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Paris

1:46

Théo

-Tu ne me dis pas ce que tu fais ici? Me demande Julie, en ce recoiffant.
-En soi, ça ne devrait plu te regarder.
-Simple curiosité.

Cette conversation m'agaçais, je parlais à un mur. Je me mordais l'intérieur de la joue, et réfléchissais en même temps. Et, quand je ripe et me mord sérieusement la joue par mégarde, ça me fit un déclic, un tel choc, que je ne pu m'empêcher.

-Pourquoi t'es partit? Enfin, non, pourquoi t'es jamais revenu? Dis-je en attrapant mon paquet de cigarettes.
-Besoin d'air. De partir de tout.
-Même de nous?

Elle arrêta de bouger chaque membres de son corps. Elle ce regarder dans le reflet de la vitre, ce pince les lèvres et ce tourne vers moi.

-En faite Théo, tu n'avais pas tord. Dit-elle en ce retournant vers une table haute de la salle, si on ce met ensemble, nos âmes et nos cœurs détruits n'aurait qu'empirer les choses. C'était vouer à l'échec.
-Pas pour moi. Tu m'a apaiser de mes maux sombres que je cacher devant tout le monde! Tu les faisaient disparaître. Dis-je avant de tirer une latte.
-Ce n'était que des illusions Théo. On était vouer à ce détruire.

A la fin de sa phrase, elle sortit un sachet de son petit sac à main. Une substance blanche, qu'elle étala sur le dos de sa main, était dans ce pochetons. Elle amena la substance à ses narines et sniffe un coup, puis deux. Et essuya ses narines. Je la regarde, choquer et détruit. De n'avoir pas vue avant toute la détresse qui était en elle. Je voulais l'aider, et pourtant. Mon corps ne régissait plus, et mon coeur lui, avait trop encaisser pour ce soir.

-Je veux juste savoir une chose avant de partir..
-Tu part déjà, la fête ne fait que commençais! Me dit-elle en me donnant un clin d'œil.
-Y'a un truc entre Lock et toi?

Elle ne dit rien, et me regarde, d'une façon assez étrange. Comme si j'avais toucher un point sensible, comme si elle était toucher que je penses une chose pareil venant d'elle.
Elle baissa la tête, un sourire au coin de sa bouche rosé, elle releva la tête et marcha jusqu'à moi. Arriver à quelques centimètre de mon visage, je pouvais sentir son souffle, ses lèvres m'appeler, son corps coller au mien. Je pu sentir chèques formes de son corps, et chaque battements de son coeur. Je ne pu m'empêcher de poser mes mains sur ses hanches, elle posa le bout de son index sous mon menton, je ferme les yeux, espérant qu'elle pose ses lèvres sur les miennes. Parce que malgré la douleur et la peine que j'ai ressentit durant ses cinq moins interminable, mon amour et mon envie de l'avoir auprès de moi n'avait pas changer.
Je sentis ses lèvres frôler les miennes, elle repris sa respiration, une respiration inhabituelle, elle ce mordit la lèvre inférieur puis recula d'un pas.

-En soi, ce ne devrait plu te regarder.

J'ouvris les yeux, choquer. Elle sourie de toute ses dents et sors de l'espace fumeur.
Tout mon corps entier l'appeler, et j'étais sur d'une chose : je ne partirais pas de la capital sans elle.

Énergie SombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant