"Gabriel Kindi"Je n'en reviens toujours pas que il nous impose Mélia !
Tout le monde mais pas elle, pas maintenant quand je décide enfin un rapprochement avec Christine.- connaissant Mélia elle a autre chose en tête. Me souffle Félix
- sérieux, je n'avais pas compris ça ! Répondis-je en roulant des yeux
Il lève les mains en l'air sachant que je suis assez énervé par rapport à la situation actuelle. Raphaël est parti depuis un bon moment me laissant le soin de géré tout sa bien sûr. Pour ne pas perdre du temps j'ai du faire une réunion pour informer tous le monde de notre nouvelle collaboratrice.
- mec je dois retourner au boulot et bonne chance. Lance Félix en se dirigeant vers la porte
Me laissant seul dans mon bureau me torturant l'esprit. A quoi joue Henri, depuis que je sais réellement qui il est je commence à beaucoup me méfier de lui c'est pas le genre d'homme a faire un truc sans raison et je me demande bien pourquoi nous imposer la présence de Mélia.
J'entends frappé puis la porte s'ouvre sur Mélia dans toutes sa splendeur bien évidemment. Je pose un regard glacial sur elle pour lui faire comprendre que je ne souhaite absolument pas discuter avec elle.
- ne soit pas si froid, je viens en paix Gabriel. Débuta cette dernière
- ont se connait suffisamment Mélia, alors dit moi exactement le but de tout cela.
- je ne comprends pas...Henri savais que je cherchais du travail et m'a gentiment proposée. Fit-elle visiblement perdu
- tu es mannequin Mélia, travailler dans un bureau est loin d'être pour toi. Lui dis-je cash, ici on ne prend pas la pose en souriant
Elle fronce les sourcils visiblement vexé par mes propos qui sont simplement la pure vérité.
- j'ai un master en financement de projets et j'ai eu a travailler un nombre incalculable de fois dans se domaine, donc je pense être compétente pour se poste. Débuta-t-elle en plissant sa robe, je ne sais pas exactement se qu'il y'a entre toi et M. Fogue et je ne souhaite pas le savoir tout se que je demande c'est qu'on puisse travailler tout en passant au dessus de nos petits conflit.
Je me redresse de mon fauteuil en me penchant légèrement vers elle. Je ne suis pas dupe et je compte bien gardé un œil sur elle même si elle me semble sincères.
- toute façon le boulot c'est le boulot et je n'ai pas trop le choix. Lui dis-je de la façon la plus froides possible
- d'accord alors tout est dit... je vais te laisser. Déclare-t-elle avec empressement et gêne
- j'oubliais, si pour une raison où une autre tu a accepté de travail dans l'espoir que toi et moi on se remettent un jour ensemble c'est mort. Je l'avertis au cas où
Je connais que trop bien Mélia Zambo et a voir l'expression dans ses yeux je ne me suis pas trompés. Puis elle affiche un sourire en coin et dit
- attention Kindi je vais finir par croire que c'est se que tu espères tout au fond de toi.
Et puis quoi encore ! Je me laisse choir dans mon fauteuil pendant qu'elle quitte mon bureau en roulant du cul.
A peine sorti que je reçois un message.
Christine : Bonjour.
Moi : bonjour toi, comment tu vas ?
Même dans ses SMS je sent une certaine gêné mélanger à de l'inaccessibilité plus du renfermement. Depuis il y'a se truc qui bloque, je sais pas si c'est moi ou si c'est elle. Surtout depuis qu'elle m'a avoué n'avoir aucune expérience en matière d'homme et autres. Se qui m'a drôlement surpris surtout qu'on ne dirait pas de prime abord.
VOUS LISEZ
Le Poids D'une Vie
RandomChristine est une jeune femme pleine de joie et toujours souriante, un sourire qui cachent de grande souffrances. entre perte douloureuse, peur incessantes et amour suivez son histoire et celle de ses proches. histoire fictive