27. TINA

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Tina

Les jours défilent et ma relation avec Loner ne cesse de s’intensifier. Cet homme sait y faire. Il n’y a pas à dire. J’ai l’impression de tomber sans arrêt dans un tourbillon de sensations. De bonnes sensations qui me donnent le tournis sans me rendre malade, ou plutôt oui, mais malade de lui. Totalement ivre de lui.
Je n’en reviens pas de penser de la sorte. Cela ne me ressemble tellement pas ! Mais je comprends maintenant ce qu’est de ressentir comme un saut dans le vide quand on est épris d’une personne qui ne fait que nous chambouler émotionnellement chaque jour qui passe.
Loner me chamboule. Littéralement. Mon monde sans trouve tout retourné et je dois avouer que cela ne m’effraie pas. Au contraire, cela me fait un bien fou. Un bien jamais ressenti qui me donne des étincelles dans les yeux, un feu ardent savamment entretenu dans la poitrine et… Autre part plus au sud, mais également l’envie de sourire comme une sacrée idiote toute la sainte journée.
J’en redemande encore, encore et encore.
Je crois que l’on appelle ça : Goûter au bonheur.
Et j’adore ça !
J’adore que ce soit grâce à Loner.
Bon sang, cet homme… Je ne savais pas que l’on pouvait être aussi attiré par quelqu’un et nourrir un degré aussi impressionnant de désir pour celui-ci. Un désir réciproque, si ce n’est plus, car Loner est un homme très entreprenant qui prend soin de marquer mon corps de son sceau à plusieurs reprises durant les journées, mais également les nuits.
Kim a définitivement pris place sous la tente de Speedy à mon grand étonnement. Moi qui plaisantais en lançant cela à notre roi de la course… Elle m’en a bouché un coin en acceptant de passer ses nuits avec lui.
Quand je l’ai interrogée, elle m’a simplement dit qu’elle n’en avait que faire de l’endroit où elle dormait du moment qu’elle pouvait récupérer de nos journées endiablées passées dans Sturgis.
J’ai également tenté de discuter plus profondément avec elle, surtout sur son changement d’humeur plutôt radical depuis le tournoi et la râclée que lui a filé cette conne appartenant aux 3K. Mais Kim préfère éviter d’en parler. Même avec moi. Surtout avec moi ! Pourquoi ? Cela me déroute totalement car ça ne lui ressemble pas.
Quand quelque chose déplaît à Kim ou la taraude ne serait-ce qu’un tout petit peu, elle m’en fait part. La situation inverse qui se passe actuellement m’interroge d’autant plus. Mais vu qu’elle interagit avec moi à peu près normalement en dehors de ça, je la laisse digérer tranquillement de son côté en patientant qu’elle daigne être prête à me faire part de ses inquiétudes.
Durant ce temps, j’ai pu passer toutes mes nuits, sans exception, dans les bras de mon beau brun. Comme maintenant, où il prend soin de vouer un culte à mes nichons. Les hommes…
— Jamais goûter quelque chose d’aussi délicieux, marmonne-t-il contre ma chair rebondie.
— Menteur, soufflé-je la tête rejetée en arrière, mon esprit flottant au-dessus de la Terre après deux orgasmes complètement fous.
— Ça n’avait pas ta saveur, ma belle. Ce n’était pas toi et toi tu es une putain de merveille pour moi.
Je me marre en déclarant :
— Ce que j’adore que le sexe te rende aussi bavard. Tu sors de ta zone de confort, le taiseux.
Je sens son sourire sur ma peau échaudée après nos nombreux frottis frottas.
— Uniquement avec toi parce que tu es une putain de magicienne, râle-t-il.
Curieuse, je m’appuie sur mes coudes en observant sa tête brune passer délicieusement d’un sein à l’autre.
— T’as jamais autant causé durant le sexe avant ? l’interrogé-je.
Un téton aspiré dans sa bouche exquise, ses yeux rencontrent les miens tandis qu’il me tire un énième gémissement avant de laisser échapper le bouton marron durci.
