𝐮𝐧𝐭𝐨𝐮𝐜𝐡𝐚𝐛𝐥𝐞 | Eren Saison 4 x Reader.

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j'avais alors décidé de m'endormir moi aussi. je t'avais repoussé contre le canapé et avais posé ma tête contre ton épaule. il était six heures du soir et je ne connaissais que la moitié de mes cours et pourtant j'avais un exam écrit demain.
qu'est ce que je ne ferai pas pour toi, Eren ? au final tu avais passé la nuit chez moi et nous nous étions réveillés plutôt dans la matinée. je m'étais réveillée en premier, pourtant tu avais dormi plus vite que moi : étais-tu fatigué à ce point ? il était six heures du matin. j'avais mon exam à huit heures alors je fis vite de me préparer et tu entras en trombe dans ma chambre alors que j'étais encore en serviette. nous étions tout les deux gênés, je n'aurais jamais imaginé qu'un homme soit gêné par mes formes plus ou moins disgracieuses.

__ " je suis désolé, j'aurai dû frapp-...
__ " un peu que tu es désolé ! j'aurais pu très bien être nue ! - m'énervais-je.
tu l'avais senti et t'étais approché.

___ " hey, pourquoi tu t'énerves ? - fis-tu en te rapprochant de plus en plus. j'étais juste gênée et en colère : même si j'étais plus confiante, mon physique restait l'un des sujets les plus délicats à aborder. j'étais mince mais avait des hanches développées. je les détestais, même si cela me faisait avoir une taille plutôt fine. mes cuisses restaient mon plus gros complexe, alors te voir me voir  dans une tenue aussi révélatrice me faisait complexer. - tu vas bien ? - m'avais-tu demandé devant mon manque de réaction.

je fermai les yeux et te demandai de partir. tu n'avais pas cherché à comprendre plus, tu t'étais simplement retourné et avait fermé la porte derrière toi ; je m'écroulai sur mon lit avant de me prendre la tête entre les deux mains. comment me verrais-tu maintenant, maintenant que tu m'avais vu sans les tonnes de vêtements qui camouflaient tant bien que mal mes complexes ?

plus tard, nous avions emprunté le métro et tu avais posé ta tête contre mon épaule. je levai les yeux au ciel. même si nous avions vécu un moment gênant ce matin, tu ne semblais guère t'en préoccuper.

__ " tu sais, [t/p]. tu devrais arrêter de t'en faire, tu es tellement jolie. - dis-tu en me regardant droit dans les yeux. - je suis sûr que le gars qui sera ton petit-ami ne dira pas le contraire !

et là, tu m'avais enfoncé un pieux dans le cœur.