Instagram - Message privé - Mastu : "Théo, j'ai eu 23 ans. Et je ne t'oublie pas. Je savais que tu y arriverais, que tu tiendrais ta promesse d'être une personne connu. [...] Peut-être qu'un jour on ce retrouvera. - Julie Durand."
-Vu.
🏅#14 - #Mast...
Tout le monde était rentrer à son domicile respectif. Je souffle un coup, et fait un tour sur Instagram. Julie avait déjà mis des photos de nous, mais avec ma communautés, je préfère ne rien dire. D'un sens ma communautés et très compréhensif et d'un autre, j'ai peur qu'elle soit harceler par certains d'entre eux qui ne sont pas réceptif au fait que j'ai également une vie privée. Je pèse le pour et le contre, mais mon coeur devait sortir ce bonheur.
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Je reçois un message de Jordan dans la seconde.
joyca: Eh bien, tu n'a pas peur que t'es abonnés le prenne mal? mastuu_: Je suis plus à ça près, tu le sais bien. joyca: Je sais, mais ça peux être pire.
Il avait raison, mais j'étais beaucoup trop heureux. Je me lève, et commence à me faire couler un café et me rouler un joint. Voilà ce qui me calmer, seul, chez moi. Ma drogue en vacances c'était Julie, ma drogue la plus dure et la plus pure. Je me pose sur mon balcon, m'assoie sur la chaise pliante et prends cendrier qui était poser sur la table. Et quand j'allais allumer mon rouler d'herbe, je reçu un appel. Thomas Durand. Depuis mes vacances chez les Durand, nous n'avons pas forcément échanger. Je répond, en posant mon spliff.
-Hey, salut Thomas! Dis-je enjoué. -Mec, est-ce que tu peux allez chez ma soeur..? -Ça va? Je me relève de ma chaise en marquant un temps de pause. -Théo.. ma mère était à l'hôpital depuis plusieurs semaines, on ne voulait pas inquiéter Julie.. Elle est morte Théo.. -J'y vais, je te rappelle.
Je lui raccroche au nez, prends mes clés de voiture et part en courant jusqu'à celle-ci. Sur la route, excès de vitesse. Je lui est promis d'être là, quoi qu'il arrive je ne la lâcherais jamais. J'entre dans le bâtiment, monte jusqu'à sa porte qui était entrouverte. Je rentre, en l'appelant désespérément. Elle sortit de la salle de bain, la main en sang, des bouts de verres sur ses plaies. Le miroir. Elle me regarda, sa lèvre inférieur tremblante, elle ce remit à pleurer. Un cri déchirant le ciel lui-même sorti du fond de son cœur. Ses yeux rouges qui ce ferma. Elle tombe, je couru à elle et tout cela comme au ralentit. Je pose sa tête sur mon épaule, mon coeur ce briser de la voir dans cet état. Une larme couler, celle-ci tomber jusque sur le front de Julie. Elle s'accrocha à moi, comme si elle s'accrochait au peu de bonheur qui lui restait au fond d'elle. Mais ce bonheur partit, à chaque cris, chaque larmes qui sortait de ses yeux vert. Elle avait perdu sa mère, et moi, je la voyait devenir qu'un bout de chiffon brûlant dans les cendres de son coeur détruit par les flammes.