— Jamais, dit-il le plus sérieusement du monde.
Je dois dire que ça m’en bouche un coin.
— Qu’est-ce qu’y a changé ?
— Toi. Juste toi, bon sang. Et Dieu sait les ravages que tu causes en moi, grogne-t-il.
Voyant son air un peu torturé, mes sourcils se froncent.
— Tu n’as pas l’air d’apprécier ce que je peux déclencher en toi, on dirait bien.
— Tu plaisantes ! réplique-t-il vivement tandis que ses yeux prennent un air stupéfait. C’est putain de bon, Tina. Tu me fais me sentir différent. Plus vivant. Et ce qu’on a là, je ne veux pas le perdre. Tu comprends ?
Sentant son inquiétude qu’il tente de garder pour lui, car n’omettons pas qu’il reste un gars, j’interviens.  
— On est sur la même longueur d’onde, Loner, lui rappelé-je. Ce que j’ai et découvre avec toi c’est… Fou. Complètement inopiné, mais trop bon pour que cela prenne fin. Ne crois pas que je vais me débiner.
Il reste silencieux un temps tout en étudiant mon regard avant d’opiner de la tête et de reprendre ses bons soins me faisant chavirer dans les affres du plaisir à nouveau.
Il reste un certain temps à se délecter de ma poitrine qui, je l’ai appris, le rend totalement timbré. Bientôt, mon ventre qu’il n’a de cesse de dire qu’il est « putain de sexy », avec mes petits abdos qu’il a envie de croquer, puis mes hanches qu’il mordille en me taquinant parce qu’il adore avoir découvert à quel point je peux être chatouilleuse à cet endroit et que ça l’amuse.
Il me remet dans un état de manque en un rien de temps, tel l’expert en la matière qu’il est, et me fait languir de sa bouche entre mes cuisses en se chargeant de mes jambes jusqu’à mes orteils qu’il croque gentiment en les aspirant parce qu’il adore laisser son empreinte partout sur moi. Parce qu’il est gourmand à ce point.
Il me rend cinglée.
Et j’aime qu’il me rende folle à ce point. C’est grisant.
Je n’ai jamais rien senti d’aussi fort et profond. Je me sens désirée à un point indescriptible tant il est puissant, et ça fait un bien fou de se savoir aussi convoitée. Je sais que j’ai toujours plu, mon physique est loin d’être ingrat, mais je ne me suis jamais sentie aussi belle que sous le regard de Loner et entre ses mains vouant un véritable culte à mon être tout entier.
Tellement bon.
Je soupire lorsqu’il passe à mon autre jambe en taquinant ma plante de pied avec ses dents avant de remonter lentement en suçotant la peau fine à l’intérieur de ma cheville jusqu’à mon mollet, suivi de mon genou sur lequel il fait glisser son nez en déviant vers l’intérieur de ma cuisse tout en remontant beaucoup trop lentement à mon goût.
J’ai appris depuis notre première nuit qu’il prend particulièrement plaisir à me rendre folle. Il s’y prend comme un chef parce que je me retrouve dans un tel état d’envie, de besoin irrépressible, que bien souvent mes mains finissent par agripper fermement sa chevelure en le guidant directement contre mon intimité le suppliant de mettre un terme au brasier qu’il y a fait naître. Enfoiré !
Son sourire carnassier ne manque jamais de me répondre alors qu’il ne me donne pas immédiatement ce que je souhaite le plus. Loner aime contrôler et il ne se laisse pas aussi facilement amadouer. Même avec une chatte dégoulinante offerte sous son nez. Il adore jouer, rendre fou, et regarder tranquillement l’extase nous gagner jusqu’à exploser dans chaque partie de notre corps.
C’est un savant. Et il avait raison : les autres n’étaient que des merdes à côté de lui. C’est incomparable. J’ai le vague sentiment de n’avoir couché qu’avec des merdeux inexpérimentés face à ce qu’il me fait. Lui, c’est d’un tout autre niveau. Le prof-même des excellents. C’est un homme qui joue de mon corps aussi parfaitement et facilement qu’un putain de musicien sur son instrument.
