« La haine empoisonne l'amour. »
third._
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Je mis mes baskets et récupérai mon téléphone sur la table de chevet, puis sors de chez moi.
Je tcheke les gars qui étaient posés sur les marches d'escaliers et montai dans ma caisse jusqu'à destination.
Une fois arrivé à destination, j'me gare en viteuf' dans le parking et montai dans le bâtiment, jusqu'à devant sa porte.
J'avais une grande flemme de sonner, alors je toque seulement à la porte et on m'ouvre quelques temps après.
Keren - Oh Anthony..tu es finalement venu.
Elle se retire du seuil de la porte pour me laisser entrer dans l'appartement et fermer la porte juste après.
Keren - Je te sers quelque chose ? Mais vas-y assieds-toi, fais comme chez toi hein.
— Non je reste pas longtemps, t'inquiète. Bref, qu'est-ce que tu voulais me dire de si important sinon ?
Elle referme d'avantage son peignoir contre elle, en fixant ses vilains pieds.
Keren - ..tu as des nouvelles de Nathaniël ? Oui d'accord, j'ai été la plus grosse batarde avec lui mais je regrette énormément c'que j'ai fais.
Elle a du courage la petite comme même. La nana elle se barre sans de donner de nouvelle et elle ose revenir comme une fleure.
— Tu m'harcèle pendant des semaines pour que je vienne te voir, parce que soit disant tu pouvais pas me dire les choses au téléphone. Donc je suis sortis de mon lit, pour ça ?!
Keren - Anthony-..
Je la bouscule et sortis de chez elle, puis dévalise les escaliers pour entrer par la suite dans ma caisse.
iMessage à : « Masoko. »
15:39.« Faut dire à ta nana de doser un peu. La prochaine fois je vais lui casser sa bouche hein. »
Faut que je pars rattraper mes nuits là. Mauvaise nuit les humains.
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J'écrase le bout de mon joint sur une assiette en verre, avant de m'allonger sur mon lit.
Des souvenirs et encore des souvenirs. Toujours les mêmes souvenirs et de la même personne. Décidément, je n'oublierai jamais cette meuf.
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«Peur d'aimer».
AcciónTerminée. Âme qui connaît l'amour, connaît la haine. Il faut vaincre ses défenses et se laisser aller. Le contraire de l'amour n'est pas la haine ; c'est l'indifférence.