Les journées s'enchaînaient et Aaron et moi étions de plus en plus passionnés par l'autre.
Nous ne cherchions même plus à quitter cette île, nous nous sommes dit que nous avions tout ici : une vie, des amis, une famille...
Et puis à quoi bon, c'est impossible de partir d'ici.
Je me suis rendu compte que plus les jours passaient, moins je ressentais cette douleur a l'abdomen qui m'était insupportable à mon arrivée ici.
Je ne comprends toujours pas pourquoi je l'avais, et je ne comprendrais surment jamais.Adèle avait raison, pourquoi partir d'ici alors que c'est le rêve de tous ?
Un rêve ? Surment... Ais je envi qu'il s'arrête ? Je ne sais pas...
Les mots de la vieille n'arrêtaient pas de tourner dans ma tête "oubli pas que cette île est surréaliste" ça veut dire quoi ? Elle peut pas mieux s'exprimer ?!
En tout cas, la n'est pas le moment car Aaron, Marc, chloé et moi sommes partis explorer l'autre côté de l'île.
Nous avons pris des jours de congés pour un petit séjour en couples.Pendant que Chloé et Marc sont devant Aaron et moi sommes derrière.
_je le trouve sympa Marc, pas toi ? Me questionne Aaron.
_si, malgré qu'il soit quelques fois étrange, mais bon, je suppose qu'on est tous un peu étrange des fois.
_Tu entends quoi par étrange ?
_bah, enfaite, il sourit tout le temps, il ne contrari jamais personne et il agit bizarrement, il y a quelque chose qui cloche.
_c'est une bonne chose qu'il soit souriant et qu'il n'aime pas les conflits, tu cherche toujours à quoi pense ou à ce que ressentent les gens, comme si tu essayé de savoir qui ils sont, tu veux pas arrêter et laisser chloé et Marc tranquille ?
Il n'a pas tort, j'aime savoir qui je fréquente, pourquoi ? Surment pour ne pas être déçu de l'apprendre trop tard...
Trop tard ? Pourquoi ce mot reste dans ma tête ?
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Naufragés d'un monde
Randomimaginez que vous arriviez sur une île sans aucuns souvenirs de votre passé. C'est ce qu'il va ce passer pour Judith, ainsi que plein d'autres personnes. Ils auront tous les même symptômes : l'amnésie ainsi qu'une douleur. Au fil du temps, Judith...