DARK MERCENARY

Epílogo 2

Fais-moi croire qu'il est possible d'aimer une seconde fois. 

-trois ans et demi après le tome 1-

***

-Angelina/Hilona-

- Ange lâche le, m'implore Jace avec son café dans une main.

Mais je n'y arrive pas !

- Ayden tu sais que si tu ne veux pas y aller tu peux rester à la maison avec moi ?

Il secoue la tête en lâchant :

- Non, je veux y aller.

- Ok. T'es sûr ? répétais-je.

- Bon sang ! jura Jace en attrapant Ayden. T'es un grand garçon ou pas Ayden ?

- Un grand ! cria-t-il de sa petite voix.

- Alors file te faire des amis et travailler pour être aussi riche que Ploutos, lui dit Jace en le reposant part terre.

Ploutos est le Dieu de la richesse dans la mythologie Grecque.

- Bisous Maman je t'aime ! cria mon fils.

- Te quiero, mi hijo, articulais-je.

Il pencha la tête sur le côté me faisant comprendre qu'il ne comprend rien en ce que je raconte et je répète en anglais.

- Je t'aime mon fils.

Il sourit en formant un cœur avec ses mains puis il suit Jace jusqu'à l'école.

Les larmes coulent sur mon visage de laisser mon fils à l'école. Il est si petit et si grand à la fois.

Depuis un an, depuis que Khalis a encore retrouvé ma trace on a décidé de parti s'installer dans notre pays : la Grèce. Y'a pire comme vie non ?

Khalis ne doit pas me retrouver. Car il ne doit pas retrouver Ayden.

Mia a trouvé un boulot légal qu'elle aime encore plus que celui qui était illégale. Elle est décoratrice dans une société en Grèce et elle aime énormément son métier.

Jace et moi restons fidèles à nous même.

Sur les papiers d'école de Ayden je suis sa mère et je travaille dans la société familiale. Jace est son beau-père et il travaille avec moi.

Ce qui est faux car Jace n'est pas le beau-père de Ayden, il est son tonton. Mais pour être accepter dans une école privée il était plus facile d'avoir une bonne situation familiale.

C'est ce que j'aurai voulu offrir à mon fils. Mais malheureusement je suis sa seule vraie mère. Il ne connaîtra jamais son père et c'est beaucoup mieux comme ça.

Jace revient avec son café et un grand sourire.

- Comment ça va ?

- Je vous déteste.