Ezio
Mes deux mains autour de son cou la forçaient à se cambrer contre mon bassin alors que j'enfonçais ma bite si profondément en elle. Je voyais ses doigts se recroqueviller sur eux-même et ses yeux se retourner sous l'effet de mes coups de rein. Tout m'excitait chez elle. De la manière dont elle gémissait mon prénom, passant par sa respiration hachée dû à ma prise sur sa gorge pour finir par la fine pellicule de sueur qui apparaissait sur sa peau.
- Regarde-moi quand je te baise ! Lui ordonnais-je, je voulais la voir jouir, il était hors de question qu'elle ferme les yeux et m'enlève ce plaisir.
Elle planta son regard dans le mien et ses lèvres s'incurvèrent dans un sourire en coin. Putain ce que j'aimais quand elle m'obéissait comme ça, elle me rendait fou. Elle était au bord de l'orgasme, je le voyais dans ses yeux. Je ne savais pas quoi faire, je voulais sentir son vagin se contracter autour de ma queue mais j'avais encore tant envie de profiter d'elle.
- Fais moi jouir maintenant souffla-t-elle difficilement.
- C'est moi qui décide, pas toi mon ange.
Je resserrais encore un peu plus mon emprise autour de son cou et vins lui mordre aussi délicatement que possible son épaule. C'était si bon d'être en elle, ses parois humides et chaudes se moulaient si bien sur mon sexe.
- S'il-te-plaît, mendia-t-elle.
Je souris face à ses supplications, ça me faisait bander encore plus fort quand elle était comme ça. Je retirai une de mes mains toujours autour de son cou pour venir lui caresser le clitoris et la faire jouir. Quelques secondes plus tard, mon orgasme suivait le sien en la sentant se crisper autour de ma bite.
J'aimais tellement la baiser. J'avais enfin réussi à la faire venir auprès de moi, elle m'appartenait maintenant, plus personne ne pouvait se mettre entre nous.
Le haut du corps complètement allongé contre la table du jardin, elle reprenait son souffle, le sourire aux lèvres. Je profitais de ce moment de calme, la bite au chaud, toujours bien enfoui en elle, pour reprendre le mien.
Semblant s'être assoupie dans cette même position, je lui caressais le dos et déposais un baiser sur sa nuque pour l'inciter à se relever, mais comme elle ne réagissait pas, je la pris dans mes bras pour la porter à l'étage.
- Il faut que tu ailles aux toilettes mon ange, lui chuchotais-je au creux de l'oreille en la déposant délicatement sur le lit.
J'entrais sous la douche et laissais l'eau brûlante retirer toutes les traces de nos ébats de mon corps. Du coin de l'œil, je l'aperçus se diriger vers les cabinets en chouinant des mots incompréhensibles ce qui m'arracha un sourire.
- Viens ici Love, lui disais-je en tendant la main à travers les parois de la douche pour l'attirer à moi.
Elle était assise sur le bord de la baignoire, les yeux à moitié clos. Elle se leva difficilement et fit glisser sa robe sur le sol.
Je ne pensais pas l'avoir autant épuisée. Où peut-être était-ce l'alcool qu'elle avait ingurgité durant le repas qui la mettait dans un tel état de fatigue ? Je lui embrassais tendrement le front et la serrais contre moi. Elle semblait si fragile dans mes bras que je n'eus d'autre choix que de prendre soin d'elle. À genoux devant elle, je savonnai soigneusement ses pieds, ses chevilles et remontai le long de ses jambes. Ne souhaitant pas la surprendre, je lui indiquais que j'allais maintenant lui laver l'entrejambe puis m'occupais de son buste. Une fois rincée, je sortais le premier de la douche, mis une serviette autour de mes hanches et vins la couvrir d'un peignoir avant de la mettre au lit.
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CHAOS MAKES THE MUSE
RomantikUne mère impulsive et un père aux abonnés absents c'est ce cocktail molotov qui a poussé Azel dans les bras d'un ami à l'aube de sa quinzième année. Seulement voilà, dix ans plus tard le conte de fée est vite rattrapé par la dure réalité de la vie...