Je me soumets à tout tes désirs (BDSM/BxB)

The End

La petite fille observait une série de robes sur son lit. Elle prit celle de couleur mauve et alla l'enfiler dans la salle de bain. Elle plaça son tabouret devant le lavabo et grimpa pour sortir ses accessoires à cheveux qui seraient assortis. Elle se brossa ensuite ses cheveux avant de tout laisser en place. Elle regagna sa chambre et agrippa sa poupée Barbie pour l'habiller de vêtements de la même couleur qu'elle, puis elle se dirigea au fond du couloir et ouvrit doucement la porte qui s'y trouvait avant de jeter un regard à l'intérieur. Deux formes endormies se trouvaient dans le lit. Elle se glissa à l'intérieur et se dirigea vers la tête brune.

''Papa. Faut te réveiller, papa. Tu dois me faire mes cheveux.''

Julien fronça les sourcils avant de chercher ses lunettes sur sa table de chevet. Il observa l'heure et fronça encore plus le regard en se tournant vers sa fille.

''Tu as vu l'heure? Mon réveil allait sonner dans dix minutes. Qui ta permis de me réveiller avant?''

''Je suis désolé.'' Répondit la petite fille en baissant la tête.

Son père soupira en se frottant les yeux.

''Va m'attendre dans la salle de bain.''

La petite fille courut à destination en grimpa sur son tabouret. Elle brossa les cheveux de sa poupée jusqu'à ce que son père se présente dans la salle de bain.

''Tu pourras faire la même coiffure que moi à ma poupée?''

Sans répondre, Julien commença le tressage. Il avait presque fini lorsqu'une tête blonde entra dans la salle de bain grognon. Portant seulement un bas, son torse musclé était parcouru de suçon, bleu et de marque rouge. Ses mamelons étaient percé d'anneaux et de si bonne heure le matin, il ne faisait pas attention à enfiler un chandail devant sa fille.

''Julien, tu n'as pas éteint ton alarme. Ça m'a réveiller.''

''Quel dommage.'' Répondit Julien une petite touche de bonheur dans sa voix.

''Regarde! Papa me fait les cheveux!'' Répondit la fillette joyeuse.

''Maintenant que tu es réveillé, il serait grandement apprécié que tu nous prépares le repas.''

''Je pensais plus aller me recoucher.'' se plaignit Rémy.

''Je ne t'en donne pas la permission.''

Grognant, le blond se dirigea vers la cuisine en se massant l'épaule.

''Papa est encore blessé. Pourquoi il se blesse tout le temps?'' Demanda la petite fille exaspérée de voir des marques sur le torse de son deuxième père.

Julien finit de positionner les cheveux de sa fille avant de s'attaquer à la poupée.

''Parce qu'il n'a pas été sage hier.''

La fille se retourna vers son père qui affichait un sourire moqueur sur son visage. Du haut de ses quatre ans, elle ne comprenait jamais les sous-entendus de son père. Tout ce qu'elle savait, était que son autre papa n'avait aucun problème à avoir des bleus tant qu'elle n'en parlais pas en public. La dernière fois, son visage avait prit la couleur rouge et elle c'était fait gronder à la maison.

''À la garderie, tu voudras jouer avec moi à la poupée?''

''Nous en avons déjà discuté. Quand je travaille à la garderie. Je dois m'occuper d'un groupe d'enfant.''

''Mais quand tu auras fini de t'occuper d'eux, tu pourras venir dans le mien?''

''Lorsque j'aurais fini de prendre soin d'eux, il sera donc l'heure de te ramener à la maison.''

''Et à la maison, tu voudras jouer à la poupée avec moi?''

''Avec joie ma princesse.''

La petite fille partit donc vers la salle à manger heureuse et s'assit sur sa chaise pendant que son autre père lui apportait à manger. Julien avait regagner la chambre avant de ce diriger vers la salle à manger et prendre place.

''Rémy, il y a sur notre lit, des choses que j'aimerais que tu portes aujourd'hui. Il t'est interdit dans retirer ne serait-ce qu'un seul sans mon accord.''

Le blond rougit plus qu'il ne faut en lançant un sourire en coin à son mari. Qu'est-ce qu'il lui réservait.

''Oh et nous allons manger chez ton frère ce soir.'' Rajouta Julien en prenant une bouchée de son déjeuner.

Cette fois, Rémy écarquilla les yeux de terreurs. Il devrait de nouveau garder le contrôle de son visage pendant que la chose, que Julien l'obligeait à mettre dans son anus, effleure sa prostate. Ne pas bander devant la parenté.

''Tout ce que tu désirs, mon amour.'' Répondit-il simplement.