Et il adore prendre son temps. Un temps qui est bon au point où j’ai un mal fou à savoir où je me trouve parfois avant d’être bien redescendue et d’émerger en me rendant compte de ce qui m’entoure. Ce mec a ce pouvoir. Un pouvoir dangereux pour quiconque n’est pas préparé à un être de son envergure.
J’imagine sans mal les cœurs brisés laissés dans son sillage. Cet homme ténébreux et silencieux jouant avec bien des corps avant de les laisser derrière lui sans un regard ni même une parole. Les pauvres filles ont eu un aperçu trop fugace mais bien assez pour espérer en avoir plus pour finalement devenir désespérées de ne plus tomber sur un homme aussi brut et bon. De ne plus jamais sentir cet homme contre elles.
Il m’avait donné un infime aperçu dans cette ruelle de Bozeman en me disant que je pourrais comparer avec mon latino Roberto ou Eduardo, enfin l’autre. Que je devais aller comparer. Je n’avais osé y croire, mais je sais désormais qu’il n’y avait aucune comparaison à faire. Comment comparer un mec aussi unique que lui. C’est un spécimen à part. Une bête de sexe. Et je ne cesse de tomber toujours plus profondément dans sa beauté ravageuse, de me noyer dans ses regards intenses m’étant uniquement destinés.
Loner m’a embarquée malgré moi sur son passage en ayant déposé une empreinte indélébile au plus profond de mon âme. Je le sais. Je le sens. Et la seule chose que j’espère, c’est qu’il ne me déposera pas en chemin. Ça n’a pas l’air de faire partie de ses plans, mais qui sait ? On est l’abri de rien parce que rien n’est réellement acquis dans la vie.
J’ai vu les ravages que pouvait faire l’amour. J’ai vu la douleur et la souffrance vives que ressentaient les personnes pris dans ce typhon émotionnel. J’en ai vu assez pour ne pas vouloir que cela m’arrive un jour. Mais être avec Loner m’apprend que personne ne peut s’y préparer en évitant une telle chose une fois que nous sommes épris de quelqu’un. Quelqu’un à qui l’on tient de plus en plus sans pouvoir y faire quoi que ce soit.
C’est inévitable. Et cela m’aide à comprendre comment bien des gens ont fini aussi blessé et meurtri si profondément en eux qu’ils ne voyaient pas d’issue à leur tourmente semblant sans fin et toujours plus infernale. 
Je prends la mesure du danger. C’est pourquoi je dis de Loner qu’il est dangereux. Il est en haut de l’échelle dans cette catégorie, s’il en existe une. Il s’agit de ce genre de mec-là. Mais d’après ce que j’ai compris, il voit les choses identiquement me concernant. Et même s’il se passe de mots, ses yeux m’apprennent suffisamment de l’angoisse qu’il nourrit quant à moi. Même si cela me dérange, d’un autre côté ça me rassure. Cela explique seulement que nous sommes aux prises des mêmes émotions, même si nous sommes perdus face à cela.
Nous découvrons cette sorte de folie en même temps. Et grands Dieux, nous la nourrissons l’un pour l’autre. Le temps où nous préférions éviter de nous faire harponner par cette folie est désormais achevé. Et maintenant que nous sommes pris dans ce jeu, un nouveau tournant qu’a pris notre vie, nous souhaitons ardemment y rester et ne plus en sortir. 
Au moins, nous paraissons êtres semblables. Comme je lui ai dit : sur la même longueur d’onde. Je n’ai pas d’autres explications aussi vraies et proches de ce que nous vivons.
Je sais seulement que nous espérons autant l’un que l’autre que cela fonctionne. Que ce truc géant entre nous perdure et ne s’arrête jamais.
Des frissons m’envahissent lorsque ses lèvres survolent mon intimité en la frôlant légèrement. Il suçote mon aine en me tirant un autre soupir agacé avant de me lancer ce regard de braise qui me promet enfin de prendre en main la fournaise qui me consume depuis quelques minutes.
