L'ombre de la mort (Katsukixoc)

Chapitre 66 : Fin

Maison d'Angel, 19h00
Alicia : ANGEEEEEEL ! Bon anniversaire !

Moi : Merci...

Alicia : Prends mon cadeau !

Cela ne fait qu'à peine 5 secondes que je suis rentrée que je me fais déjà agresser et crier dessus.
Cette journée est vraiment mouvementée.

Moi : C'est quoi ?

Alicia : Ouvre !

Ouvrant complètement son cadeau, je souris immédiatement en le voyant.

Alicia : Alors ?

Moi : Je ne vais pas te mentir, ça me dégoûte un peu avec tout ce que j'ai mangé aujourd'hui mais ne t'inquiètes pas, dès demain je les mange !

Alicia : Je savais que tu allais aimer !

Père : En même temps, c'est du chocolat ! Elle ne peut qu'aimer ça.

Alicia : J'espère qu'ils sont bons !

Moi : Je te dirais ça demain !

Alicia : Et tiens, un deuxième cadeau !

Moi : Oh ! Vraiment !?

Alicia : Il faut que tu l'ouvres ! C'est le but d'un cadeau.

J'ouvre alors son second cadeau devant les yeux curieux de mon père et de Katsuki puis, une fois ouvert, je lis ce qu'il y a écrit sur le livre dans mes mains.

Moi : Mais non ! M'exprimais-je étonnée en comprenant le cadeau.

Alicia : Et si !

Moi : Arrête ! Tu plaisantes !

Je sens quelques larmes venir en ouvrant le bouquin puis en lisant les quelques premières lignes, les premières lignes de notre histoire entre elle et moi.

Moi : Tu as écrit tout ça !?

Alicia : J'ai pris de mon temps pour ce cadeau, crois moi ! J'ai retracé toute notre amitié de notre première rencontre à aujourd'hui.

Mes mains crispées sur le livre, des larmes coulent sur mes joues à cause de l'émotion puis, en voyant cela, Alicia vient me prendre dans ses bras en rigolant.

Alicia : Pleure pas, sinon je vais pleurer aussi !

Moi : J-Je ne pleure pas...

Alicia : À peine !

Moi : Merci...

Alicia : Notre amitié n'est pas fini mais je voulais te faire cette surprise pour tes 17 ans, tu as tellement grandit ces derniers temps que je n'ai pas pu m'empêcher de me souvenir de la première fois qu'on s'est rencontrée. J'ai eu cette idée grâce à la nostalgie, je peux la remercier pour ça.

Pleurant à chaude larme, je reste dans ses bras un petit moment avant de les sécher et de regarder son cadeau à nouveau.

Moi : Je vais pleurer toutes les larmes de mon corps en le lisant. Ricanais-je en séchant mes dernières larmes.

Alicia : Pleure pas trop non plus sinon il va y avoir des larmes sur le livre et ça va se voir !

Moi : Tu as raison.

Père : Et toi, Katsuki ? Tu lui as offert son cadeau ?

Katsuki : Plus tard.

Père : Alors, je vais t'offrir le cadeau de la part de ta mère et moi tout de suite !