Je comprend pas

7 3 0
                                    

Tout le monde avait bu même moi, je l'avoue j'ai pris deux verres.

Ça m'a aidé à me détresse un peu.

Le reste de la soirée se passe bien, Jimin m'a beaucoup fait rire et danser, il est tellement super, j'ai beaucoup de chance.

Jimin – Je te jure, tu danses comme une Reine. Dit-il avec son regard charment.

Moi – et toi comme un roi. Tu es le meilleur danseur de tous tes potes.

Jimin – non, mais oui, l'un des meilleurs. Il me rapprochait de lui pour la millième fois de la soirée pour y déposer un doux baisait sur mon coup

Au début cela me faisait vraiment plaisir ces petits bisous, mais ça devient gênant, pas que je n'aime pas ou quoi que ce soit, mais je me sens de moins en moins à l'aise. Je sens que Jimin meurt d'envie de m'embrasser, mais corporellement, je n'y arrive pas.

Je sens sa tête se dégager de mon coup, ce qui me fit revenir un peu à peu à la réalité. Il caresse de son index mon menton pour me dire.

Jimin – je pourrais croire que je ne te fais aucun effet.

Moi – non pas du tout, tu me fais toujours de l'effet. C'est que je commence juste un peu a fatigué. Pas toi ?

Jimin – laisse-moi t'em-

Je le coupe un peut paniquer, regrettent d'avoirs dit que j'allais l'embrasser à pleine bouche étant donné que j'en suis incapable. Je me recule puis fait mine de bâiller.

Moi-Rejoignons le reste de l'équipe, je ne pense pas être là seul à vouloir rentrer.

Son expression de visage change très vite, laisser place à une tête désespérée et dégoûtée.

Je l'entendis marmonner, mais fit comme si je n'entendais pas, comme si je ne remarquais pas son mécontentement en allant rejoindre les autres.

Jimin – toujours une excuse ~



Tout le monde se disait au revoir et chacun repart avec qui il est venue.

Dans la voiture, on parle un peu, mais étant très fatigué, je pose ma tête contre la fenêtre et ferme les yeux.

Je sens la main de Jimin prendre la mienne, les posent sur ma cuisse.

Je me tourne vers lui et vois Jimin faire comme si de rien étais, je lâche un petit rire puis il sourit vite fait.

Jimin se gare et souffle un peu.

Jimin – on se le fait quand alors ce resto.

Moi – je ne sais pas quand tu veux.

Jimin – mercredi soir ?

Moi – avec plaisir.

Je sors pour rentrer chez moi, mais Jimin sort aussi et m'attrape le poignet.

Moi - Jimin ?

Il relâcha aussi tôt ma main puis baissait la tête un peu gêner. Il la relève rapidement.

Jimin – attend, j'ai besoin d'un petit câlin avant que tu partes. Je rends son sourire et me loge dans ses bras musclés qui m'enroulent immédiatement. Espèrent qu'il ne tente rien de plus.

Est-ce normal d'aimer un garçon, de le vouloir, mais ne pas vouloir l'embrasser ?

Jimin – Tu me promets que tu veux de moi.

Je relève la tête pour le regarder et lui répondre, mais nos visages sont vraiment très proches. Il me déstabilise, j'ai quand même peur de ses lèvres, c'est trop bizarre. Je lui réponds d'une petite voix fatiguée, mais sûr de moi.

Moi – je te promets qu'il n'y a pas plus beau et plus attirant que toi. Je crois que je te considère comment mon petit ami en toute honnêteté. Arrête de t'en soucier

Jimin – c'est vrai ? Il affiche un grand sourire et se détache de moi.

Jimin – Aller, rentre, il fait froid, je ris et entre chez moi après lui avoir fait signe de la main.

Je monte vite dans la salle de main, je me déshabille et me démaquille puis par dans ma chambre en sous-vêtement pour me glisser sous ma couette adorée.

J'essaye de dormir et y parvient sans aucune difficulté.











Ça fait quelques heures que je suis réveillé et la maison est un réel chantier.

Bien évidemment, c'est à moi de ranger. Tout le monde et partie chez des amies ou quelque part me laissent seul à la maison.

Je commence donc faire la salle de bain et le linge puis mon téléphone se met à sonner.

Moi

allo

Jimin

Comment va madame

Moi

Je vais bien et toi

Jimin

j'ai promis à ton frère d'aller à Mac do donc tu peux me donner son numéro que j'aille le chercher.

Moi

Pas de soucier

On parle un petit moment de la soirée d'hier, il m'avoue que tout au long de la soirée, il voulait m'embrasser, Chimchim me dit surtout qu'il était un peu dessu, mais j'ai réussi à sortir les mots doux pour qu'il ne soit pas dégoûté.

Après 3h de ménage, la maison et cline, comme un sous neuf, je me pose sur le canapé et ma petite sœur entre.

Amia – j'ai plein de nouveau tissu, je suis trop contente.

Elle et où la cachette, j'ai réussi à récolter 130€ ce week-end end.

Je manque de m'étouffer en entendant la somme.

Moi- COMBIENNNNN.

Amia – pardon 120€. Répète ma sœur fière.

Moi – tout le monte ramené assez pour les factures, je te rendrais ce qu'il reste ok.

Amia – non merci.

Moi – c'est ton argent que tu gagnes pour la maison, je suis d'accord, mais si tu te fais beaucoup de bénéfices, c'est normal que tu gardes.

Amia – alors, je donnerais 10€ à Massime Fanya à Djouna. On partage dans cette maison C'est la devise, me répond-elle, fièrement.

On rigole à deux puis elle monte dans sa chambre.

Je plonge alors dans mes pensées en regardant le vide.

Les images de Suga déstabiliser de ma proximité me reviennent en tête. J'ai l'impression d'entendre et de ressentir à nouveau sa respiration couper, d'entendre les battements rapide de son cœur.

Je repense à mes lèvres sur son coup et du frisson qui l'a parcouru.

Je ne pense pas qu'il osera recommencer à présent, une partie de moi espère ne rien avoir gâché à notre relation un peu spéciale.

Je ne l'avais encore jamais vue dans cet état, je ne sais pas si c'est censé être jouissant ou si ça à gâcher notre plus ou moins entente.

Je sors de mes pensées quand je resoi un message. C'est peut-être lui.

Je prends mon téléphone, regarde qui c'est et voit que c'est ma copine.

Elle me demande si on peut se voir alors, je lui propose de passer chez elle et elle me dit de prendre mes affaires pour le travail et de m'y emmener, j'accepte donc et me prépare à sortir.

Reconstruit moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant