𝚂𝚠𝚎𝚎𝚝 𝙻𝚒𝚎𝚜 - 𝙴𝚇𝙾🌼
- Celui qu'on vient de voir était pas mal, non ?
- Mouais... Mais il y a un truc qui ne me plaît pas.
- Peut-être la déco ? Il paraît que quand la déco ne nous plaît pas, on arrive pas à se projeter.
San hausse les épaules. Wooyoung pose sa main sur sa cuisse. Aucun des appartements visités aujourd'hui ne leur a plu.
- Mais c'est pas grave, on trouvera.
L'argenté ne l'écoute qu'à moitié. Son esprit est ailleurs. Il réfléchit.
- L'appartement qu'on a vu hier soir. Tu sais celui qui avait un papier peint affreux.
- Oui ?
- Et si on prenait un appartement comme ça et qu'on le refaisait ?
- Genre y faire des travaux pour qu'il nous ressemble ?
Le médecin hoche la tête. San n'a pas vraiment de réaction. Il semble réfléchir aussi.
- C'est une bonne idée. Une très bonne idée même.
Il lui sourit, très emballé par l'idée. Ce sera plus simple de trouver quelque chose et puis ils sont sûr d'avoir quelque chose qui leur correspond parfaitement.
- On regardera ça ce soir ?
San rigole.
- On a tout le temps Woo.
L'argenté fini de se garer avant de regarder son copain.
- Depuis quand tu es aussi impatient ?
- Depuis que je suis tombé sur toi, San.
Il lui embrasse le coin des lèvres et descend de voiture. Le rouquin fait de même. Puis avec un regard pervers, il lance une petite remarque.
- J'avais remarqué.
Woo n'a pas compris son allusion rapidement. Mais une fois l'avoir assimilé, il marmonne que San n'est juste pas gentil de se moquer de lui.
- C'est pas de ma faute aussi !
- Si ! Tu t'amuses avec mes nerfs !
Le rouquin hoche la tête, fier de lui.
- T'imagine même pas à quel point c'était drôle.
- Je vais te frapper.
- Chut, allez, rentre.
Il tient la porte du bas de l'immeuble avec son pied pour le laisser passer. Wooyoung s'exécute avec une moue boudeuse.
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Je suis en train d'écrire le dernier chapitre....
J'ai envie de pleurer....
Kiss_.
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𝑾𝒉𝒆𝒏 𝒀𝒐𝒖 𝑺𝒂𝒗𝒆 𝑴𝒆 ✗ 𝑾𝒐𝒐𝒔𝒂𝒏 [𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 1 𝒆𝒕 2] [Terminé]
Fanfic[EN CORRECTION] [adaptation en cours] Un jeune chirurgien, Jung Wooyoung, qui croule sous le travail, aura un dossier en plus. Un patient, Choi San, ne se montre pas coopératif et ne trouve aucune raison pour survivre. La limite professionnelle qui...