CHAPITRE ONZE

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LEONIE :

Je m'en étais voulu de mettre montrer faible devant Simon. Cependant sa réaction m'avais surprise. Il n'avait fais aucune blague, ne s'était pas moquer, il s'était excusé, et surtout, il n'avait pas recommencer depuis cette fameuse soirée. En presque trois semaines, je n'avais pas eu la moindre réflexion sur mon physique, pas même quand nous nous étions fait prendre en photo alors que j'étais en jogging large.

Habituellement je ne sortais pas en jogging, mais Simon avait trouver intéressant, pour notre mensonge, que les paparazzi nous voient courir ensemble. L'idée même de montrer mes formes en magazine m'avait donner la nausée, alors j'avais opter pour mon bas de pantalon très large et complètement abîmé. Simon m'avait passé son t-shirt des Sum41 pour un coté, je cite : « plus réaliste », je me demandais bien comment quiconque aurait put deviner que c'était le sien comme il ne sortait qu'en costume, mais ça avait eu l'air de lui tenir à cœur. Ce même jour, nous avions couru presque quinze kilomètres. Je n'aurais sût dire si Simon avait réduit son allure pour moi, ou si nous avions réellement la même vitesse de croisière.

Depuis ce jour nous courrions ensemble tout les matins, soit dehors, soit dans sa salle de sport, il m'avait même acheter un tapis pour l'occasion. Bien évidemment nous courrions en silence, nos casques sur les oreilles. Nous n'étions pas amis, nous profitions juste de la présence de l'autre.

La solitude est agréable quand ont l'a choisi.

Hormis son changement d'attitude sur mon physique, Simon restait le même connard imbuvable. Il prenait toujours soin de prendre les plats que je détestais le plus au restaurant ou de me faire porter les talon les plus hauts et les plus inconfortables. J'aurais même pu jurer qu'il nous imposais de plus en plus de soirée mondaine. J'étais d'ailleurs en train de me maquiller pour l'une de ses soirées. Comme ma robe était noire et plutôt simple, j'optais pour un maquillage charbonneux dans les tons brun, à cause de mes yeux dépareiller je ne pouvais pas tellement oser autre chose. J'appelais souvent ma famille ou Flavie avant ce genre de soirée, histoire de râler et décharger mon stresse.

- Je suis sûre que tu exagères, la soirée ne sera pas    si terrible.

- Flavie... je vais passer la soirée entourer de vieux    croûton, dans des escarpins trop petit. Si, c'est terrible, je ne    sais même pas si Matt sera là pour sauver la fête.

- Tu l'as revue ?

- Pas depuis la soirée chez Monsieur Moros. On a pas    tellement eu le temps, entre le travail et ces foutu soirées    mondaine que Simon m'oblige tout les deux jours...

A dire vrai, nous nous échangions pas mal de texto. Tout les jours même, mais ce n'étais jamais intime. Nous avions plus ou moins reparler de la situation concluant que la relation resterais amicale uniquement, et ça m'allait très bien. Je l'adorai, il me faisait beaucoup rire, et j'avais l'impression de mettre fait un vrai ami. J'en avais deux maintenant, ce n'étais pas si mal, non ?

- C'est en faveur de quoi cette fois ta soirée ?

- Je n'en ai pas la moindre idée ! Je sais seulement que je vais devoir    rester accrochée au bras de Simon comme une cruche. C'est tout ce que    j'ai besoin de savoir je suppose.

- Estime toi heureuse que ce soit au bras d'un canon,    plutôt qu'à celui d'un boulet.

- Même si la blague est bien trouvée, je me permet de    préciser que Simon est un subtile mélange des deux...

- Ça aurait pût être Paul.

- Urk. Sur ces belles paroles, je te laisse, même si    mettre Simon en rogne me procure une joie incommensurable, je n'ai    pas envie qu'il me fasse faire la route du retour à pied, juste par ce que    je nous est mit en retard.

ILLUSOIREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant