Une femme aux long cheveux noirs marchait dehors. L'air frais lui donnait le sourire aux lèvres. La brise aussi était agréable. Mais c'était surtout ce beau ciel vaste qu'elle admirait. Elle ne se lasserai jamais de le regarder.- Grouille-toi, j'ai à faire.
Ayame pesta. Tout aurait été parfait si seulement le caporal n'était pas là pour la surveiller.
- J'ai accepter de prêter allégeance au bataillon, pourquoi doit-on me surveiller ? souffla-t-elle.
- Car jusqu'à nouvel ordre, tu reste une déserteuse. Peut-être que Erwin te fait confiance, mais moi, rien ne me garantit que tu resteras là après l'obtention de ta citoyenneté.
Ayame croisa les bras, agacé.
- J'ai signé un contrat. Dans lequel je jure que je resterais au bataillon d'exploration jusqu'à ce que mort s'en suive. Et de toute façon, le nain, j'ai trop de respect envers le major pour briser ma parole.
- Tu m'appelle encore une fois le nain, morveuse, et tu la sentiras passé.
- Tu m'appelle encore une fois morveuse, le nain, et tu la sentiras passé, répliqua Ayame sur le même ton.
Immédiatement, Livaï sauta sur Ayame. Elle contra immédiatement le coup.
Décidément, avec ce sale nain, on peut pas être tranquille.
- Dis donc corbeau de malheur, tu sais que tu attaque un supérieur ? cracha le caporal.
- Mon seul supérieur à pour nom Erwin Smith, enflure !
Elle était outré qu'il l'ai appelé "corbeau de malheur" alors que ses cheveux n'étaient que légèrement plus noir que ceux du nain.
Livaï essaya de lui donner un coup, Ayame esquiva vers la droite, et fit de même. Son sois-disant coup brassa le vent.
Elle fonça sur le noireaud, essaya un coup vers sa gauche qu'il contra, l'ayant prévu, sa jambe était déjà en train de préparer le prochain coup. Le caporal faillit tomber, mais se rattrapa à l'arbre.
Il leva les yeux vers elle, furieux.
- Tu veux la jouer sérieusement, corbeau ! lança-t-il froidement.
Ayame lâcha un éclat de rire.
- Mais c'est que le nain se rebelle ! P...
La femme tomba lourdement par terre. Elle essaya de se relever, mais une masse l'en empêchait. Le caporal la prit par le col.
- Ne m'appelle plus le nain ! siffla-t-il.
Ayame esquissa un sourire provoquant.
- Mais c'est qu'il fait sa crise d'ado !
La seconde d'après, elle reçu un autre coup. Son visage était écrasé sur le sol par le talon de l'homme. Elle gémit de douleur en se débattant, mais le caporal la regardait d'un air froid, indifférent.
- J'ai été trop doux avec toi. Je ne me retiendrais plus.
Il la frappa plus fois. Ayame encaissait avec les dents serrés. Elle était seulement capable d'amortir le choc. Cet enfoiré n'y allait vraiment pas de main morte.
Le caporal continua jusqu'à ce qu'elle comprenne qu'elle ne pourra jamais le battre. Il était bien trop puissant.
Il s'arrêta enfin après une dizaine de coup. Ayame ne bougea pas, attendant qu'elle le lâche. Pour survivre, elle avait intérêt à faire attention avec lui.
Rien qu'à le regarder, elle déduisait qu'il la haïssait et la méprisait. Son regard semblait dire qu'un insecte hideux se trouvait face à lui.
Ayame, elle, fixait l'homme de son regard émeraude. Il avait sa main sur son menton, et rien que le fait qu'elle ne puisse pas la retirer la répugnait.
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La Vie Est Belle, Mais Si Cruelle
Fanfiction« C'est ça, rit, grinça le caporal. Mais à la seconde où tu trahis le bataillon, je serais là, et je m'occuperais de ton cas. Retiens bien ça corbeau de malheur : je garderai un oeil sur toi autant de temps qu'il le faudra. Ceux qui viennent d'en ba...