▫▫▫ Minho se sent seul depuis que Jisung l'a laissé. L'univers de sa vie est sombre et sans lumière mais, quand son soleil décide de revenir, alors Minho ne sait pas vraiment comment réagir, partagé entre ses souvenirs et sa nouvelle vie.
« - Qu'est...
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— Alors ta classe n'est pas trop mauvaise ?
Jisung soupira en se collant encore un peu contre le torse de son petit ami pour l'enlacer.
— C'est nul j'suis pas avec toi...
— Oui mais on se voit toutes les récrés, et le midi aussi ! Et puis t'es avec Lix c'est pas si mal ?
— Mh... Mais c'est chiant je voulais être avec toi moi !
Minho haussa les épaules avant de déposer un petit baiser sur le front de son copain avant de le serrer un peu plus fort dans ses bras.
— On va boire un coup pour te remonter le moral ?
— Si tu veux...
Le châtain embrassa une dernière fois le châtain avant de glisser sa main dans la sienne pour se diriger vers l'endroit où le plus grand voulait l'emmener, détaché de tout les regard désapprobateurs qui pesait sur eux depuis le moment où ils avaient été vu dans les bras l'un de l'autre...
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— Joyeux anniversaire !
Le châtain sursauta en voyant sept garçons réunis dans le salon de sa maison quand il alluma la lumière.
— Les gars ? Mais qu'est-ce que vous faites tous là ?!
— Bah on vient fêter ton anniversaire banane !
Jisung décrocha un immense sourire tandis qu'il se jetait dans les bras de ses amis pour qu'un câlin général ait lieu.
— Merci les gars, c'est vraiment le meilleur cadeau de vous voir ici tous ensemble.
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— Minho ?
— Mh ?
— Je t'aime.
— Moi aussi je t'aime l'écureuil.
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— Joyeux un an de couple Min' !
Le noiraud écrasa sa cigarette contre la rambarde du balcon et ouvrit les bras pour enlacer contre lui son petit soleil qui venait de se réveiller.
— Un an déjà ? Un an que je dois supporter ta tête d'écureuil, c'est fou ça...
— Maiiiis !
Jisung tapa doucement avec son poing contre le torse de son petit ami tout en riant de la taquinerie de celui-ci. Alors en se hissant sur la pointe des pieds, il déposa un léger baiser sur les lippes du noiraud tout en murmurant :
— Et tu vas devoir me supporter encore quelques années.
