CHAPITRE DEUX

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- Coucou tout le monde ! j'aimerais tous.tes vous remercier pour vos retours sur mon premier chapitre ! j'avais tellement peur de le publier ! J'espère que ce chapitre vous plaira tout autant ! Je pense que vous l'avez devinez, mais je publierais un chapitre par semaine, le dimanche entre 18h et 20h ! actuellement j'écris le chapitre 9, eheh, j'ai hâte que vous puissiez le lire 🙄 😏 (moi actuellement ⤵️)

tes vous remercier pour vos retours sur mon premier chapitre ! j'avais tellement peur de le publier ! J'espère que ce chapitre vous plaira tout autant ! Je pense que vous l'avez devinez, mais je publierais un chapitre par semaine, le dimanche entr...

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En attendant,  je vous souhaites une bonne lecture et à dimanche prochain ! 🥰

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LEONIE
Nous faisions la route en silence. Les bras croisés sur la poitrine, assise sur le siège passager de sa grosse voiture. J'y mettais toute la mauvaise volonté du monde. Cet idiot écoutait de la bonne musique, je me concentrais dessus en traversant la ville. Nous arrivions devant l'une des plus hautes tours de la ville.

-  Quelle surprise, marmonnais-je.

Être l'une des futures plus grosse richesses du pays comportait certains avantages. Le hall de l'immeuble était encore plus luxueux que ce que je pensais, tout était dans les tons noirs. Sur la gauche, il y avait une belle réception avec des roses blanches sur un comptoir en pierre noire. On rejoignait les ascenseurs quand une jeune femme blonde s'interposa pour parler à Simon, pour elle, je n'existais clairement pas.

- Monsieur Moros, votre courrier à été déposé dans votre entrée et le lit a été préparé à votre demande.

Quand les avait-il prévenu pour le lit ? Nous avions été ensemble tout le temps et il n'avait pas touché son téléphone une seule fois.

- Merci Maéva.

- Bonne soirée Monsieur.

Maéva, tourna les talons sans un regard pour moi. Quelle pétasse.

- Attends, pause.

Simon appuya sur le bouton de l'ascenseur avant de se retourner vers moi.

- Oui ?

- Tu as des domestiques ?

- Ce ne sont pas des domestiques Léonie, mais des agents d'entretien et du personnel de maison.

- Appelle-les comme tu veux, ça reste des domestiques.

Il ne répondait pas alors je continuai :

- Comment tu les as prévenus pour le lit ?

- Il y a des caméras au parking. Avec mon père on y a accès, je les regarde toujours avant de partir et ce soir, je t'y ai vu. Alors, j'ai envoyé un message à Maéva et je suis descendu.

- Et tu t'es dit que j'allais venir avant même de me le demander ?

- Tu es là, non ?

Je levais les yeux au ciel. Une fois dans l'ascenseur, il appuya sur le numéro 10, le dernier. Forcément. Que serait un riche héritier sans son penthouse.

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