits dans l'autre main. Le jour se lève monsieur kouamé m'avait donner la journée donc je pouvais aller à la banque mais d'abord Stéphane et moi on veut déposer le petit a l'école même après 45 minutes de négociation Cédric ne bouge pas il ne me faisait plus confiance c'est ainsi que je vais dans son école pour l'excuser jusqu'aux lundi. Nous allons à la banque je vais retirer la part de Stéphane et prend 400 milles pour moi le reste va sur mon compte.

Steph: Je crois qu'il est temps de clôturer ton terrain ont va sur la route des constructeurs faut battre le fer quand il est chaud

Nia : Tu crois que ça va suffire tu a parler d'un maquis aussi

Steph : Oui largement, c'est assez ma chérie

On va sur la route des constructeurs Stéphane avait tout d'un coup changer le garçon efféminé avait disparu sa voix était plus grave très masculin. Et je comprends vite pourquoi il préfère son côté féminin en masculin Stéphane faisait peur. Pour l'architecte j'étais sa sœur. Nous irons ensuite voir des Locaux pour les louer en moins d'une semaine on avait un petit maquis a nous, contrat signé par nous deux nous étions les nouveaux propriétaires la voisine qui vendait a l'époque avec nous nous livrait maintenant avec des brochettes de porc.

Moi je continue mon travail chez Monsieur kouamé. 2 mois plus tard J'apporte le repas de Mrs kouamé la porte était ouverte un de ces amis en visite me demande si je pouvais lui livrer aussi tout les midis je ne refuse pas je lui fais une facture les riches ne joue pas il met la main a la poche et me remets 300 milles cache. Après le départ des invités je me retrouve brusque devant un monsieur kouamé pas très content

Daniel : Je croyait qu'on avait un contrat exclusive toi et moi

Nia: Ne vous inquiéter surtout pas monsieur kouamé Stéphane va se charger de la livraison de votre amis.

Daniel : J'espère je n'aime pas partager c'est une chose dont j'ai horreur. Vous pouvez servir après prenez place on va parler.

Je m'assoie pour l'écouter. Après l'avoir écouter je retourne au maquis retrouver ma grand-mère et Stéphane. Avec le temps j'avais une petite Mobylette soulageant un peu Stéphane en me voyant il avait compris que quelques chose n'allait pas. Ma grand-mère était contente pour moi je travaillais dans un endroit plus sur nous n'étions plus dehors livrer à l'humeur de tout les soulard. Nos anciens clients policiers était revenue vers nous donc tout allait bien.

A un petit moment où nous sommes seul je parle avec Stéphane de la proposition de Monsieur kouamé.

Stéph: Vas-y dit moi que se passe t'il

Nia: IL veux que je couche avec lui Stéphane

Steph : Ça c'est pas nouveau mais bon on s'y attendait

Nia : Et il veut me payer a chaque fois qu'on le fait

Steph : Quoi ? Attend il est fou où quoi il n'a même pas jouer la carte de devient ma maîtresse un peu genre tralala ?

Nia : IL me propose un million a chaque fois que je lui écarte les jambes il va voyager demain pour l'Espagne et a son retour il veut une réponse. Stéphane tu ne sais pas le pire

Steph: Attend parce qu'il y a encore plus pire que cette proposition ?

Nia : IL veux que j'aille vivre dans la villa a Yamoussoukro avec Cédric et la vieille. Stéphane le mogo sais tout de ma vie tout

Steph : Le gars est grave j'espère que tu va refuser

Nia: J'ai pris mes jambes a mon cou. Merde j'ai vue le cadavre de mon père me poursuivre avec une ceinture pour me tuer.

C'était finit le lendemain matin je me réveille avec une grosse migraine mais rien qu'un paracétamol ne pouvait pas régler. Je me tourne pour réveiller Cédric je le touche il était si calme si paisible. Je le prends je vais lui donner sa douche mais ma tranquillité était de courte durée.

Joseph : Sonia Monique Nia venez ici

Rodrigue : Écouter moi bien toute les trois nous avons décider de ne plus accepter certains comportements dans cette maison. Surtout venant de vous deux Monique et Sonia

Sonia : Tonton Rodrigue ce n'est pas juste quand c'est nous vous parler mais quand c'est celle là vous ne dite rien

Joseph: C'est toi qui parle où c'est mes mains qui vont venir s'ajouter à ta joue imbécile?

Eliane : Elle a raison Nia est plus jeune mais vous ne parlez pas

Rodrigue : Elle travaille contrairement a ces 2 paresseuse

Eliane : Vous 2 vous parler comme si travailler était facile elle sont encore trop jeune pour travailler.

Joseph : Nia elle vont travailler avec toi au maquis

Nia : Non tonton pardon elle seront plus un problème que de l'aide, je ne peux pas travailler et les surveiller en même temps en plus tu les connais je ne veux être accusée de rien demain

Eliane : Tu vois même elle ne veut pas leur donner du boulot

Nia : Ma tante ne nous mentons pas tes filles ne veulent rien faire et je ne peu pas gérer leurs histoires la bas en plus on ne s'entend pas je ne veux pas plus de boulot que j'en avais déjà.

Joseph : Brève de discussion elle commence avec toi demain

Sonia : Je ne vais pas accepter un salaire moins de 200milles

Nia : Toi tu ne sais pas cuisiner tu oublie l'eau sur le feu tu veux 200 milles ? Pardon faut rester a la maison. 200 milles ne me fait pas rire tu sais combien de clients on doit servir pour ça

Rodrigue : Tu sera payer comme tout le monde là bas.

Nia : Tonton leurs salaires va dépendre de leur façon de travailler si elle devienne un problème je les vides

Joseph : Je suis d'accord alors c'est décider

Nia : Non c'est pas décider Stéphane a son mots a dire c'est lui le propriétaire du maquis

Joseph : Je vais lui parler moi-même


LA SAGA DES  KOUAMÉ (Nia la Prostituée du Président Tome1) Version CoupéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant