Abendone toi a moi

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– HEHOOOO STOP TOUCHER LA PLUS, DJEYNA.
Il crie tout en fonçant sur ma mère pour essayer de nous séparer.

– Espèce de grosse hypocrite. Tu racontes n'importe quoi. Continue de crier, ma génitrice aveuglée par la colère.
Je poursuit alors dans le même état de transe qu'elle.

– vazy tape-moi, c'est la seule chose que tu saches faire de toute façon. Mes mots étaient remplis de haine et de rancœur.

– PUTAIN, mais LÂCHER LÀ. Il pris les mains de ma mère pour l'éloigner de moi alors que son dernier coup de poing venait d'être lancé. Elle se mit alors à nous menacer.

— Lâche-moi, sale petit con. Si tu ne me lâche pas, j'appellerai Chad pour lui dire où tu es petite ingrate. Dite t'elle comme si il allais débarquer et nous foutre une raclé.

Je me relevais tandis qu'il tenait ma mère comme il le pouvait.

– sort de la Djeyna. Dépêche là, elle bouge trop. Me prévient mon aîné alors que je la dévisager le regard noir.

— Tu n'oserais pas.

— C'est ce qu'on verra.

Je ressuie le liquide rouge qui coulait de mon nez et me replace devant ma mère alors qu'il essayait de plus l'éloigner.

— Fais ça et je te prends tes enfants. Dis-je avec mépris.

— Tu OSES ME MENACER SOUS MON TOIT. Criât t'elle. Owen essaye de retenir ma mère mes elle se débattais plus tôt pas mal. Se qui n'est pas à notre avantage. Il me répète donc.


– Sort Djeyna s'il te plaît. Essayez de me convaincre, mon sauveur.

– VAZY, ose lui parler, je te prends tes enfants. L'a menaçais-je pour la dernière fois.

— Putain, sort je t'ai dit. Cirât t'il aussi.

— Sort avec moi. Dis-je rapidement.

Je n'ai pas le temps de plus affronter la folle du regard que ni une ni deux : il pris ma main pour courir à l'extérieur.

Une fois dans la voiture, il reprit son souffle et moi aussi, même si la rage était en train de me noyer.

— Pourquoi tu ne m'as pas appelé idiote. Me dit t'il en essayent de sortir sa ceinture.

— Je t'avais dit de nous laisser pourquoi t'es intervenu. Criais-je aveugler par la colère étant encore mentalement dans la dispute.

Il hausse légèrement la vois rapidement puis me dis de façon calme.

- HO, De un sa fesait déjà un moment que je l'entendais te taper j'ai jugé que c'était trop. Et de deux ne me crie pas dessus je suis pas ta mère et je suis là pour toi.

Je ne dit rien réfléchissant à ses parole il a raison. Lui crier dessus n'enlèvera pas se qui vient de se passer.

Un blanc s'installe quel que instant qu'il rompu rapidement.

— Regarde-toi. Soupir, mon amie en regardant mon visage couvert de sang.

- Elle et complètement folle je te l'avais dit. Dis en ayant les yeux qui commencer à pétiller, il me coupe alors.

Reconstruit moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant