Au royaume du Saloum
Le roi après avoir repris conscience, il se leva brusquement et partit en direction de la loge de Ramaniss qui était encore sous le choc, Braviss le poursuivit en lui disant :
_S’il vous plait calme toi, si tu poursuis le socle de ta chaleur, tu blesseras ta fille, père s’il vous plait calme toi.
Malgré les mots de son fils ainé, il dirigeait toujours vers la loge de Ramaniss. A son arrivée, il y trouva Addiliss, sous l’effet intense de la colère, il lui pointa le doigt :
_Désormais tu n’es plus ma fille, je te déshérite de ma lignée sanguine, tu n’es pas digne d’être un ceddo ni de porter mon nom. Toi et tes descendants je vous maudis, je vous maudis. Quittes ma demeure, je n’ai plus de princesse.
Il s’écria :
_Va au diable !
Ainsi la goûte de ses larmes mouillée déjà sa tenue, sans s’en rendre compte, il continua :
_Va-t’en, quittes ma demeure !
La jeune fille embrassa sa mère qui dormait toujours et prit la direction de la porte.
Braviss fut tétanisé par cet évènement qu’il était en train de vivre au sein de sa famille.
Et le père angoissé laissé ses larmes ternir sa bravoure, jamais personne n’eut vu auparavant le dur Mountagiss roi du Saloum en larmes, jamais… Pourtant ce jour-là ses larmes rendaient même tristes sa garde royale.Braviss courut voir sa sœur et l’interpréta à ces termes :
_Où vas-tu sœur, chez ton fiancé ?
Addiliss
_Non, si je vais là-bas, la guerre sera inévitable. Je vais chez Dibor, elle saura me comprendre ; elle est sage.
Braviss
_Pardonne la chaleur de notre père, tu sais bien qu’il a le sang chaud mais il te pardonnera.
Addiliss
_Tu penses vraiment qu’il me pardonnera un jour.
Braviss
_Si, il le fera un jour ; il t’aime très fort ; tu es sa fille unique,
ma petite sœur.Addiliss
_Merci frère…
Elle s’en alla avec ses peines et ses ambitions.
VOUS LISEZ
Mon Amour détruit
FantasyJe suis Addiliss fille de mountagiss, roi du saloum de Djilor. Ma vie préageait simple dans l'obéissance de nos costumes et de nos traditions tout en acceptant la main de mon cousin jacqliss fidèle aux envies de mon père. Du côté de l'impossible par...