Simon//
Les semaines qui suivirent fut chargé en rendez-vous, entre les avocats, les notaires et la police. J'avais l'impression d'avoir prit dix ans. Léonie avait des cernes de plusieurs centimètre, elle passait son temps a ruminer ou a angoisser mais ne se plaignait jamais.
Depuis le matin à la maison, nous avions dormi ensemble toute les nuits et contre tout attente nous étions rester chaste.
À quelque caresses près.
Nous arrivions au jours du procès à grand pas et les journaux ne tournais pas en ma faveur, ma réputation me précédait. Les gens ne me voyait seulement comme un tir au flanc qui vivait à la botte de son père et qui ne savait rien faire de ses dix doigts.
Père avait plutôt bien réagi a l'appel du procès ce qui n'arrangeait en rien mon angoisse, ce vieil homme avait un plan.
Chaque matin nous répétions les faits, les preuves et chaque soir je révisais ma défense.
À quatre heure du matin, la sixième semaine, Léonie me réveilla en sursaut alors que je grattais mes cicatrices. Le procès avait lieu dans l'après midi et l'angoisse était à son comble.
Malgré l'heure matinale, impossible de me rendormir; Apres un passage sur le tapis de course je filais sous la douche. L'eau brûlante ravivait la douleur de mes plaies ouverte et je savourais ce douloureux moment.
Je choisi cette douleur.
Vers midi, je prenais Léonie dans mes bras. Nous n'avions pas mit de nom sur notre relation mais nous nous exposions au grand jour. Elle lâcha la montagne de vêtements sale qu'elle s'entêtait à laver malgré le service de ménage, et me serra à son tour.
- Ça va aller. murmura t-elle.
J'ignorais si elle me parlait ou si elle tentais de se rassurer.
- Ça va aller. Répondis-je.
La matinée était chargée en tension, bien que Matt, Flavie et Tim soit dans l'appartement, seul le son de la télé raisonnait, nous étions bien loin des chamaillerie enfantine et des discutions mouvementé à propos du meilleur goût de glace de la semaine passée.
Au delà du fait de risquer de passé ma vie en prison, c'était quitter mes amis qui me peinait le plus. En quelques moi nous étions devenue un groupe soudé; Même Jade la copine de Flavie, commençais a faire partie de ma nouvelle famille. Maman l'aurai beaucoup aimer, bien que plus petite que nous, la brune avait un fort caractère; Elle avait très rapidement prit ses aises dans l'appartement.
Vers midi, après une énième répétition de mon discours, nous partîmes en quêtes du tribunal, tous vêtu de noir, comme pour célébré l'enterrement de ma vie.
_______________________________________________________________
LÉONIE /
Il faisait froid dans le tribunal. Le procès avait démarrer depuis presque une heure et les avocats se renvoyait la balle. La défense de monsieur Moros était bancale mais il avait les jurés et la ville dans la poche. Les médias étaient présent, ne ratant pas une miette de la descente au enfer de Simon.
Je l'observais. Le visage grave il parlait de sa mère et de la façon dont son géniteur lui avait peu a peu retirer la joie de vivre.
Je détestais mon ex patron d'infliger un tel supplice à son propre fils. Voir l'avocat le traiter de menteur, de tueur, et d'homme violent, me mettait hors de moi.
Apres une heure de plus, L'avocate du défendeur avança une nouvelle preuve de l'instabilité de Simon et la terre s'écroula sous mes pieds.
- Je voudrais apporter la preuve que Monsieur Moros fils est un menteur né, sur l'enregistrement numéro 6 celui ci avoue être sortie avec Mademoiselle Ballas pour se faire bien voir au niveau du grand publique ainsi que de mon client, Monsieur Moros père.
VOUS LISEZ
ILLUSOIRE
Romance« Le pire ennemie d'un menteur, c'est quelqu'un qui a une bonne mémoire. » - le danger avec les mensonges, c'est de les préférer à la réalité. Léonie le sait car sa vie en est l'exemple même. - MESSAGE IMPORTANT/ « Les personnages et les situations...