Et il prend sérieusement mon cas en compte quand sa bouche se pose enfin là, à cet endroit où je meurs de chaud, où je meurs à petit feu qu’il vienne urgemment m’apaiser. Sa langue passe lentement entre les replis, lape mon bouton gonflé et pulsant avant de s’enrouler autour tandis qu’il l’aspire entre ses lèvres.
Dans la chaleur de sa bouche, des soubresauts involontaires me font trembler sous les à-coups de sa langue talentueuse avant qu’elle ne s’enfonce en moi avec une telle lenteur que cela me tire un grognement.
— Un problème, ma belle ? me lance-t-il en renfonçant cette dernière en moi.
Son amusement m’agace. Il sait que je déteste me sentir aussi désemparée. Il prend plaisir à me mener à cet état de désespoir total et cela déclenche automatiquement un besoin revanchard en moi.
— Attends un peu que ce soit à nouveau à mon tour de te taquiner, le menacé-je à travers plusieurs gémissements.
Cela ne fait rien de plus que le réjouir parce que ça lui apprend à quel point il me rend timbrée. Et il adore me voir dans cet état. Il adore savoir qu’il me rend aussi désespérée d’être possédée par lui.
— Hummm, fait-il sensuellement en donnant de vicieux coups de langue. Je rêve de te revoir faire, ma belle, susurre-t-il en me lançant un regard incandescent.

Oui, j’ai beau dire qu’il est dangereux et tout le toutim, n’empêche que j’agis comme une garce perverse dès qu’il est à ma portée. Finalement, je me demande bien qui de nous deux est celui qui doit être le vengeur dans ce qui ressemble de plus en plus à une bataille que l’on se livre sans fin afin d’avoir le dernier mot.
C’est une guerre que nous aimons nous donner en l’alimentant davantage pour notre plus grand plaisir. J’adore combattre contre ce mec. Mon passe-temps favori et essentiel pour survivre dorénavant.
Lorsqu’il remonte sur moi en saisissant son membre dur, j’halète comme une pétasse en chaleur parce qu’il va enfin me posséder. Et c’est ce qu’il fait, brutalement, après m’avoir lancé un regard lubrique et ardent, un regard sombre de désir. Un regard qui me fait davantage dégouliner.
Mon souffle est heurté par sa brusque présence en moi. Mes jambes écartées et légèrement repliées avec mes orteils en appui sur la couverture qui se crispent sur elle en l’accueillant si vivement en moi.
Loner est un putain d’étalon, ce qui explique combien il prend soin de me préparer longuement avant de me pénétrer aussi rudement, parce qu’il aime me prendre si fort, si puissamment car il ne peut pas faire autrement.
Je suis tellement rempli de lui que mes chairs internes protestent devant cette intrusion qui est pourtant si bienvenue et divinement bonne. Comment un homme peut-il être aussi bien monté que ça ? Sérieux, ça me déroute encore.
J’ai eu le loisir de voir un tas de bites au cours de ma vie, et parfois pas forcément parce que j’étais en train de m’en charger, mais parce que j’assistais à des soirées au MC et que dans ces soirées-là, j’avais de quoi voir. J’ai toujours accusé Kim d’être la plus voyeuse de nous deux, mais je pense que je le suis autant qu’elle.
Je suis sûre que je pourrais facilement reconnaître la queue de plusieurs membres des Shadow Riders en un simple coup d’œil. Est-ce que ça craint ? Hmf, bof, je trouve ça plutôt divertissant au possible.
Ça serait marrant de me mettre au défi un de ces quatre. Pas sûre que cela plaise à Loner par contre. 
Enfin, tout ça pour dire que j’en ai vu de belles et celle de Loner fait partie des sacrées. Elle est particulière, comme lui. Et si je ne l’avais jamais vue, j’aurais pu l’imaginer sans mal. Elle est à son image. Grande, imposante et… Singulière. Plus épaisse au milieu avant de s’amincir pour laisser un gland dominer son envergure, légèrement courbée vers l’avant, elle n’a pas de mal à appuyer sur cet endroit parfait en moi qui me fait disjoncter. 
