Saloum chez Mountagiss
Les gardes revinrent avec un grenier pauvre d'informations :
_Désolé votre majesté mais nous n'avons pas pu retrouver votre fille dans nos frontières.
Mountagiss
_Où est-elle passée ?
Cela fait presque deux jours que je n'ai pas vu ma fille.
Est-elle en dehors de nos frontières ?_J'ignore vraiment cette information votre majesté. Répondit son général : Ndelly.
Au moment où Ramaniss commença vraiment à s'inquiéter, Addiliss se pointa devant eux plus mature que jamais. Ils restèrent tous bouche-bée.
_Merci les ancêtres d'avoir ramenés ma fille saine et sauve. Dit sa mère en l'accoladant.
Les gardes se disposèrent à la demande du roi. Etant seuls avec leur fille, le roi la questionna :
_Où étais tu pendant presque deux jours ?
Addiliss gardait le silence.
Mountagiss
_Je te le redemande une dernière fois : Où étais tu, qui t'a donné ces habits qui ne sont pas d'ailleurs de notre coutume ?
En voulant lever sa main pour la gifler, sa mère cria :
_parles mon enfant !
Addiliss s'écria :
_J'étais chez mon amour et mon bonheur. J'étais chez les héritiers.
Son père la donna une gifle très violente : paf !
Là, elle se révolta en ces termes :
_J'étais chez Dadhill, le Guélowar, l'homme idéal, mon guerrier idéal. Père j'étais chez l'amour de ma vie, pendant presque deux jours dans sa cabane au milieu de leurs beaux champs. Et devinez quoi, père : nous avons fondu nos désirs...
Aussitôt, il lui donna une autre gifle beaucoup plus violente.
Sa mère intervint :
_Si tu veux tuer ma fille, il va falloir que tu me tues d'abord, moi ta femme qui était toujours là pour te soutenir et te supporter dans tous tes caprices et dans toutes tes erreurs. Ne touches plus à ma fille !
Addiliss était incontrôlable, elle criait :
_Mère laisse-moi, je veux qu'il me tue mère, tout en pleurant car ses larmes mouillées déjà ses habits.
Sous l'emprise de la colère, elle provoqua davantage son père en ces termes :
_Moi Addiliss ta fille unique, le socle de tes projets sache que je viens de donner ma virginité à un héritier...
Mountagiss était hors de lui-même mais la fille continua ses provocations :
_Sache qu'un héritier a baisé ta fille intensément et longuement père, il m'a appris à ressentir le plaisir en me rendant jouissante pendant toute une nuit une et demie journée. Alors tue moi père vas-y... tout en étant derrière sa mère, Addiliss mettait en sueur son père :
_Jusqu'à présent mes sens ressentent encore ses caresses et la douceur de ses lèvres. Même ton Jacqliss ne peut pas me donner autant de plaisir entre mes deux jambes.
Son père sortit son épée, il bouscula Ramaniss et l'attaqua avec son épée, aussitôt Braviss intervint en parant son coup.
Ramaniss tomba et s'évanouit.
Sa fille courut à son secours tout en pleurant :
_Mère, mère, mère.
Braviss réussit à maitriser son père ; il le désarma et lui dit :
_Calme toi père, calme toi.
Les gardes et les servantes et tous ses sujets remplissaient déjà la cour royale. Nataya apporta de l'eau et porta secours à Ramaniss et sa fille qui étaient déformées de chagrin.
Braviss aidait par les gardes royaux amenés le roi dans le jardin pour lui faire prendre de l'air et l'aider à reprendre ses esprits.
Ils lui donnèrent de l'eau à boire et l'aidèrent à se relaxer...
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Mon Amour détruit
FantasyJe suis Addiliss fille de mountagiss, roi du saloum de Djilor. Ma vie préageait simple dans l'obéissance de nos costumes et de nos traditions tout en acceptant la main de mon cousin jacqliss fidèle aux envies de mon père. Du côté de l'impossible par...