Outer banks, le paradis sur terre !
Jane, une adolescente de 16 ans n'est pas de cet avis !
En effet, lorsqu'une guerre entre deux camps, les Kooks et les Pogues est présente, la vie s'annonce difficile.
Jane est une kook qui a préféré le camp ad...
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Moi : Qu'est ce que tu veux Barry ?
Barry : Je passais dans le coin et puis je suis tombé sur toi ! Qu'est ce que tu fais ici ?
Moi : Je rentre chez moi, tu devrais retourner chez toi aussi. Ah non pardon, tu vis dans un Mobil home a moitié détruit, de l'autre côté de l'île !
Il m'attrape violemment le bras.
Barry : Tu cherches quoi Miss ?
Moi : Que tu me foutes la paix ! Donc maintenant lâche moi !
Il resserre sa prise.
Barry : Je crois que tu n'as pas très bien compris sale bourge. Je compte pas te laisser filer comme ça !
Je me rapproche de son visage.
Moi : Ah ouais ? Et tu vas faire quoi au juste ? Me frapper ? Me droguer ? Ou bien même me brûler la main comme tu peux le faire avec Rafe ? Tu crois que tu me fais peur ?
Je décide de le provoquer. Après tout, il se lassera peut être.
Barry : Prend pas cet air là avec moi, Jane. Tu pourrais vraiment le regretter.
Moi : Essaye toujours !
Il rit.
Barry : En parlant de Rafe. Il me doit quelque chose en fait. Je dirais même beaucoup de choses. Je crois qu'il a du fric qui m'appartient !
Je ne vois pas où il veut en venir. Rafe n'a pas consommé depuis quelques jours. Il me l'a promis.
Moi : De quoi tu parles ?
Barry : Sa petite visite de tout à l'heure. Il me devait de l'argent et comme toujours, il ne l'avait pas.
C'était donc ça son retard du début d'après midi. Il m'a bien menti ! Je fais l'innocente.
Moi : Et en quoi ça me concerne ?
Barry : J'ai entendu dire que tu sors avec lui. Et j'ai aussi cru comprendre qu'il tient à toi. Ça serait dommage de devoir te faire du mal.
J'essaye d'enlever mon bras de sa main mais il me fait une clé de bras et me jette au sol. Je me relève mais il me donne un coup de pied dans l'abdomen, ce qui me couche de nouveau.
Barry : Peut être qu'en m'attaquant à toi, il me donnera enfin ce que je veux.
Il hausse les épaules.
Moi : Tu me fais pas peur Barry.
En réalité, je suis terrifiée.
Il s'approche, m'attrape par le bras, et me met debout face à lui. Il me donne un premier coup de point, que j'arrive à esquiver, mais il enchérit avec une série de coups dans les côtes et sur le visage. Ma lèvre se met à saigner. Il me tire par les cheveux et relève ma tête.