Je suis une veinarde qui prend son pied comme jamais. Et ça me fait marrer. Mais peut-être que cette alchimie avec la queue de Loner est due également à ce que je ressens pour lui et donne davantage de saveur à ce que nous partageons. Plus de profondeur. Je n’en sais rien, mais c’est bon. Ultra bon. Bon à s’en faire exploser toutes les synapses.
Je l’observe saisir fermement mes hanches tout en continuant de me pénétrer presque rageusement. Je ne suis qu’une chose qui se liquéfie sous lui sous ses assauts infernalement bons tandis qu’il transpire et que sa sueur perle sur moi en serpentant sur ma peau brûlante. Son regard ne me lâche pas. Il me tient captive et me laisse tout voir, alors je le laisse voir tout ce qu’il veut de moi sans pouvoir l’en empêcher. Et ça le rend encore plus fou. Encore plus ténébreux. Encore plus dangereux. Encore plus. Davantage de plus.
Mes mains glissent sur ses pectoraux d’enfer, ses abdos tout aussi impressionnants avant de terminer sur son cul diablement sexy sur lequel j’enfonce mes ongles en lui arrachant un grognement. Il aime ça. Il se penche sur moi et aspire mes tétons en réponse avant d’approcher son visage du mien qu’il surplombe en gardant ses yeux rivés au fond des miens tel un prédateur.
Sa bouche entrouverte laisse filer son souffle saccadé tandis qu’il continue de s’agiter sur moi sans relâche, sans montrer le moindre signe de faiblesse. Loner est endurant. Je suis endurante. Nous sommes tous deux férus de sport. Une chose essentielle chez nous, alors autant dire que notre cardio est excellent et que nous n’avons pas de mal à suivre l’autre.
Toutefois, le plaisir, bien que contrôlé, peut nous prendre au dépourvu en se fichant totalement de notre résistance et se déclencher à n’importe lequel moment. Surtout quand c’est aussi bon que ça.
— C’est ça que j’aime, me souffle-t-il contre ma bouche sans pour autant y poser la sienne. Ne faire qu’un avec toi. Voir cet éclat particulier dans tes yeux quand je suis en toi, quand je te rends aussi désespérée que moi. J’aime me sentir fou comme ça. J’aime te voir aux prises de cette même folie qui me gagne.
Les choses qu’il me dit me rendent folle.
— Shhh, tais-toi, marmonné-je en tentant de garder sous contrôle le feu qui ne cesse de s’accroître en moi.
Il me lance un sourire en coin. Un sourire carnassier qui m’apprend qu’il ne va pas me laisser faire.
— Pourquoi me taire, ma belle ? susurre-t-il. Tu m’excites comme je ne l’ai jamais été, bordel. Tu sens comme tu me rends fou ? me dit-il en accentuant ses coups de reins.
Je grogne et porte une main dans sa chevelure trempée de sueur, le tire davantage à moi en essayant de plaquer son visage contre le mien pour le faire taire de mes lèvres.
Il m’en empêche en mordant ma lèvre inférieure dans un avertissement à me laisser aller, ce qui déclenche mon orgasme sans que je puisse le retenir.
Ma tête se jette en arrière alors qu’il saisit mon menton dans sa large et forte main en me poussant à le regarder.
— Laisse tes yeux dans les miens, putain, grogne-t-il en retour, en prenant soin de voir ce qu’il veut vraiment dans les miens perdus dans les affres du plaisir.
Ses coups de reins restent vicieux en se faisant langoureux et me donnant ce dont j’ai ardemment besoin tout au long de mon décollage vers ces contrées inconnues, tandis qu’il s’agite un peu plus.
— Putain… lâche-t-il furieusement entre ses dents serrées avant d’être pris à son tour dans la tornade d’un orgasme sensationnel.
Je le regarde à travers mes paupières lourdes se défaire en ne trouvant rien de plus beau et sexy au monde que Loner en train de perdre la tête et jouir.

Shadow Riders #Bewitching biker's girl & #In Turmoil Où les histoires vivent. Découvrez maintenant