thirty-tree.

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«La haine empoisonne l'amour».
thirty-third.
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1 semaine plus tard.


Juliana - Écoute Anthony, je vais mettre les points sur les i avec toi : tu as beau t'enflammer dans tout les sens en insultant les gardiens, ou encore faire le nerveux à ne rien dire, c'est ton problème. Tu te mets encore plus dans la merde, et tu vas finir tes jours dans cette cellule. Donc sois tu te décides d'enfin ouvrir ta bouche, ou je peux prendre mon sac et fermer ton affaire.

Juliana - Je ne suis pas ici pour te faire chier Anthony. Anh anh détrompe toi. Donc fais un minimum d'effort, s'il te plaît pour l'amour du ciel, arrête d'avoir un accès de mauvaise humeur.

Je ne lui réponds rien.

Mon silence dura une dizaine de minutes, elle soupire donc nerveusement, puis ferme son carnet ainsi que son stylo.

Je passe ma langue sur mes lèvres.

— Je n'ai jamais violée Ornella.

Elle réouvre son cahier et commence à noter.

Julianna - Et Bethenny ?

Juste à l'entente de son nom, je contracte ma mâchoire.

— Une fois.

Elle note sur son cahier, et me demande de développer un peu plus ma relation avec mademoiselle Kelani.

— Il était tard. On va dire qu'il était 20 heure quelque chose de la sorte. Je devais passer la soirée avec mon groupe d'amis. Je venais tout juste de me garer, j'allais entrer dans le restaurant où mes amis m'attendaient. Mais Ornella a attirée mon intention, elle était au téléphone avec son frère. Elle avait plus de voiture, nous étions dans un endroit où les transports sont très compliqués.

— Je l'ai donc proposé de l'accompagner chez elle. Quelques jours après, j'ai su qu'elle travaillait avec Laura et Elisabeth. Puis de là, nous avons commencé à se fréquenter jusqu'à ce qu'on décide d'avoir une relation plutôt sérieuse.

Julianna - Mmh. As-tu déjà été violent avec elle ? C'est-à-dire : levé la main sur elle ou encore forcé a avoir un rapport sexuelle.

— Jamais. Ornella je l'ai toujours traitée comme une reine, on s'est disputé plusieurs fois, comme chaque couple, mais je n'ai jamais été violent avec elle. Je l'ai toujours respecté, et elle peut le témoigner.

«Peur d'aimer».Où les histoires vivent. Découvrez maintenant