chapitre 18

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"Christine Aballa"

J'ai pas dormis de la nuit revivant sans cesse mon viol mais cette fois avec le visage de se connard a la place de celui cagoulé. Comment a-t-il pu oser. J'espère que j'ai pas crié comme à la maison pendant mon sommeil, même si j'ai des doutes. J'attrape mon téléphone, il est éteint.

J'observe la chambre dans laquelle je me trouve, Elle est assez simple sans décoration particulière. Les couleurs sont assez bien choisi du blanc et du gris. Je reste sur le lit assise, recroquevillé sur moi même. Le regard perdu dans le vide. Toute mes craintes son remonter à la surface, Si Gabriel n'avait pas été la je me demande comment j'aurais fait. Il s'est montré réconfortant à tout les niveaux.
Ses dernières années je fais des crises de panique à chaque fois que je me sent en danger. Il a su me calmer,
En parlant de lui

Dans mon sommeil j'ai senti plusieurs fois un truc humide sur mon front qui me procurait de la fraîcheur, à voire la petite bassine d'eau au chevet du lit quelqu'un a pris soin de moi toute la nuit. Un sentiment de honte vint m'envahir à l'idée qu'il puisse m'avoir observer pendant mon sommeil.

La porte s'ouvre sur lui, habillé d'une culotte en coton gris, un t-shirt blanc et des sandales.

- Bonjour tu es déjà réveillé ! Fit-il avec une voix rassurante. Je te laisse te rafraîchir le petit déjeuner est prêt

- ...... Bonjour ! Dis-je simplement

Il prit la bassine d'eau et quitta la pièce. Après avoir prise une bonne douche et remis les vêtements avec lesquels j'ai dormis je vais le retrouver au salon.

Ma robe est déchiré un peu de partout je ne pouvais pas la reporter. Je dresse le lit avant de sortir de la chambre mes effets dans les bras.

Je le trouve dans le coin salle à manger, il y'a de grandes vitre qui donne une vue sur la ville. Il n'a aucune décoration de Noël. En passant nous sommes le matin de Noël et je suis loin de ma famille, chez mon patron qui me sert le petit déjeuner. Trop bizarre.

Je prend place, puis il vient s'asseoir en face de moi. Il y'a du pain, du lait une omelette, du saucisson et du jus d'orange. On dirais que c'est pour une seule personne.

- c'est gentil.... mais c'est trop en plus j'ai pas très faim. Lui dis-je

- force toi, hier tu n'as pratiquement rien mangé à la fête. Fit-il d'un ton qui se voulait sans appel

J'ai mes effets dans les bras et tout se que je veut c'est partir. Mais quand je croise son regard dur je dépose tout sur la chaise à côté de moi et essaie d'avaler quelque chose.

- je veux savoir se qui s'est passé hier.

Sa voix résonne comme un ordre. Mais es que je peux lui dire, j'aurais trop honte.

Tu dois lui dire pour qu'il sache quel genre de personne est se Henri. hurle ma conscience.

Je souffle un grand coup pour me donner du courage et me l'ance.

- après avoir fait pipi je me lavait les mains Quand j'ai vu le reflet de.....Henri sur le miroir.... il a commencé à me faire des avances très explicite et quand j'ai voulu sortir il m'a bloqué le passage.

Quand j'ai prononcé son nom ses traits son devenu encore plus dur, mais il n'interrompit pas mon récit.

- il s'est jeté sur moi en me poussant vers l'une des cabine..... j'essayais de me débattre mais il me maintenait super fort.... Je me suis mise à crié mais rien.... jusqu'à se qu'une personne est entré.... Il me relâcha en me promettant qu'il me....

Le Poids D'une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant