<<Zafia, reste là.>>
***
Notre chambre est devenu un capharnaüm géant, merci aux filles d'avoir dévalisé mes placards et aux mecs d'avoir proposé une sortie au casino de la ville. Je n'étais pas trop apte à l'idée de y aller, mais si je ne joue pas mon argent et que je viens seulement pour les regarder se ruiner, ça va.
- Bon les filles vous venez ? gueule Elie, impatient.
- Deux secondes mon chou, personne ne nous attend là-bas, rétorque Katty en cherchant son sac dans le bordel sur le lit.
Je descends déjà avec les gars, en ayant marre de l'humidité de la pièce. En mélangeant le sèche cheveux, le lisseur, le boucleur et le fait qu'elles prennent des douches brulantes, on suffoque là-dedans.
- On en a une sur trois, Liam prévient les potes, eux installés dans le grand canapé du salon.
- Elles en ont encore pour au moins dix minutes, je vais me servir un verre d'eau avant de partir.
- Je t'appelle si je comprends pas ce que me disent les chauffeurs de taxis hein.
Une fois mon verre d'eau en main, je m'assieds sur le plan de travail en checkant mes messages. Le Wifi m'avait manqué.
Lisa
C'est bon, le problème est réglé 😁
Merci infiniment !!!
Comment se passe tes vacances ?
Très bien, on va aller au Casino dans quelques minutes
Oh cool ! Passe le bonjour à tout le monde de ma part 😊
Je le passerai surtout à Elie, t'inquiète 😉
Tu vas me souler longtemps avec lui ?
Oui 😂
- Tu parles à qui comme ça ?
Je lève la tête et vois Mathieu, appuyé sur l'encadrement de la porte, bras croisés. Oh...Monsieur a sorti la chemise à ce que je peux voir. Eh bah, il est franchement pas mal comme ça. Je m'oblige de détacher mes yeux de son torse pour ne pas attiser ses commentaires désobligeants.
- T'as volé la chemise à Flav ? je change de sujet avec un sourire en coin.
- Ouais, lui dis pas ou il va me défoncer.
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Sirènes // PLK
RomanceLes sirènes auraient dû se mettre à sonner dès le premier instant, dès quand nos deux âmes perdues se sont croisées pour la première fois. Désormais, il est trop tard. Toi et moi, ça ne devait jamais arriver. On dit pourtant que le destin fait bie...