Deux familles doivent s'unirent pour des raisons monétaire, et d' héritage. La famille des Min est réputé dans le pays, elle est riche et puissante, Yoongi est le deuxième enfant de cette famille, aujourd'hui rendu à 24 ans son père là obligé à sig...
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- Je vous attends pour diner.
Voilà les mots qu'il m'a jeté à la figure, car oui j'ai eu l'audace d'ouvrir la porte et d'affronter le monstre. Il m'a regardé de ces yeux glacés, les mains dans les poches, le haut de sa chemise est entrouverte, en voyant cette petite partie de son torse, on peu difficilement croire qu'il puisse ne pas convenir à la plupart des femmes qui travaillent dans ce manoir.
Oui il est bel homme, oui il a un charme fous et un putain de charisme mais je le hais, il est violent, méchant, froid, et j'en passe. L'enfer c'est lui et maintenant ma vie, je n'ai qu'une envie c'est de fuir mais comment pourrai-je, je dois remplir mes fonctions et je l'ai dis.
Je ne veux pas me dégonflé, surtout pas maintenant j'ai signé les papiers, j'irais donc jusqu'au bout. Je ne sais pas qu'elle idée il a derrière la tête, je trouve ça étrange l'idée de m'attendre pour manger, peut-être qu'il veut faire bonne impression au près de ces parents, qui doivent le surveiller de près.
Je referme la porte, car même si Hadès est parti je suis resté la planté comme une cruche, perdu dans mes pensées. Je ne ferais aucun effort, pas de tenue spéciale ni d'arrangement pour son beau minois, je descendrais comme je suis.
Hadès, c'est le nouveau nom que je vais lui donner, le dieu des enfer frère de Zeus mais pire homme sur terre, avec lui réside les morts du monde et les crevures qui y on vécus, cette homme n'est pas fait pour moi et on me l'a donné pour mari. Lui et moi n'avons rien à voir, deux opposés que rien unie.
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Je descend lentement les marches, le manoir est beau, grand spacieux et moderne je l'aime beaucoup, mais l'idée de m'y sentir bien pour le moment ne fait pas parti de mes projets. Je retrouve la salle ou doit se dérouler les repas, elle est grande il y a un feu de cheminé et une grande table en bois noire et en verre. Comme dans la belle et la bête il est à un bout de la table et une chaise m'attend à l'autre bout. Ceci m'arrange, plus je serais loin de lui et mieux je me sentirais.
Un silence long et pesant, me tombe dessus nous mangeons simplement, le bruit des couverts tapant sur l'assiette est la seule distraction du repas. Je sens de temps en temps son regard sur moi, aussi dure que de la glace. Il y a comme des courant d'air dans la pièce pourtant j'ai vérifié, aucune fenêtres est ouverte.
- Demain.
Je relève ma tête surprise, il a parlé je ne m'y attendais pas. Je le regarde en attendant une suite, en étant sur mes gardes.
- ...
- Quoi demain ? demandai-je
- Nous devons rendre visite à notre lieux de mariage. dit-il avec une grimace
- Déjà.
- Si ça ne vous va pas, c'est pareil.
- ...
- Tout ceci est ridicule, devoir me marier avec une gamine.
- Je n'ai que 2 ans de moins que vous.
- J'en ai rien à foutre, je ne vous aime pas et vous aimerais jamais.
- Ne vous inquiétez pas c'est réciproque.
- Tant mieux, on gagne du temps.
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Quand je pars me couché, il est minuit une journée de passé avec cette chose, cet espèce d'homme sans cœur. Je ne pensais pas possible le fait de ressentir autant de dégouts pour une seule et même personne. Mais de nos jours tout est possible, je déteste mes parents, à me forcer à vivre cette vie. Cette erreur qu'ils ont fait pour leur petite fortune, leur petite succession sans penser à mon bien être, des objets que nous sommes, voilà à quoi je suis réduite servir ma famille et à honorer son nom.
J'espère seulement ne pas le payer de ma vie.
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- Voilà le terrains, nous accueillerons ici les nombreux invités et dans cette salle se passera une grande partie de la cérémonie.
Voilà maintenant près d'une heure qu'un vieille homme nous fait la visite, cette endroit ou va se dérouler mon mariage ne m'intéresse pas du tout, heureusement pour moi je n'ai pas à m'occuper de toutes les modalités, je fais seulement ce qu'on me demande et ça me va très bien.
- Peut-être que madame veut voir les robes sélectionnées par Mme Choi et Mme Min ?
Je regarde l'homme, qui semble heureux de se faire un énorme chèque pour cette occasion, tout ceci me dégoute, mais je prend sur moi et hoche la tête.
On m'emmène dans une pièce fermée à clé, et j'y trouve plusieurs robes de mariages, quand je les vois je sens les larmes monter, non pas parce que je suis émus de bonheur mais bien parce que je suis triste, d'imaginer le jour de la cérémonie. Je me retiens avec beaucoup de mal, la femme qui m'accompagne ne cesse de sourire, ça se voit qu'elle est au travail elle, son sourire et purement professionnel et donc faux.
- Il faudra que vous choisissiez celle que vous voulez porter Madame. dit-elle
- Je peux y réfléchir ? demandai-je en regardant par la fenêtre
- Heu oui, bien-sur.
- Merci.
Je passe à côté de la femme sans aucun sourire, on dirait que je suis déprimé mais c'est bien le cas, même si je dois faire bonne figure je ne peux pas faire plus que ça, je n'arrive pas à mentir comme tout ces cons. Je sors de la salle seule et m'engage à trouver la sortie, j'attendrais dans la voiture, je m'y sentirais mieux.
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J'aurais attendu près de deux heures, avant que mon futur mari ne vienne, sous la pluie les mains toujours dans les poches, il a constamment cette air de bad boy qui m'agace chez lui. Quand il entre dans la voiture, je fais comme si il n'existait pas et nous partons dans un silence absolue.
J'espère que le jour du mariage n'arrivera pas, j'espère que ça ne sera qu'un cauchemars, j'espère ne plus exister d'ici là.
