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Le lendemain, je me suis rendu au centre pour essayer de convaincre les autres de me suivre.

En y repensant, je me demande si tout cela est vrai, sérieusement, la vieille n'est pas surnommé mamifolle pour rien.
Mais bon, ça ne coûte rien d'essayer.

Une fois que j'avais trouver tout le monde, je les ai fait s'asseoir histoire qu'il m'écoute attentivement.

_Tu veux nous parler de quoi, me questionne Enzo.

Je ne vais pas leur dire que c'est la vieille qui m'en a parlé, sinon ils vont tous refuser car elle est folle, et ils n'ont pas totalement tort...

_il se peut que j'ai trouvé un moyen de partir de cette île, alors...

Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase que adèle intervient :
_non.

_je n'ai même pas fini ma phrase que tu dis non, pourquoi ?

_car je connais la suite Judith, et c'est non, en tout cas personnellement.

_c'est pareil pour moi Judith, je resterais ici, dit à son tour Enzo.

Je tourne ma tête vers chloé pour savoir sa réponse.

_et bien, je ne veux pas partir d'ici s'il faut qu'on soit séparé.

Elle a raison...Je ne sais pas quoi faire.

_rien ne vous empêche de partir sans nous, l'important, c'est qu'on soit tous heureux, peu importe le choix qu'on est pris, non ?

Enzo à également raison.

_et puis, Judith, on se reverra peut-être, rentre avec chloé, nous on profite encore un peu de cette vie, termine adèle.

Chloé prit la parole, en pleur :
_t'as intérêt qu'on se revoit tous adèle !

Adèle et Enzo lui sourit tout en la prenant de leurs bras.

_Qu'es ce que tu attends Judith, vien ! Me dit adèle en me rajoutant dans leur étreinte.

Je ne peux m'empêcher de penser qu'il manque quelqu'un a ce câlin de groupe...

Naufragés d'un monde Où les histoires vivent. Découvrez maintenant