XII- Comienzo de la venganza.

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Nous devons en permanence sauter de falaises et déployer nos ailes. 

-Kurt Vonnegut-


***

-Hilona-


J'étais allongé sur son lit. Nu. Il était parti depuis vingt minute.

Pourquoi ? J'en sais rien.

Où ? Je ne sais pas.

Ça me saoul. Je décide de prendre un tee-shirt à lui et un caleçon Calvin Klein noir tout comme le haut. Puis mon téléphone et de descendre dans l'attention de partir. J'envoyer un message à Jace pour lui dire de venir me chercher chez Khalis et il me répondit qu'il partait tout de suite.

Mais je me sentis rapidement plaquer contre le mur. De grande mains contre mes épaules.

- Tu comptes te barrer là ? me cracha-t-il froidement.

Je fronçais les sourcils à son ton si dur.

- C'est toi qui es partie connard.

Je sentis sa main autour de mon cou se presser un peu.

- Tu m'as appelé comment là ?

- Lâche-moi.

- Réponds-moi.

- Va-te-faire-

Il me retourna brutalement pour me plaquer contre le mur de l'escaliers.

Il est malade lui ? Il me traite comme la pire des merdes. Si la voiture était aller à une allure plus rapide je serais surement morte. Demain il va m'obliger à signer un contrat avec lui alors que je ne le veux pas.

Je n'allais pas lui sauter dans les bras et lui dire que je l'adorai. Qu'il était beau et tout le bordel que je ne pense pas. Je le déteste. Et encore plus fort je le méprise. Il a piétiné ma fierté.

Il paraissait énerver. Mais de quel droit ? S'excuse pour fuir ?

- Je t'interdis de t'enfuir une nouvelle fois. Surtout habiller comme ça. Parce que là j'ai une grande envie de te baiser.

Il sort d'où lui ?

Plus jamais il ne se passera quoi que ce soit entre nous.

- Baise tes putes je m'en fou. Mais moi tu ne m'auras plus jamais.

Il resserra son emprise sur moi.

J'étouffais.

- C'est ce que tu crois ça.

Je n'avais encore jamais vu cette partie de sa personnalité. Ce noir en lui. Ce diable.

S'il me faisait peur ?

Un peu oui.

- Non. C'est ce qui se passera Khalis. Je me tape qui je veux. Et toi aussi. On se droit rien. C'était un soir. Et encore.

Et quand j'en aurai l'occasion je baisserai un mec à côté de lui. Et je crierai comme si c'était le meilleur coup de ma vie.

- Tu vas me faire croire que tu n'as pas aimer.

Il pressa son bassin contre le miens. Je sentais son érection contre moi et je refuser de réagir mais mon corps ...

- Lâche-moi.

DARK MERCENARYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant