Chapitre 66

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De retour dans le vestiaire c'est la folie, cela se termine en bataille d'eau géante et je suis complètement trempée, trempée mais heureuse.
Évidemment la chanson free from desire nous accompagne encore une fois comme après chaque rencontres.

Dans le bus le trajet est à la franche rigolade, je suis comme toujours assise au fond du bus avec Antoine, Oussmane et Jules. A la différence près que mes doigts entrelacés à ceux d'Antoine repose sur ma cuisse.

Je souris en regardant nos mains jointes. Je n'aurai jamais pensée que cette soirée se passerai ainsi mais je ne regrette rien. Je suis heureuse qu'il ai fait le premier pas, je regrette juste qu'on ne ce soit pas décidé plus tôt. Le temps qu'il nous reste tout les deux est désormais compté et je ne veux pas encore penser à la suite. Je pose la tête sur son épaule et je ferme les yeux, je savoure chaque instant au maximum.

A notre arrivée à l'hôtel, le personnel accueil les joueurs comme de véritables héros. Ils sont tous très émus, il mérite plus que tout cet ferveur. Ils ont tous des étoiles dans les yeux, c'est fabuleux. Ma main toujours dans celle d'Antoine je suis le mouvement et profite moi aussi de cet accueil.

Personne n'as vraiment envie d'aller se coucher de suite et cela tombe bien par ce que le directeur de l'hôtel nous annonce qu'ils ont aménager la salle de réception en sorte de boîte de nuit. Tout le monde était heureux de cette nouvelle, quoi de mieux que d'aller danser pour fêter la victoire.

Nous rentrons dansa salle de réception ou la musique résonne déjà, la pièce est presque plongée dans le noir, éclairée par des faisceaux lumineux de toutes les couleurs. J'avoue ne jamais avoir été très à l'aise dans les boites de nuits mais la c'est différent. Tout le monde est déjà en train de sauter et chanter, j'hésite un instant mais Antoine me tire par la main pour entrer à notre tour.

Ce soir il n'y as que lui qui compte, nous nous retrouvons rapidement collés l'un à l'autre. Les bras accrocher à son coup et ses mains sur mes hanches. Les dernières barrières sont maintenant tombées et je ne peux plus vraiment cacher le désir que je ressens pour lui. Je n'ai jamais danser comme ça mais par ce que je me laisse totalement aller et que les musiques sensuelles qui passent à ce moment là me mette complètement dans l'ambiance, je bouge vraiment de manière totalement libérée contre lui. Ses baisers dans mon cou me font complètement perdre la tête et je dois m'accrocher à lui de toutes mes forces pour tenir debout.

Le désir nous consume totalement tout les deux, je n'ai jamais ressenti de telle choses. Je m'en fiche que les autres puissent nous voire, il n'y as que lui et moi.

- Tu sais que tu me rends complètement fou Tasha ?

Ces quelques mots chuchotés à mon oreille me font frissonner.

- Tu n'as qu'un seul mot à me dire et on sors d'ici toi et moi.

Il plonge son regard dans le mien et ce que j'y lis me couple le souffle. Jamais il ne m'avais regarder comme ça, avec une telle intensité, un tel désir. Je ne réfléchi pas plus longtemps et attrape sa main avant d'atteindre la sortie de la salle.

Je met quelques secondes à me réhabitué à la lumière et toujours main dans la main, en rigolant, on monte les escaliers afin de rejoindre ma chambre.

La porte à peine refermée derrière nous, je me jette sur ses lèvres. On s'embrassent comme si notre vie en dépendais, après tant de temps à retenir nos émotions, c'est une avalanche de sensation qui s'abat sur nous.

Mes mains glisse sous son t shirt et je le sens frissonner sous mes doigts. Je ne reviens toujours pas de l'effet que je peux lui faire, j'enroule mes bras autour de son cou pour le rapprocher encore plus de moi.

J'ai tellement envie de lui que ça me fait mal, il retire son t shirt et je prend quelque seconde pour admirer ce torse si parfait. Je retrouve rapidement ses lèvres et je ne peux m'empêcher de caresser son dos, ses bras. Mais quand Antoine s'accroche à ma taille et que ses doigts trouve le bouton de mon jean j'ai un mouvement de recul. J'ai tout fait pour faire taire la petite voix au fond de moi, celle qui me dit que je ne peux pas. Mais apparemment elle as décidée encore une fois de revenir...

Derrière les apparencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant