PDV d'Izuku.
Je suis à côté de Mirio. Il appelle Tenshi.
Il met le haut-parleur pour que je puisse entendre, ce qu'il se dit.
-Tenshi : Allô.
-Mirio : Bonjour, c'est pour avoir des informations sur Neijire et Tamaki.
Je sens avec Mirio que Tenshi est plutôt tendu.
-Tenshi : Je ne peux rien te dire.
-Mirio : Je suis en couple avec Tamaki, j'aimerais avoir des infos, s'il vous plait.
Je sens bien avec Mirio que Tenshi va craquer.
-Izuku : Lâche le morceau, je sens que tu veux le faire.
-Tenshi : J'aurais dû me douter que tu serais là vu que c'est ton numéro qui m'appelle.
Il tente de dévier la conversation. Il y a anguilles sous roches.
-Izuku : Ne tente pas de dévier la discussion. Dis-moi tout de suite ce que tu sais, je ne peux pas avoir confiance en toi si tu ne dis pas la vérité.
Je ne le manipule pas qu'un peu. Je joue avec ces sentiments, je ne suis pas très fier de moi.
-Tenshi : Les parents de Neijire ont été retrouvé assassiné dans leur salon. Nous n'avons encore aucune nouvelle de Neijire mais elle ne semble pas avoir été tuer dans leur maison. Tamaki est actuellement à l'hôpital, il a eu en quelque sorte de la chance, il a subi quelque chose dont je ne veux pas en parler sans son accord. Il a eu de la chance car une collège à moi, l'a trouvé par hasard.
-Izuku : Ne serait-ce pas Sol ?
C'est un peu la seule collège que je connais de Tenshi. Donc le seul nom que je peux donner.
-Tenshi : C'est exact.
Cela a dû se passer aux alentours de l'école vu que Sol est resté dans le périmètre.
-Izuku : Merci.
-Tenshi : Tu m'as un peu trop manipulé, il faudra que tu voies d'office une psy.
Je sens que Tenshi ne risque plus de lâcher l'affaire de la psy.
Ce qui m'arrange.
-Mirio : Dans quel hôpital est Tamaki ?
-Tenshi : Je dois y aller, mais demande à Sir, il est au courant et il s'occupe de la paperasse.
J'entends mon téléphone être raccroché.
-Mirio : Je vais me débrouiller.
J'entends que l'épreuve n°2 va commencer.
-Izuku : Donne-moi ton numéro de gsm.
Il me donne son numéro de Gsm.
Je pars pour l'épreuve n°2.
Quel bonheur d'apprendre une horreur juste avant une épreuve héroïque.
Youpi.
C'est ironique.