SIMON //
Matt était venu me déposer le matériel nécessaire à l'enregistrement et m'avait informer que leur bande étaient poser dans ma maison d'été sur la cote.
- Si il m'arrive quoi que ce soit, prend soin d'elle.
- Il ne t'arrivera rien.
- Mais si
- Non. Me coupa t-il.
Apres un lourd silence il reprit.
- Tu es mon meilleur ami Sim', depuis toujours et à jamais... Je t'aime mon frère.
Il me serra dans ses bras, comme quand il avait apprit pour maman ou pour mon frère. Je lui rendait son accolade.
- Je t'aime aussi.
La boule dans mon estomac redoubla. Je me dirigeais vers l'abattoir, et de ma propre volonté.
j'arrivais enfin devant l'entrepôt, éloigné de toute civilisation, a quelque minute seulement de la ville.
L'entrepôt servait de stockage pour le papier, mais personne ne venais jamais ici. Le grand bâtiment gris me mit la chaire de poule.
- Voilà donc le lieu de ma dernière demeure. murmurais-je en allumant une cigarette.
Ma dernière.
Je peux aussi aller en prison.
L'une des grosses berlines noir de Père était déjà garer et vide. Je toquais donc a la large porte en fer et un garde nous ouvrâmes.
Marc.
Je le revoyais frapper Léonie et une envie de meurtre me traversa instantanément.
- La déception de la famille. Ricana t-il
- Ta gueule. Grogna Tim
- T'es qui toi ?
- Mon garde, Père ne pensais quand même pas que je viendrais les mains dans les poches ?
Le garde pinça ses lèvres mais nous laissa passer.
Les deux gardes sur les talons, j'avançais dans le couloir et montais l'escalier menant au bureau de mon géniteur.
Je priais pour que ce dernier n'est pas l'idée de me fouillé. La mission ne tenait qu'à un minuscule micro
J'entrais dans le bureau et trouvais mon géniteur debout devant le meuble central. Son teint pale et ses minuscule yeux noirs me donnait la chair de poule.
Un monstre.
- Fils. Ricana t-il, je croyais que la prochaine fois que nous étions censé nous voir était le jour ou tu viendrais danser sur ma tombe.. ce sont tes mots non ? mais tu es incapable de vivre sans moi et je tu me le prouve une fois encore.
La ferme.
Je me contenait. Je devais faire profil bas, le faire parler. Je m'imaginais le doux visage de Léonie et me détendais. J'allais y arriver.
Pour elle.
- Bonsoir Père. Murmurais-je fainéant la honte.
- Pourquoi prendre un garde ? As-tu peur de moi ?
- Vous avez tué l'un de vos fils, je m'assure que vous n'en fassiez pas autant avec le deuxième. Cracha Tim.
Sa méthode était plus offensive.
Le vieil homme le poignarda du regard, son teint pâle devint rouge de colère.
- Cet abruti vous a parler de mon regretter fils... Bien, lui as-tu aussi parler de ma défunte femme ?
VOUS LISEZ
ILLUSOIRE
Romance« Le pire ennemie d'un menteur, c'est quelqu'un qui a une bonne mémoire. » - le danger avec les mensonges, c'est de les préférer à la réalité. Léonie le sait car sa vie en est l'exemple même. - MESSAGE IMPORTANT/ « Les personnages et les situations...