Phone Stalker /MDNI/DARKROMANCE

Chapitre 1

-Mmh continue, je gémis 

Bastien fait des vas et viens en moi, j'aime le sentir en moi mais cette position n'est pas la plus confortable. 

On est à l'arrière de sa voiture, je suis allongée sur le dos et il est au dessus de moi, mais je trouve qu'on manque de rapprochement. 

-Crie pas trop fort on va nous entendre, dit il avant de m'embrasser sur la bouche pour taire mes gémissements. 

On s'est pas garés vraiment loin, on est sur un parking, certes il n'y a pas beaucoup de monde, mais il peut en y avoir. 

Bastien attrape mon haut et le soulève pour découvrir mes seins. Mes tétons sont déjà durcis depuis un moment.

-Ils sont toujours aussi gros...tu n'as pas mis de soutien gorge ? dit il en riant avant de serrer un de mes seins dans sa main

-C'était pas la peine, je savais ce qu'on allait faire, dis je d'un air narquois 

Il est toujours habillé, il a juste baissé son jean et son boxer. On s'est mis à le faire rapidement mais je m'y attendais. 

D'un coup il prend son téléphone, je déteste quand on fait ça, mais bon dans mon cas à moi je n'ai pas le choix, et il commence à écrire un message en continuant des vas et viens distraits. 

"Putain mais baise moi..." je pense

-C'est Caroline ? demandais je 

-Oui, je lui dit que j'arrive bientôt

Caroline c'est sa petite amie. Et moi je suis sa meilleure amie. Mais spéciale. 

Elle est au courante de rien et elle ne peut pas se méfier de moi, j'ai toujours été la meilleure amie de Bastien, bien avant même qu'ils se rencontrent. Elle devrait se méfier...

-Tu veux pas nous filmer et lui envoyer ? dis je d'un air malicieux

-Jte filmerai bien, mais jle garderai pour moi, dit il en déposant son téléphone

-Baise moi plus fort, on a plus beaucoup de temps

Bastien se mets à me donner des coups fort sans pour autant aller vite. 

Je peux pas m'empêcher de gémir fort, chacun de ses coups de rein sont bons, je ne me contrôle même pas. 

-Attends un instant y'a des gens qui arrivent, dit il avant de s'allonger sur moi pour se cacher de la vitre. 

J'entends des gens passer en marchant, ils prennent bien leur temps en plus...

J'en profite pour regarder Bastien, il me regarde toujours avec un air d'envie, et depuis des années. Il a toujours voulu me baiser, c'est comme ça qu'on s'était connus, il était venu me draguer. 

Mais à l'époque je ne voulais pas de relations, je venais de quitter mon ex et alors on est devenus quand même amis. 

Bien sûr on a commencé à avoir du sexe ensemble quand il était en couple...Ce qui n'est pas étonnant de notre part. 

Je pince ses joues et regarde ses lèvres.

-T'aime bien quand jte baise ? dit il en retirant ma main

-Putain j'aime trop, ta bite est trop bonne

Il m'embrasse puis relève la tête pour regarder dehors. 

-Ils sont partis

-On devrait y aller, je propose

Sa nana est vraiment chiante à l'appeler dès qu'il n'est pas là. On a jamais vraiment eu l'occasion de bien baiser depuis qu'il est avec elle, on doit toujours faire vite dans sa voiture. 

-Je veux terminer avant, je vais faire vite, dit il avant d'accélérer ses coups de reins. 

Ce n'est pas forcément la meilleure chose, mais le sexe fait toujours plaisir, et je dois avouer que Bastien est doué. 

Je continue mes gémissements et fais de mon mieux pour le faire jouir.

-Tu veux avaler ? 

-Fais le sur mes seins, dis je 

Je sais que ce qu'il aime le plus chez moi c'est mes seins et que ça le fera jouir plus vite. 

J'aime vraiment faire plaisirs aux mecs, j'ai l'impression d'être forte. 

Il sort sa bite et commence à se branler puis éjacule sur mes seins. 

-Putain t'es bonne...gémit-il

-Caroline n'a pas des gros seins ? 

-Non, mais je les aimes bien quand même, j'aime Caroline

Je le connais, je sais qu'à la base elle n'est pas son type et qu'il n'est pas totalement satisfait. En fait pour être honnête, son type c'est moi. Je comprend pas pourquoi c'est jamais arrivé qu'on se mette ensemble alors qu'à la base on se draguait et on se voulait. 

Maintenant si vous me demandez, je ne voudrais pas sortir avec lui, je ne sais pas pourquoi, je l'aime en tant qu'ami mais sans plus. 

Il me tends un essui tout pour m'essuyer et on sort pour revenir à l'avant de la voiture. 

Il démarre en silence puis commence à conduire. 

Je regarde dehors, j'ai plein de courses à faire pour mon appart. A la base je l'avais appelé pour qu'il viennent m'aider avec sa voiture, mais dès qu'on est seuls, il faut qu'il se passe quelque chose. 

Et je m'en plaindrai pas, pour l'instant c'est le seul disponible à me donner du sexe. 

Je finirai bien par trouver d'autres personnes, ce n'est pas ce qui manque...

Je vois qu'il me jette plein de coups d'oeil.

-Alors, t'as trouvé ça comment ? demande t-il 

Je rigole.

-Depuis la première fois qu'on l'a fait, tu me le demande à chaque fois

-Tu parles pas beaucoup

-Tu sais très bien que j'aime ta grosse bite

Il sourit, mais quelque chose semble cogiter dans sa tête. 

Il arrive en bas de chez moi et me tend sa joue pour me dire au revoir. 

Je l'embrasse tendrement. On s'est jamais fait la bise, il m'a toujours réclamé un bisou sur la joue. 

-Rentre bien Lana

-Rentre bien Bastien

Je récupère mes affaires et pars chez moi. 

J'aime bien mon nouvel appart, mais l'immeuble ressemble un peu à un labyrinthe, il y a plusieurs étages et plusieurs ailes. J'aimerai bien y faire une partie de cache cache un de ces quatre.

Je traverse le couloir, c'est toujours aussi calme, des fois je me demande même si il y a du monde dans les chambres. J'ai eu de la chance d'avoir trouvé cet immeuble en plein Paris. 

Je rentre et pars me doucher en repensant au sperme qu'il y avait sur mes seins. J'ai jamais osé y goûter jusqu'à maintenant. 

Le sexe.

La débauche.

Je vais à mon bureau et allume mon ordinateur, je regarde si aux alentours de chez moi, il y aurait une boutique de lingerie et j'en trouve une. 

Je passe alors commande d'un ensemble de dentelle rose bonbon et violet, j'irai le récupérer en magasin, ça me fera moins cher. 

Je pars sur mon lit et regarde un film d'horreur pour m'aider à trouver le sommeil. 

Dehors par ma fenêtre, Paris éclaire la nuit, et un étranger observe ma chambre. 

Mais ça, je ne le sais pas encore.