« C'est seulement au moment de mourir qu'on s'aperçoit que la vie ne valait pas la peine d'être vécue. »
Dans la peau de Marwan,
Oh la putain de moi, on a faillit faire une gaffe a cause de khalti ElHamdüllillah j'ai eut le bon reflex de parler au même moment sah.
Imrâne : j'étais même pas au courant qu'il avait une gadji
Moi : faut que je te dise heja Imrâne
Imrâne : y'a quoi frérot tu deviens blanc là
Moi : tu penses que tu m'en voudras de ne rien t'avoir dit ?
Imrâne : ça depend c'est quoi
Moi : même si tu nous en veux fait comme ci de rien n'étais saha ?
Imrâne : wsh Marwan tu sais j'aime pas les trucs comme ça
Il commence à faire les 100 pas, à tourner en rond. A s'énerver.
Moi : dis à tes darons de venir c'est urgent
La un médecin sort de quelque part je sais même pas comme ça s'appelle.
Médecin : bonsoir le monsieur de toute à l'heure j'ai à vous parler monsieur
Moi : c'est moi monsieur
Imrâne : je peux venir ?
Moi : tu peux garder le petit et khalti puis on parle
Imrâne : vazi kho (mon frère)
Je suit le médecin avec une meuf de la cité qui travaille ici une petite jeune. La petite sœur de Samir. C'est une infirmière heja comme ça. On se pose alors sur deux chaises et en face le médecin. Qui s'occupe des deux autres (Siana et Junayd).
Il décide alors de prendre la parole pendant que je moi je stresse mes jambes elles tremblent la il s'agit de mon frère.
Junayd sans moi ça n'existe pas, moi sans Junayd ça n'existe pas on dirait on est pd mais Hcheum on l'ai pas mais Junayd j'ai grandi avec, malgré nos embrouilles il sait à quel point je peux mourir pour lui.
Médecin : alors comme vous le constatez c'est la panique à bord cet accident a provoqué une pagaye
La sœur de Samir : patron tu peux passer au vif du sujet on a plus le temps
Médecin : excusez moi Sofiana du coup pour le côté de monsieur Junayd il a était pris en charge assez tard mais le diagnostic est tombé, il s'en sortira avec quelques égratignures sur le visage ainsi que sur d'autres parties du corps, une côte gauche fracturée au niveau du bassin on le munira de béquille et de quelques mots de rééducation pour pouvoir retrouver l'usage de ses jambes
Moi : il est réveillé ? (en le coupant)
Médecin : d'ici quelques minutes ou quelques heures il se réveillera tout dépend de lui, il a à sa disposition de la morphine puis on fera entrer que ces proches proches
La sœur de Samir : okey tant mieux et pour mademoiselle Siana ?
Médecin : (il baisse la tête)
Dans la peau de Imrâne,
Je suis serpo avec mes parents Jihane, Kayden est chez mes grands parents. On attend tous que Marwan sortent du bureau avec le médecin et la tipeu de Samir. Mes parents ne savent pas pourquoi je les ai appeler et moi même je ne sais pas pourquoi Marwan ma demandé de les appeler.
On attend on attend Essamelias est dans les bras de ma mère.
Essamelias : tata Sousou (souhaîla le prénom de ma mère) zai faim (j'ai faim)
Ma mère : on va bientôt rentré d'accord ?
Essamelias : ze dodo se toi ? (Je dors chez toi)
Moi : tu veux ?
Ma mère : si tu veux habibi (mon chéri)
Essamelias : Siana elle est ou ?
Ma mère : je sais pas mon chéri
Essamelias : elle z'était la tout l'heure (elle était là toute à l'heure)
Ma mère : où ça
Younes prend la parole en disant.
Younes : mais non beau goss c'était avant hier ça
Essamelias : non zétait taleur (non c'était toute à l'heure)
Younes : non non tu rêves
La vérité sort toujours de la bouche des enfants. Donc la mes potos m'ont cacher le retour de ma sœur c'est sur et certain qu'elle soit venue et qu'elle doit aussi vite répartie. Je regrette oui je le dis noir sur blanc je vais tout faire pour réparer ce que j'ai pu casser.
Younes toujours aussi nia mais faut pas qu'on oublie au réveil de Junayd on lui doit de retrouver sa petite sœur et ce fils de pute de Adel.
Est ce la fin du destin de Siana ?
Quand est ce que tout ça finira ?Bslema mes viES.🤍
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Siana - Quand est ce que tout ça finira ?
RomanceSiana Aït Ali Abbas, une jeune fille marocaine vivant une vie banale. Elle fait plusieurs erreurs qui lui ont apporté beaucoup de complications, leur histoire d'amour pas comme les autres. C'est le destin..