Tensei Isekai no Yuusha

16- Vous m'impressionnez !

*PDV Rin*

**Aujourd'hui, j'ai décidé d'apprendre à connaitre mes camarades de classes. Chacun d'entre nous à décider de garder ses distances à l'académie, c'est mieux ainsi. Frost et Aiden restent entre eux, et en même temps, ils espionnent discrètement les autres garçons à la recherche des héros invoqués. De mon côté, j'ai décidé de me concentré sur les filles et leur amis... Ren... Tsuki... Moto... Nao... Raphtalia... et Rudy... leur aura émette quelques choses de particulier.**

Je retrouve Ren entrain de s'entrainer à l'épée. En me voyant, elle me propose un duel.

**Cette sensation nostalgique... Avec Ren, je suis sûre que même dans mon ancienne vie, on aurait lu des livre, regardé des animés et joué à des jeux vidéo. Je suis heureuse de l'avoir rencontré !**

- Je tiens à te remercier à nouveau pour mon épée. Merci d'avoir bien voulu enchanté la pierre magique ; me remercia Ren.

- Mais non, c'est normal. C'est plutôt moi qui suis chanceuse d'avoir pu rendre service, mais vos amis m'ont remercié aussi ; lui assurais-je.

- Mes amis ? ; demanda-t-elle.

- Oui. Tu as de merveilleux amis ; affirmais-je.

- Tu  trouves ? Je te remercie ; prononça Ren.

Mais soudain, un blanc plus que pesant, commence à se créer.

**C'est quoi, ce silence pesant ? Voyons voir, comment faire pour entretenir la conversation ?**

- Vos amis sont merveilleux, et ravissants. Tu es bien chanceuse, Ren ! ; m'exclamais-je.

- Chanceuse ? ; s'interrogea-t-elle.

- Euh, eh bien... ; bégayais-je.

- Tu penses que j'ai de la chance ? ; ajouta Ren.

- Oui ! Après tout, tu as des amis fantastiques. Euh... je me trompe ? ; souriais-je.

- Non, pas du tout. J'ai de merveilleux et adorable amis. J'ai beaucoup de chance ; affirma-t-elle en souriant.

**Quoi ? Quand elle sourie, elle devient encore plus belle ! Elle va en charmer des gens, ça c'est sûr.**

- Sur ce. Portes-toi bien ! ; lui souhaitais-je en partant.

**Je me suis bien amusée ! Mais je dois rester concentrer ! Bon... A la suivante !**

Je me dirige vers le cite d'entrainement pour les archers. Lorsque j'arrive, je vois quelques chose de surprenant. 

- Wouah ! Les flèches sont toutes dans le mille. On sent qu'elles ont été lancé avec des doigts experts. L'archer qui les a tiré doit être très doué. Je sais ! Il faudrait que le rencontre pour que je puisse demander conseil à cette personne de grand talent. Mais qui ça peut bien être ? ; marmonnais-je.

Je suis tellement plongée dans mes pensées que je n'entends même pas quelqu'un arriver vers moi.

- C'est moi ; déclara une voix.

Je me retourne et aperçois Tsuki.

- C'est moi qui est tiré ces flèches sur la cible ; ajouta-t-elle.

- Incroyable ! ; soufflais-je.

Alors qu'on rigole et qu'elle me montre toutes les positions qui existent pour pouvoir tirer dans n'importe quel angle, des élèves de l'académie viennent l'insulté. Mais Tsuki leur a montré qu'ils avaient tord de l'insulter de la sorte.

- Tu sais, Tsuki ? Tu m'impressionnes ! Tu es vraiment exceptionnelle ! ; déclarais-je.

- Hein ? Comment ça ? ; m'interrogea Tsuki.

Je baisse la tête en repensant à ce jour-là. Je souffle un bon coup, avant de lui raconter.

- Un jour, j'ai rencontré une fille. Elle ne se souvenait plus du visage de sa mère. On lui avait dit qu'elle était morte dans un accident de la route, alors qu'elle avait à peine 2 ans. Après l'accident, son père et elle ont quitté la grande ville pour aller vivre avec leur famille. Ils y ont couler des jours paisible, insouciant. Malheureusement leur vie tranquille a pris une tournure tragique. Après cet incident, tous les enfants à l'école l'insultait de "Meurtrière !" ou de "Sale Meurtrière !". Ils lui hurlait : "Comment t'as pu tuer quelqu'un ?! Me touches pas, espère de tueuse ! T'as du sang partout !" ou encore "On devrait te mettre en prison !" ou bien encore "On veut plus te parler ! Va-t'en ! Dégage !" ; racontais-je.

- Et comment ça c'est fini ? ; me demanda Tsuki.

- Elle ne s'est jamais vraiment remise de ce qui s'était passé, malgré les années... Depuis ce jour, il suffit qu'elle voit la photo d'un pistolet pour faire des crises d'angoisses par association. S'inscrire à une école pourtant très éloigné de son ancienne maison... n'y a presque rien changé. Les symptômes n'avaient pas disparu. Seulement... un jour... Ces harceleurs l'ont appelés pour lui demander de l'argent. Elle a alors répliqué qu'elle ne voulait pas leur prêter de l'argent et qu'ils devraient arrêter de lui demander. Le chef de la bande des harceleur l'a alors avertit, qu'il avait empreinté ce qu'elle savait à son grand frère. La jeune fille lui a alors répliqué : "Et alors ?". Le chef a alors sorti un pistolet de son sac tout en expliquant que son grand frère lui avait demandé de faire attention et de ne surtout pas le pointer sur des gens. Puis il ajouta : "Mais avec toi, ce n'est pas très grave, tu as l'habitude après tout. Allez vas-y ! J'chiale un coup. Mets-toi à genoux, et demande pardon." Alors qu'elle tremblait et que les amis de la brute se rigolaient. Il se rendis compte qu'il n'arrivait pas à l'utiliser. Il était entrain de s'énerver et de ce demander pourquoi il n'arrivait pas à tirer, quand la jeune fille lui pris le poignet. Elle le serra si fort qu'il lâcha le pistolet et elle put ainsi le prend en main. Elle l'observa sur sous tout les angles, avant de donner le nom de l'arme. Elle ajouta que son grand frère avait du goût, mais que personnellement, ce n'était pas son style. Elle expliqua ensuite que la plupart des pistolets ne peuvent pas tirer, si on ne retire pas le cran de sureté. Ses harceleurs la regardèrent choquer tirer sur un arbre et trouer une feuille. Quand elle remit le cran de sureté avant de leur rendre leur arme et de partir, le chef de la bande s'écroula choquer et ne l'embêta plus jamais ; expliquais-je.

Elle semblait vraiment absorbée par mon récit, mais je sentais aussi quelle se retenait de dire quelques choses ou de pleurer.

**C'est vrai que ça m'a énormément choquer quand j'ai découvert que les fusils de chasse ainsi que les vieux révolvers était présent dans ce monde.**