L'ombre de la mort (Katsukixoc)

Chapitre 4 : Proposition

Sekijiro : Les combats sont terminés ! Dit-il dans le micro positionné devant lui.

Élèves : Ouais !

Aizawa : Les deux classes sont cependant à égalité !

Élèves : Oh non !

Sekijiro : Allez vous reposer maintenant.

Depuis le grand écran, je vois tous les élèves tomber de fatigue les uns après les autres.
Comment peuvent-ils aimer être fatigué ainsi ?

Sekijiro : Alors ? Les combats ? Me demande-t-il.

Moi : Ils sont fort ! Dis-je avec certitude. Mais parfois trop violent.

Aizawa : C'est comme ça qu'on forme les héros de demain.

Sekijiro : Et oui ! Il faut qu'ils se donnent tous à fond pour que plus tard, ce soient tous de très bons héros.

Moi : Je vois... mais je trouve quand même cela violent !

Sekijiro : Je te comprends. Dit-il en ricanant.

Pendant les combats, je me suis surprise à aimer les regarder se combattre entre eux. J'ai été presque admiratrice devant leur ingéniosité et leur capacité à communiquer. Enfin, pour certain. Ce fameux Katsuki n'en fait qu'à sa tête.

Moi : Katsuki est le seul qui ne coopère pas en groupe. Dis-je à voix haute sans m'en rendre compte.

Aizawa : C'est son plus gros défaut... avec bien sûr son caractère.

Moi : Ah... euh. Dis-je gênée qu'il m'ai entendu.

Aizawa : Mais il a fait de gros efforts par rapport au début d'année.

Sekijiro : C'est ce que j'avais constaté.

Aizawa : Il aide maintenant ses camarades et il se laisse aider. Sa communication avec les autres n'est pas parfaite mais il s'améliore.

Pour moi, c'est juste une personne qui crie constamment sur les autres. Il est certes fort mais c'est à cause de ça qu'il prend la grosse tête. Toujours à se croire plus fort que les autres, je l'ai bien constaté pendant son combat.

Sekijiro : Et bien... ce n'est pas tout mais tu devrais y aller Angel.

Moi : Oui.

Enfin.
J'ai bien faillit être prise au piège par la classe A-1 qu'Izuku voulait me présenter.

Sekijiro : Je te raccompagne jusqu'au portail.

Moi : Au revoir M.Aizawa.

Aizawa : Au revoir.

Maison d'Angel
Moi : Je suis rentrée ! Dis-je tout haut.

Père : Eh bah dit donc ! Tu en as mit du temps.

Moi : Oui... Sekijiro voulait que je reste pour regarder l'entraînement des élèves.

Père : C'est bien ça, dis moi ! Et alors ?

Moi : Ils sont suicidaires.

Père : Ahah ! C'est ça d'être de futurs héros. Sinon, ça c'est bien passé ?

Moi : Oui, j'ai revu le garçon qui m'avait sauvé.

Père : Ah c'est bien ! Tu lui as parlé ?

Moi : Oui parce que j'avais déjà vu son mirage.

Père : Tu ne me l'avais pas dit. Me dit-il sur un ton inquiet.