60

989 54 2
                                    

07:36

Saint Dizier, 18 Janvier 2021

Théo

Le ciel était grisâtre, je courrait dans les rues de mon ancienne ville. C'est très rare, mais quelques fois il m'arrivait de me lever tôt pour me taper un footing. Ça me défouler et faisait sortir chacune de mes idées sombres.
Pendant ma course, je passe devant la maison de Julie, je décide de m'arrêter devant. Je prends mon sac à dos et en sortit une gourde d'eau que je bu presque d'une traite.
Je regardais l'extérieur, et je l'imaginer aménager ses meubles à mes côtés. Comme un couple normal, mais nous n'étions pas un couple normal. Nous étions unique avec nos défauts, nos vie bâclé. Est-ce que nous étions encore un couple même? Je perds espoir.
J'allais reprendre une gorgée, mais la gourde était vide. Ayant toujours les clés que Monsieur Durand m'avait donner, je décide d'entrée et de me resservir de l'eau de robinet.
Je monte les escaliers décorer de carrelages menant à la porte d'entrée, et quand j'arrive enfin devant celle-ci, la poignée ce baisse. La porte s'ouvrît et laissa place à une chevelure claire, un corps fin, habiller d'une robe et d'une doudoune bien trop large ainsi qu'un bob en fourrure.
Quand elle ce retourna, son regard ce posa dans le mien. Son style avait changer, son maquillage discret s'était transformer en un maquillage sombre et charger. Des cernes énormes ce baladait sous ses yeux vert/marron, son teint était redevenu pâle.
Mais je la trouvais toujours aussi belle et attirante.
Un silence régner, et je décide de couper court à ce cri silencieux qui brisait mon cœur à chaque seconde. Cela devenait trop lourd et trop dur pour moi.

-Je suis venu remplir ma bouteille.. Je ne pens-
-Suis moi. Me dit-elle en retournant à l'intérieur.

Je la suivi sans dire un mot, nous marchions dans la cuisine et elle ouvris la gourde pour la mettre sous la fontaine du réfrigérateur. Cela faisait déjà 3 semaines que j'étais ici, et Julie avait déjà commencer à meubler quelques partie de la maison. Je tourne la tête vers un meuble où était poser tout un tas de photos, sûrement des cadres qui appartenais à ses grands parents. Sur l'une d'elle, j'apparaissais enfant avec à mes côtés Thomas et Julie. Je m'en souviens très bien de ce jour, Thomas m'avait foncer dedans et j'avais perdu une dent de lait. Je regarde un autre cadre,  où il y avait une photo de la soirée au restaurant. C'était les parents de Julie et moi. Dans un autre cadre, une photo de Julie et moi à cette même soirée, et accrocher sur ce cadre, une petite photo de Julie et moi enfant.

-Tiens, ta bouteille est pleine. Me dit-elle en me tendant ma gourde.
-Ah, merci.

Je bu une gorgée, et rangea la bouteille dans mon sac. Je me lève et remis le sac sur mon dos, avant d'avancer en direction de la porte.

-Bon, je ne vais pas te déranger plus que ça, merci pour l'eau.

J'attrape la poignet, et entrouvrit la porte, quand une main ce posa sur mon poignet. Je me tourne vers elle, et la contempla. Elle avait retirer sa doudoune et son couvre-chef, ça laissa place à de beau cheveux entre ondulée et lisse, tombant sur ses épaules, elle portait une robe à bretelle coller au corps, sous sa robe, un sous pull noir. Son regard, celui qu'elle avait au début de notre relation, m'avait manquée. Sa main était froide, tandis que moi, mon corps tout entier était chaud.
Elle ce pinça les lèvres, qui, en les relâchant, n'en fit qu'une bouche plus pulpeuses. Je passa le bout de ma langue sur mes lèvres, et replonge mon regard dans le sien avant de l'attirer vers moi et de l'embrasser langoureusement.
Elle ne me repoussa pas, je posa mon sac parterre et porta Julie jusqu'à l'étage du haut.
Je l'amena à la chambre qu'elle occuper petite, et je ne m'étais pas tromper, c'est bel et bien celle qu'elle a choisi pour dormir.
Je la porte jusque dans son lit, et l'allongez dessus tandis que j'étais toujours debout. Je retira mon pull de sport, qui me coller au corps. Ses jambes de chaque côtés de mon corps, je remonta sa robe et la jeta à l'autre bout de la pièce. En quelques secondes, nous étions dénudé, et nos corps s'entrechoquèrent, et tout ce que l'on pouvait entendre, était des gémissements de plaisir partager.

Énergie SombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant