«La haine empoisonne l'amour».
eleventh._
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Nathanïel - Les keufs ont embarqués Tonio et son toutou, Grégoire. *rire* Ils sont prit dix-huit ans.
Djibril - Je vais diriger son gang pendant son absence. Donc vous devez suivre mes ordres dès maintenant. Clair ?
Je laisse la fumée de mon joint sortir de ma bouche, puis l'écrase sur une petite assiette en verre.
— Tu vas faire comment pour les Turcs, "patron" ? Je te rappelle qui demandent beaucoup trop de thune. Donc tu penses gérer ça ?
Djibril - Si Tonio a su gérer les choses, je peux le faire aussi. Je parlerai aux Turcs.
Kalvin - Quand ?
Djibril - Au moment où j'en aurais envie. Maintenant arrêtez avec vos questions à deux balles.
Nathanïel - Tu vas leur dire quoi ?
Djibril tchipe et pose son fessier sur le banc en face de nous.
Djibril - Faut qu'ils baissent leurs prix, si ils veulent pas qu'on cherche d'autres fournisseurs.
— Je connais des personnes qui fournissent de la came. Et ils l'a vendent beaucoup moins cher que les Turcs.
Nathanïel - On a discuté avec eux y'a pas très longtemps. Et ils sont prêt à nous en fournir, donc vous êtes intéressé ?
Kyllian - Ouais. Je trouve que c'est une bonne idée qu'on change de fournisseur.
Kalvin - Je suis aussi d'accord avec vous les gars.
Djibril - Anh anh anh. Vous êtes malade ou quoi ? Si on change de fournisseur, les Turcs iront chercher les nouveaux et ils les buteront. Et ensuite, ils viendront nous buter !
— Donc tu veux continuer à payer beaucoup plus cher et perdre du fric ? Alors qu'on peut gagner beaucoup plus et payer moins cher. Réfléchis mon frère.
Un petit silence s'installe. Tandis que lui, nous regarde un par un avant de nous adresser un bruit de bouche et s'en aller.
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Je suis sorti de la voiture en fermant la portière derrière moi, puis je me suis mis sur le capot de ma caisse.
Deux bonnes longues minutes après, la porte s'ouvre. J'ai aperçu une jolie silhouette.
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«Peur d'aimer».
ActionTerminée. Âme qui connaît l'amour, connaît la haine. Il faut vaincre ses défenses et se laisser aller. Le contraire de l'amour n'est pas la haine ; c'est l'indifférence.