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Au petit matin, je suis réveillée par un mouvement délicat. Je papillonne des paupières et un léger baiser atterrit sur ma tempe.
"- je ne voulais pas te réveiller si tôt"
"- tu te lèves déjà?" Je demande. Il fait encore presque nuit dehors...
"- c'est que ..." Il cherche ses mots "je ne veux pas te brusquer après ce que tu as vécu et ce que tu m'as vu faire, j'avais peur de te déranger ..."
"- reste..."
Il se réglisse dans le lit et m'enroule contre lui. Une vague brûlante balaie mon corps. Ma main crochète son cou et nos lèvres se joignent naturellement. Ses mains effleurent le moindre centimètre carré de mon corps tendis que sa bouche part à la conquête de la mienne.
Un noeud incandescent se forme dans mon abdomen alors qu'il dévore mon buste de baisers. Ses mains passent sous mes fesses et il me tracte plus haut. Il soulève mon t-shirt, me mettant à nu sous ses yeux. Étrangement, je ne ressens pas la moindre gene. Mon corps réclame plus. Plus de caresse. Plus de chaleur. Plus de baisers. Plus de tendresse. Plus de passion.
Valentino semble comprendre et se couche au dessus de moi. Ses mains sont partout. Elles effleurent ma féminité. Trouvent un petit bourgeon de chair et le fait rouler entre ses doigts. Mon corps se plaque contre sa main. Mon dos se cambre et s'arque sur le matelas. Sa bouche descend jusqu'à mon pubis mais je me tortille pour échapper à sa bouche. Je ne sais où pas prête pour ca...
"- non essere timida, tesoro..."
Il reprend ses baisers mais je continue à me tortiller sous lui, alors il remonte vers mon visage. Parvenu à ma hauteur, il ôte son sous-vêtement et un petit malaise me saisit en voyant la taille de l'engin. Je n'ai pas le temps de réagir que ses grandes mains viriles s'emparent de mes hanches, qu'il sureleve juste assez pour positionner son sexe à l'entrée du mien, et il s'enfonce d'un geste brusque entre mes cuisses.
Je tressaille et m'accroche aux muscles de ses épaules.

Avisant ma grimace de douleur, il s'arrête et me tient contre lui, tandis qu'il retape les oreillers. Il me repose doucement, toujours enfoncé en moi jusqu'à la garde. Son léger mouvement m'arrache une grimace. Valentino est immobile, enfoncé en moi, son regard plonge dans le mien. Une émotion folle passe entre nous, comme un courant électrique brûlant.
Soudain, Il relève mes jambes et les entoure autour de ses hanches.
Ses mains passent, l'une sous mes fesses, l'autre sous mon dos et il nous retourne complément, pour que je sois sur lui, empalée.
"- fai pure" (fais toi plaisir...)

Comprenant l'intention, j'ondule légèrement le bassin. Je sens que mes chairs sont écartelées autour de son membre, mais de petites décharges électriques parcourent ma féminité. Ses mains, partout sur moi, tracent des sillons brûlants, excitant mes sens. Chaque petit mouvement que je fais me stimule et je finis par me détendre et frotter mon corps contre le sien. Il rejette la tête en arrière et m'observe entre ses cils pendant que je prends du plaisir.

Dans l'excitation, ses mains viennent me soulever sous les côtes et je hurle de douleur, en me renversant sur le lit. Valentino s'excuse immédiatement et prend soin de m'installer confortablement. Voyant que je suis à nouveau calme, il se rend à la salle de bains et revient avec un gant humide qu'il passe sur mon sexe. Ce geste si intime me bouleverse. Il s'installe ensuite entre mes jambes et pose sa bouche contre mon intimité. La chaleur et l'humidité sont vite oubliés dans le tourbillon de sensation que je ressens à chaque mouvement de ses lèvres ou de sa langue contre mon corps. Il sucew lèche, aspiré, effleure et me rend incontrôlable. Les mains plaquées dans des cheveux, je colle sa bouche à mon sexe qu'il continue à dévorer jusqu'à l'explosion. Mon coeur bat la chamade alors que je retombe sur l oreiller. Il prend soin de nous couvrir avec un drap léger et nous retombont dans le sommeil, enlacés.

Série: Mafia. Tome 1. L'oeil de Monte scuroOù les histoires vivent. Découvrez maintenant