chapitre 8

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"Nguini Aballa Carole"

Ma soeur a toujours été comme ça, toujours solitaire elle se méfie de tout le monde. Je comprend pas en quoi elle trouve Mélia hypocrite, elle n'a mm pas essayé de la connaître faut vraiment qu'elle se calme.

Depuis quelques jours j'ai pas eu l'occasion de reparler avec Christi, disons que nous somme très occupé.

Je suis au travail, je fait les comptes quand je reçois la visite de Mélia.

- salut ma puce. Fit-elle en me faisant la bise

- salut miss, comment tu va. Demandai-je en l'invitant a prendre place

Comme toujours elle est sur son trente un, je lui fait un sourire.

- je vais bien et toi...ta famille comment vous aller ?

- tout le monde se porte bien... Tu veut te faire belle j'imagine.

Elle se met a rire, puis je vais avec elle pour qu'on la prenne en charge.

- je veut un tissage et un soin du visage, j'ai des cerne monumentale ses dernier temps. Lance-t-elle en se touchant le visage

- c'est parce que tu passe toute tes nuit dehors a faire la fête, prend le temps de te reposé ça va te faire du bien. Lui dis-je sincèrement

Elle roule des yeux en riant, j'aime bien passer du temps avec Mélia c'est une fille cool et extraverti.

Nous nous somme rencontré il y'a cinq ans grâce a une amie qu'on a en commun, le courant est vite passée entre nous.

Je la laisse entre les mains de Flora et me dirige vers mon bureau.

Sa fait une heure que je suis plonger dans le travail, j'étire un peu mon corp quand mon regard tombe sur Ronald à l'embrasure de la porte. J'affiche un grand sourire avant d'aller l'embrasser.

- mais chouchou qu'es que tu fait là...tu es sensé être au travail a cet heure. Dis-je en le regardant avec amour

Il fait mine de réfléchi puis pose ses lèvres sur les mienne avec douceur, en me serrant fort contre lui. Quand nos lèvres se sépare il pose sur moi son regard qui me fait perdre la tête.

- je voulait voir ma femme et peut être aller déjeuner avec elle si possible. Rétorque Ronald en me caressant les bras.

Tout le monde nous fixe, c'est aussi vrai que je ne ferme jamais mon bureau.

- c'est gentil...mais je suis sensé déjeuner avec Mélia...

- je vous invite toute les deux alors, en plus je suis avec Henri. Lance-t-il

Henri ! Henri ! Encore lui
Une grosse boule se forma dans mon ventre.

***

Nous somme assis a une table tous les quatre a discuter et à manger. J'étais pas à l'aise à cause d'Henri c'est homme je le déteste.

- alors Ronald comment vont les affaires, Carole m'a dit que tu a ta propre entreprise. Lance Mélia

- ohhh.... C'est pas une grande entreprises, mais je doit admettre que les affaires vont bien. Répond mon mari un sourire crispé

- on commence toujours quelques part et c'est pas rien. Dit Henri en le taquinent un peu

Je suis fier de Ronald, il a réussit sa carrière et j'en suis ravi, on a eu nos lot de difficulté mais par la grâce de Dieu tout va bien aujourd'hui.

Le Poids D'une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant