Deux familles doivent s'unirent pour des raisons monétaire, et d' héritage. La famille des Min est réputé dans le pays, elle est riche et puissante, Yoongi est le deuxième enfant de cette famille, aujourd'hui rendu à 24 ans son père là obligé à sig...
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Aujourd'hui j'ai du rencontrer certaines personnes qui organises le mariage, celui-ci approche et je suis presque sur d'avoir la visite de ma famille prochainement pour l'occasion, ce qui ne m'arrange pas trop.
Je n'ai pas revu Hadès aujourd'hui, je me promène dans le manoir sans trop savoir quoi faire, je passe beaucoup de temps à étudier de nouvelles langues, à lire des livres, et autres actualités. Je me erre dans les couloirs tel un fantôme, jusqu'au moment ou je passe devant une salle qui semble être ouverte. Par curiosité et parce que j'ai rien à faire, je m'approche en regardant autour de moi, histoire de voir si il y a personne aux alentours.
Je pousse la porte et entre dans la pièce, plongé dans le noire il fait jour dehors mais les rideaux sont tirés sans savoir pourquoi. Trop curieuse, je m'introduit dans la pièce, je ne sais pas pourquoi mais cette situation semble m'amuser.
Je ne regarde pas trop où je vais, en même temps il faut dire qu'on ne voit pas grand-chose. J'avance de plus en plus dans la pièce sans savoir pourquoi mais très vite les choses dérapent légèrement pour moi.
La porte d'entrée se ferme, et j'entends un bruit de clé et de serrure. Je comprends que quelqu'un essaie de m'enfermer dans cette pièce sans lumière, alors naturellement je panique et me précipite vers la porte, cela ne m'arrange pas plus puisque la porte reste toujours fermée, malgré mes plaintes et mes coûts je reste coincé
Je recule de quelques pas et analyse la situation, je respire bruyamment trop bruyamment. Ça ne sert à rien de paniquer, j'en ai bien conscience mais il faut avouer la situation c'est tout de même peur.
J'essaie de trouver mon chemin entre les meubles de la pièce que je ne reconnais pas du tout, afin d'atteindre l'une des fenêtres de afin d'atteindre l'une des fenêtres. Je m'agrippe au rideau et le tir, pour laisser entrer un peu de lumière.
Je reproduis les mêmes gestes pour toutes les fenêtres, pour enfin voir où je me trouve. Il s'agit d'un bureau, la pièce est grande décorée de tableaux sur les murs, un lustre orne le plafond, il y a quelques plantes qui semble être en bonne forme ce qui veut dire que des personnes viennent ici pour les entretenir.
Je ne connaissais pas cet endroit, mais je ne connaît pas toutes les pièces du manoir non plus. Cette situation est étrange, c'est comme si quelqu'un avait voulu me tendre un piège. Me retrouver coincé ici, dans cette pièce sombre qui avait sa porte entrouverte, et cette personne derrière la porte il semblait attendre que je rentre pour m'enfermer ici.
Un nom me vient en tête celui de mon futur mari, je ne vois que lui qui serait capable de faire ça, à moins qu'il est joué de ses charmes pour se mettre dans la poche une ou deux femme de ménage et les faire se retourner contre moi.
Je sais que l'idée est tordu, mais avec lui on peut s'attendre à tout. J'essaie de réfléchir comment sortir de la, je vois à quelques mètres de moi une porte fermée, je m'approche d'elle et essaie de l'ouvrir, elle s'ouvre facilement mais c'est avec beaucoup de déception que je constate qu'il s'agit d'un simple placard.
Je referme la porte et m'appuie contre celle-ci, une main vient se placer sur mon visage montrant à quel point la situation me fatigue et me désespère, je ne sais pas si Hadès agit comme ça pour me faire payer ce futur mariage non désirée, ou s'il s'amuse simplement à me torturer de manière délicate pour le moment.
Je reste quelques secondes dans le silence à réfléchir, je ne vois pas d'autre sortie que celle de la porte d'entrée fermée à clé maintenant. Je ne peux pas passer par les fenêtres, ça serait beaucoup trop haut pour moi. Je suis donc condamné à rester ici je ne sais pas pour combien de temps, naturellement je n'ai pas pris avec moi mon portable ni un quelconque objet qui pourrait m'aider à sortir.
Je fais le tour de la pièce histoire de trouver quelque chose qui pourrait m'aider, jusqu'au bureau je constate qu'il y a un téléphone fixe. Alors je le prends précipitamment et compose le premier numéro qui me vient à l'esprit, cependant rien ne se produit puisque le câble qui est censé amener la communication est coupé.
Je lâche le portable dégoûté, qui est assez tordu pour foutre en l'air un téléphone encore utilisable pour une simple blague, et d'abord est-ce vraiment une blague je repense à ce qu'il m'a dit hier soir, cette façon de me mettre en garde contre lui-même. Cette façon de me regarder méchamment pour me faire comprendre que des prochains jours passés à ses côtés allaient être un calvaire.
Est-ce que le calvaire commence maintenant, il a pourtant déjà fait pire que ça, enfin je crois. Ça ne fait que quelques jours que je suis ici, je ne pense pas le déranger plus que ça nous ne nous voyons pas, jamais. Il ne désire pas ce mariage, mais moi non plus je n'en veux pas.
Tout comme lui je subis les idées de nos parents qui ont suivi celle des leurs. Cette tradition devrait être banni, enlevée ou que sais-je, elle devrait disparaître.
Je trouve ça injuste de te voir subir la colère d'une personne qui souffre des mêmes maux que moi. Je me laisse tomber sur la chaise et reste ainsi plusieurs minutes à ne pas bouger à juste réfléchir. La soirée risque d'être longue.
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Quand je me réveille le lendemain, j'ai du mal à me souvenir et à comprendre ce que je fais assise sur une chaise et affalée sur un bureau.
Puis très vite les souvenirs me reviennent, et je prends conscience que j'ai passé la nuit dans cette pièce, enfermé par je ne sais qui. Mon premier réflexe est de regarder la porte qui se trouve derrière moi, elle est entrouverte. Je me lève précipitamment et sort, en regardant à droite à gauche dans le couloir qui naturellement est vide.
Je suis stupide de croire que la personne m'attendait derrière la porte pour me sortir un " surprise ". Je finis par rejoindre ma chambre, je décide d'aller prendre une douche et de me changer avant d'aller chercher quelque chose à manger.
Une chose est sûre je ne retournerai jamais vers cette pièce ni même vers ce couloir.
