𝙼𝚊𝚐𝚒𝚌 - 𝚃𝚡𝚃
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Tout le monde a dit un petit mot ou offert un cadeau à l'homme du jour. Il ne reste plus que Yeosang. Il tend un sac à son meilleur ami d'enfance. Il y a deux sachets dedans.
- Commence par le bleu.
Wooyoung s'exécute et en desserre les liens. Il en sort un paquet de mouchoir.
- C'est pour quoi ça ?
- Pour le deuxième sachet. Je te connais un peu.
L'argenté lève les yeux au ciel et ouvre le deuxième pochon. Ses yeux s'écarquillent. Plein de souvenirs d'enfance lui envahissent l'esprit. Wooyoung sort le cahier de la pochette.
C'est un vieux carnet rouge à spirales, couvert de stickers. Au centre, il y a leur deux prénoms, maladroitement écrit.
- Tu l'as gardé ?
- Oui.
Le médecin ouvre le cahier. Il y a une première photo. Elle date du jour où ils sont devenus amis. Puis une deuxième, avec Jeenie cette fois-ci. Celle d'après fait monter les larmes aux yeux de Wooyoung. Ils sont tout les deux, bras dessus bras dessous, leur premier diplôme en main. Ils avaient tellement rit ce jour-là. Ils fait tourner les autres pages et regarde toutes les photos et les petits commentaires que Yeosang a mis à côté.
La dernière photo date du jour où ils sont officiellement devenu médecin, il y a maintenant presque trois ans.
Ce cahier renferme de nombreux souvenirs et de nombreuses conneries. Plus jeunes, il s'étaient promis d'y rajouter des photos aussi longtemps que leur amitié durerait. Une petite larme d'émotion coule sur la joue du grisé.
- Les mouchoirs étaient pour ta larme.
Wooyoung pouffe et referme le cahier pour étreindre son ami. Alors qu'il remercie Yeosang, un bruit d'appareil photo les distrait. Jeenie secoue la photo qu'elle a dans la main. Lorsque l'image est nette, elle tend le Polaroïd aux garçons.
- Vous pouvez déjà y rajouter celle-ci !
La soirée s'enchaîne dans la bonne humeur.
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𝑾𝒉𝒆𝒏 𝒀𝒐𝒖 𝑺𝒂𝒗𝒆 𝑴𝒆 ✗ 𝑾𝒐𝒐𝒔𝒂𝒏 [𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 1 𝒆𝒕 2] [Terminé]
Фанфик[EN CORRECTION] [adaptation en cours] Un jeune chirurgien, Jung Wooyoung, qui croule sous le travail, aura un dossier en plus. Un patient, Choi San, ne se montre pas coopératif et ne trouve aucune raison pour survivre. La limite professionnelle qui...