39 Meurtre ?

2.4K 87 3
                                    

PDV Jace

11 jours après l'anniversaire.

Aujourd'hui je vais enfin pouvoir aller la chercher, J'ai réglé le problème que j'avais. Simon ne peut plus rien maintenant.

*****

PDV

10 jours après l'anniversaire

Ce matin je me suis levé avant Simon, je voulais lui préparer un bon petit déjeuner. Je ne le remercierais jamais assez de tout ce qu'il fait pour moi.

Alors que je verse la pâte à crêpe dans la poile, quelqu'un toc à la porte. Il est tôt, c'est bizarre. Peut-être un voisin ?

Je remarque que Simon dort toujours, donc je vais ouvrir laissant ma crêpe cuire seul dans la cuisine.

J'ouvre et tombe sur deux policiers, c'est quoi cette merde là ?!

Un des policiers : Bonjours mademoiselle, Est-ce que Simon *** habite bien ici ?

Moi : Eu... Ouai, Pourquoi ? Il se passe quoi?

L'autre policier : Il est suspecté dans une affaire de meurtre.

Quoi c'est impossible !!!

Simon : Qui c'est Lola ? Dit Simon alors qu'il se rapproché de la porte.

Un policier me pousse sur le côté, et entre dans l'appartement.

Le policier : Monsieur, vous êtes en état d'arrestation ! Dit-il en lui tordant le bras pour lui passer les menottes.

Simon : Quoi? Qu'est-ce que j'ai fait ?

Le policier : Vous êtes suspecté pour le meurtre du PDG de Orazio's compagnie.

Quoi Mais ce nom c'est celui de mon soi-disant oncle !!

C'est impossible !

Moi : Non ce n'est pas possible !

Un des policiers : Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Dit-il en s'adressant à Simon.

Moi : Non ce n'est pas lui, vous vous trompez. Dis-je en tenant le bras d'un des policiers.

Moi : Lâcher le, vous ne pouvez pas me l'enlever ! Dis-je en pleurant.

Le policier : Mademoiselle, si vous continuer nous allons devoir vous embarquer pour complicité !

Simon : Lola! Arrête ! Ils ne trouveront rien contre moi, je ne suis pas coupable !

Il semble si sérieux, mais je ne veux pas qu'il parte !

Simon : Lola !

Je finis par lâcher le policier. Simon et lui passèrent la porte.

Alors que l'autre policier allait partir, il reçut un appel. Et Il décrocha devant moi.

Le policier : Oui ?

...

Le policier : Oui.

...

Le policier : Non.

...

Le policier : Compris.

Puis il raccrocha, et s'approcha de moi. Puis me dépassa et éteint la gazinière. Ma crêpe pensais-je elle est cramé maintenant. Mais à quoi bon se lamenté de toute manière Simon n'était plus là pour la goûter.

Le policier revint vers moi, je n'avais toujours pas bougé, et Simon et l'autre policier était déjà partis.

Le policier : Veuillez me suivre.

ContrôléeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant